On a récemment annoncé de nouvelles créations d’emploi aux Etats-Unis. Nous soupçonnons qu’une grande partie de ce chiffre n’est due qu’à une mauvaise interprétation des données. Beaucoup de gens cherchent du travail depuis si longtemps que les autorités ont arrêté de les compter.
chômage
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Inflation et récession
Alan Greenspan n’est plus à la Fed… et ça lui réussit
par Bill Bonner 30 janvier 2012▪ La semaine dernière, les investisseurs ont appris que la Fed continuerait à distribuer de l’argent sans rien demander en retour pendant encore trois ans. L’or a grimpé. Les actions ont baissé.
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Inflation et récession
2001-2011 : une décennie perdue pour les investisseurs ? (1)
par Jean-Claude Perivier 30 novembre 2011Pour un investisseur, la crise c’est voir son portefeuille fondre comme neige au soleil. Bien sûr, les marchés montent et descendent. L’investisseur espère toujours qu’ils vont monter, et c’est heureusement souvent le cas. Mais à l’inverse, il est toujours exaspérant de voir s’évaporer des gains difficilement gagnés.
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Inflation et récession
La crise : pas de solution… mais une résolution
par Bill Bonner 28 octobre 2011On trouve plus d’Américains au chômage aujourd’hui qu’il y a 40 ans. Jamais les prix de l’immobilier n’ont autant chuté. L’indice Case-Shiller met les prix des maisons près de 4% plus bas qu’il y a 12 mois. Si l’ensemble de l’inventaire immobilier US a une valeur d’environ 20 000 milliards de dollars… cela représente une perte d’environ 800 milliards de dollars sur l’année passée.
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Inflation et récession
Les mouvements de protestation aux Etats-Unis vont-ils dégénérer en révolution ?
par Bill Bonner 21 octobre 2011Maintenant que les agences de notation guettent la France, tout le projet de sauvetage de l’Europe est en danger. C’est une chose que de grandes nations vigoureuses — la France et l’Allemagne — renflouent de petits pays marginaux comme la Grèce et l’Irlande. Mais qui va sauvegarder la France ?
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Inflation et récession
Le chômage aux Etats-Unis indique des bouleversements plus profonds qu'une crise économique
par Bill Bonner 20 octobre 2011▪ La semaine dernière, l’économie semblait en convalescence. Pas de récession. Pas de marché baissier. Pas de soucis. Pas de vagues. Cette semaine-ci, en revanche, s’est levée du pied gauche. Tout à coup, les soucis et les vagues ont fait leur retour. Les actions sont en baisse, le pétrole et l’or aussi.
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Inflation et récession
Le chômage étouffe la classe moyenne aux Etats-Unis… la révolution gronde !
par Bill Bonner 14 octobre 2011▪ Une révolution couve probablement aux Etats-Unis. A l’époque de la guerre froide, la CIA s’était vue confier la mission de faire le portrait d’un pays susceptible de connaître une révolution. Elle en avait conclu qu’un tel pays aurait trois caractéristiques.
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Inflation et récession
Les mesures anti-chômage aux Etats-Unis, une arme illusoire contre la crise économique
par Bill Bonner 9 septembre 2011▪ Les bergers ont été stupides, Ils n’ont pas cherché l’Eternel ; C’est pour cela qu’ils n’ont point prospéré, Et que tous leurs troupeaux se dispersent. Jérémie, 10:21
Nous sommes dans une Grande Correction. Pas un boom. Pas une reprise. Rien d’autre qu’une Grande Correction.
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▪ Selon les journaux, les investisseurs sont sur les dents. Ils attendent de voir ce qui va se passer à Washington. Tout le monde sait qu’un défaut serait désastreux. C’est pour ça que personne ne s’en inquiète : « ils empêcheront ça », se disent les gens.
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Indices, marches actions, strategies
La récession pèse sur les prix et sur la main-d'oeuvre aux Etats-Unis
par Bill Bonner 23 juin 2011Clive Crook, écrivant dans le journal de lundi, voit que les Etats-Unis prennent la direction du Japon. Après une récession, les Etats-Unis se reprennent généralement rapidement, note-t-il. Mais cette fois-ci, quelque chose ne va pas.
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Selon nos calculs, les autorités américaines perçoivent environ 2 000 milliards de dollars de recettes fiscales. Elles dépensent environ 3 600 milliards de dollars. Voilà comment on obtient un déficit budgétaire record de plus de 1 600 milliards cette année. Les dirigeants américains dépensent environ 1,80 $ pour chaque dollar de revenus, le plus grand déséquilibre depuis la Deuxième guerre mondiale
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Epargne
Bénéfices des entreprises et inflation, deux thèmes… largement ignorés
par Chris Mayer 11 février 2011Pour l’instant, le marché est dominé par le thème des bénéfices. Aucun des grands sujets à un niveau mondial ne semble avoir d’importance. Le chômage ? Qui s’y intéresse ? La dette et les déficits à tous niveaux de gouvernement ? Peu importe. Les entreprises engrangent de juteux bénéfices et le marché sable le champagne
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Du Japon venaient des nouvelles très perturbantes : "S&P rétrograde la dette japonaise", titrait un article. Selon l’agence Standard & Poor’s, le Japon n’avait pas de plan plausible pour échapper à la faillite. Le pays a le ratio dette/PIB le plus élevé au monde. Et il ne fait que s’endetter plus encore
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Quelles nouvelles ces derniers jours ? La plus importante est la hausse de l’or, qui a atteint un nouveau record historique. Les actions, en revanche, stagnent ou presque. Qu’est-ce que ça signifie ? Eh bien, que le dollar baisse, pour commencer. Les obligations aussi. Le retournement attendu depuis si longtemps sur le marché obligataire est-il en train de se produire ? Nous n’en savons rien. Nous ne l’attendions pas aussi tôt, à vrai dire
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Krugman a été très contrarié de voir le Sénat US refuser de prolonger les allocations chômage, par exemple.Mais est-ce vraiment une mauvaise chose ? Si vous êtes assis dans une agence pour l’emploi, vous serez probablement pour une augmentation des allocations. Si vous payez des impôts et que vous luttez pour joindre les deux bouts, vous rechignerez peut-être à payer plus pour d’autres qui ne travaillent pas. Krugman souligne que ce n’est pas de leur faute. Les allocations chômage ne diminuent pas le désir des gens de trouver un travail — pas quand il y a cinq candidats pour chaque poste. Mais il faut faire des ajustements… et quand on n’a pas d’argent qui rentre, ça ne peut que motiver à les faire
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"Le temps, les dévalorisations, et les rééchelonnement de la dette pourraient être les seules portes de sortie pour de nombreux pays". Peut-être que la bourse le ressent de manière inconsciente ; cela expliquerait pourquoi elle montre cette espèce de désordre bipolaire financier qui règne depuis quelque temps. Cette semaine nous a apporté un autre épisode maniaque, propulsant les principaux indices de près de 3% et le Dow au-delà des 10 000, une nouvelle fois, sans raison évidente
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Voilà que les derniers chiffres montrent que la "reprise" ne se développe pas comme elle était censée le faire. Des milliers de milliards de dollars ont été dépensés en relances en tout genre, et on trouve encore 11 millions de chômeurs et 40 millions de personnes dépendant des coupons alimentaires aux Etats-Unis. Selon un économiste du FMI, les prix de l’immobilier américain vont baisser. Les stocks de maisons invendues restent extrêmement élevés. Les taux de saisies sont à des niveaux record
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Tout le monde semble avoir gobé l’idée de "reprise", mais nous restons très sceptique. Certains des chiffres semblent avoir repris du terrain. Mais ils restent épouvantables… et vont probablement entamer un nouveau déclin. Nous disons ça parce que les causes sous-jacentes de la crise ne sont toujours pas traitées… et parce que le gouvernement fait l’inverse de ce qu’il faudrait pour les traiter. Pour autant que nous puissions en juger, la plus grande injection de stimulants dans l’histoire de la race humaine a stabilisé le chômage US aux alentours des 10%… plus près des 20% si l’on utilise des critères un peu plus larges