Le prélèvement à la source est beaucoup plus pervers qu’il n’y paraît. Il contribue par la suppression du choix à entretenir toutes les confusions. Ces jours-ci, les salariés français du…
carburant
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Monnaie faible et déficits publics ne sont pas des moteurs de croissance, bien au contraire. La masse des Français semble enfin découvrir que remplir son réservoir c’est payer 40 centimes…
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Beaucoup de gens pensent que l’énergie bon marché sauvera les Etats-Unis. Le pays en a. D’autres pas. L’énergie bon marché, disent les gens, donnera de la croissance, ce qui augmentera les revenus des autorités et réduira leurs déficits. « La croissance », disent-ils, a réduit les dettes américaines après la Deuxième Guerre mondiale… et à nouveau dans les années 90.
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Les Etats-Unis sont probablement à nouveau en récession. L’immobilier américain est en crise. Le chômage reste problématique. Officiellement, le taux de chômage US est aux environs des 9%. Mais le taux réel, selon le professeur Robert Shiller, de Yale, est plus proche des 16%. De nouveaux emplois sont créés. Toutefois, ils ne sont pas assez nombreux pour suivre la croissance démographique et permettre aux chômeurs de retrouver un travail.
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Hier, alors que les baromètres boursiers dégringolaient au fond de véritables gouffres indiciels, nous écrivions que la noirceur des scénarios macroéconomiques créaient les conditions d’un rebond, que nous jugions imminent
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Cela ne vous aura pas échappé, le brut a dégringolé de 133 $ à un peu plus de 126 $ le baril à New York. Va-t-on enfin pouvoir souffler ? Est-ce la fin de la hausse ? Doit-on se positionner à la baisse sur le brut
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Pourquoi le dollar chute-t-il ? Pourquoi l’or grimpe-t-il ? Vous connaissez déjà la réponse, cher lecteur : parce que les gens chargés de surveiller le dollar veulent qu’il baisse. Ils font tout ce qu’ils peuvent pour s’assurer qu’il perde de sa valeur. Et jusqu’à présent, au moins sur ce point, ils réussissent
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Selon toutes probabilités, les actions ont commencé à chuter. La marée se retire. La grande vague de liquidités qui a porté tous les prix des actifs à la hausse — des appartements londoniens au soja en passant par l’art trash — baisse. Nous l’avons vu d’abord à la marge — les plaines basses du subprime qui ont commencé à s’assécher cet été. Nous commençons à le discerner dans les secteurs plus profonds de l’économie.