coronavirus

La crise était « impossible à prévoir », ont dit les autorités – histoire de soigneusement dissimuler leur impréparation. Et maintenant, elles se préparent à remettre le statu quo en place.

Considérant l’ampleur de la crise, les autorités se retrouvent face à une situation drastique : c’est quitte ou double. Feront-elles le bon choix ?

Le coronavirus est ce qu’il est – tout comme les mesures prises par les autorités pour le ralentir. Pour ce qui est de leurs actions en termes de relance économique, en revanche…

« Le monde ne sera plus jamais pareil », lit-on souvent en ce moment. Ou pas… car nos gouvernants ne prennent décidément pas le chemin de l’amélioration.

L’économie d’un pays n’est pas fondamentalement différente de celle d’un ménage ordinaire – démonstration avec l’épidémie de coronavirus.

A coups de milliers de milliards de dollars… et de prétextes fallacieux… les autorités s’accaparent un peu plus de pouvoir et de richesse.

Les mesures de relance se multiplient partout dans le monde, mais les montants sont minimes par rapport à l’ampleur de la crise. Le système, déjà ultra-fragile, y survivra-t-il ?

De toutes les molécules de tout l’univers connu, il a fallu que ce soit celle-là… (et non, il ne s’agit pas du coronavirus !)

Les pertes s’accumulent, se multiplient et augmentent. Les questions aussi – et certains commencent à s’interroger sur le coût final des décisions prises par les autorités.

La pandémie de coronavirus finira par s’apaiser, voire s’éteindre. Mais qu’en est-il des dommages causés à l’économie dans son ensemble ?

Taïwan a fait à peu près tout l’inverse de ce que font les gouvernements occidentaux dans leur lutte contre l’épidémie de coronavirus. Est-ce que cela a fonctionné ?

L’économie américaine a été stoppée net – dans un effondrement économique tel qu’on n’en avait plus vu depuis des générations. Et que font les autorités ?

Manques, flambée de prix, mauvaise gestion… l’étatisme fait des ravages, depuis le début de l’épidémie de coronavirus. Et si on faisait autrement ?

Les marchés restent fragiles, et la volatilité est à son comble : comment savoir où la chute s’arrêtera ? Un indicateur nous aide en la matière…

Que se passe-t-il exactement quand un gouvernement imprime tant d’argent que la confiance dans la monnaie disparaît ? Retour sur deux exemples célèbres.

Simone Wapler est de retour, avec sa lucidité et son bon sens habituels… pour nous parler d’or, bien sûr – et notamment des baisses enregistrées ces derniers temps.

La crise du coronavirus est aussi un prétexte pour les gouvernements, en toute discrétion, d’augmenter encore leur pouvoir et leur rayon d’action.

L’économie mondiale est désormais « en flux tendu »… et le moindre frôlement peut rompre ce fragile équilibre. La crise actuelle est bien plus qu’un frôlement : comment allons-nous nous en sortir ?