Gardez l’oeil sur les rendements des T-Bonds. Parallèlement au dollar, ils conteront l’histoire de la prochaine grande bulle — la dernière grande bulle de toute la Bulle Epoque : une bulle de la dette publique. Partout dans le monde, les autorités essaient désespérément de gonfler leur masse monétaire. Les gens veulent de l’argent. Les gens ont besoin d’argent
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La bulle de l’immobilier a mis tout le monde de bonne humeur. Les gens pensaient qu’ils étaient riches et croyaient pouvoir "retirer" un peu de cette richesse pour la dépenser. Une bulle pétrolière, c’est une toute autre histoire. Les gens se sentent plus pauvres chaque fois qu’ils remplissent leur réservoir d’essence. Et ils sont forcés de réduire leurs dépenses plutôt que de les augmenter
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Partons d’une hypothèse de travail : donnez à un homme la permission de contrefaire de la devise, et il passera ses nuits à imprimer de nouveaux billets. Dans les faits, lorsque l’administration Nixon a coupé le dernier lien entre l’or et le dollar, en 1971, les autorités US pouvaient imprimer toute la fausse monnaie qu’elles voulaient. Normalement, le dollar aurait dû perdre toute sa valeur. C’est exactement ce que nous attendions dans les années 70. Mais quelques petites choses se sont produites qui ont sauvé le dollar
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"Le Retour", titre The Economist cette semaine. Sur la couverture du dernier numéro, on trouve une photo de Bill et Hillary Clinton… bras dessus-bras dessous… * "Hillary sera-t-elle notre prochain président ?" avons-nous demandé à un ami qui réfléchit à ces choses. * "Oui, c’est très probable", nous a-t-il répondu. "Les gens ne l’aiment pas vraiment… mais les années Clinton semblent de plus en plus attrayantes. Ils pensent qu’en votant pour Hillary, ils obtiendront Bill Clinton. Et avec Bill, les années Clinton reviendront. Pas de problèmes du subprime. Pas de crise de l’immobilier. Pas de guerre en Irak".
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Lorsque les marchés ont commencé à montrer quelques faiblesses à la fin juillet, certains commentateurs de CNBC et autres observateurs du monde de la finance ont commencé à hurler à la lune, réclamant une baisse des taux. Selon le raisonnement, une baisse des taux aide les marchés, et tout le monde peut alors recommencer à gagner de l’argent. Crise évitée, barrage colmaté, et ainsi de suite. Mais comme le notait récemment l’analyste financier Michael Belkin, "le consensus est 100% convaincu que les baisses de taux de la Fed sont toujours haussières (il ne faut pas lutter contre la Fed, etc.) — mais les données ne sont pas de cet avis".