Voilà quelque chose d’intéressant. Tous les ans, le magazine Foreign Policy ["Politique étrangère", ndlr.] élabore une liste des 100 Plus Grands Penseurs de la Planète. Nous l’avons parcourue, en cherchant notre nom… Mais attendez… La clé, ici, c’est que ce ne sont pas uniquement des penseurs, ce sont des gens qui pensent à la manière dont les gens de l’autre côté de la planète devraient conduire leurs affaires
Barack Obama
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Epargne
Greenspan à 50% pessimiste… le pire ratio avoué depuis 25 ans
par Philippe Béchade 10 janvier 2011Alan Greenspan a bien sa petite idée sur les difficultés qui attendent le président et la Fed d’ici les prochaines élections. Dans une interview accordée vendredi soir, Mister Bulles (Alan "Bubble" Greenspan) estime à un tout petit peu plus de 50% la probabilité que l’Amérique affronte les deux ou trois prochaines années sans problème sur le marché obligataire et sans inflation
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Epargne
Les sherpas désertent… avant d’affronter une montagne d’ennuis ?
par Philippe Béchade 23 septembre 2010La plupart des observateurs politiques américains — et la presse financière s’en fait l’écho — notent avec une certaine inquiétude que les rapports de la Maison Blanche avec les banques se sont fortement distendus (c’est l’ultime étape avant l’évocation de rapports "tendus"). Les pontes de Wall Street ne sont plus invités à la Maison Blanche… Les dîners de collecte de fonds, organisés dans les appartements les plus somptueux de Manhattan, ont pratiquement disparu… la presse conservatrice ne manque pas de souligner l’impopularité du président américain et le divorce d’avec ses principaux soutiens financiers de la campagne de 2008
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Epargne
L’azote se dissipe sur les marchés ; de l’eau dans le gaz à Washington
par Philippe Béchade 26 janvier 2010Wall Street s’est ému de la montée en puissance de la "ligne Volcker" (l’ex-patron de la Fed prône une séparation des activités des banques) parmi les conseillers du président… alors que Robert Rubin fait également partie de son équipe rapprochée. En effet, c’est cet ex-patron de Goldman Sachs qui avait orchestré l’enterrement du Glass-Steagall Act par l’administration Clinton dès 1995. Il a également imposé aux pays émergents d’Asie du Sud-Est — via le FMI — une libéralisation totale des mouvements de capitaux, provoquant la folie spéculative qui s’achèvera à la fin de l’été 1997 par le krach des devises asiatiques.
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Epargne
Comment Barack Obama peut-il résoudre l'incompatibilité entre l'emploi et les bonus ?
par Philippe Béchade 13 novembre 2009Les cambistes ne donnaient pas cher (littéralement) des chances du dollar de préserver le plancher des 1,5060 euro cette semaine. Le consensus baissier était tellement univoque mardi et mercredi derniers que nous ne sommes pas surpris que le billet vert prenne tout le monde à contre-pied avec un rebond de 1% qui a pris beaucoup de spéculateurs de court
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Epargne
Non-conventionnel… M. Bernanke, les marchés vous ont pris au mot !
par Philippe Béchade 9 juin 2009La Bourse de Paris a clôturé en repli de 1,5%. Le CAC 40 s’est enfoncé sous les 3 300 points et revient pratiquement au contact de ses niveaux du 29 mai dernier. Le seuil des 3 277 points a été testé à cinq reprises entre 10h et 16h30 et il n’a pas craqué. Mais la pression baissière restait peu vigoureuse avec moins de 2,5 milliards d’euros échangés sur le CAC 40
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Epargne
Quand je crois en Obama, je vois la crise en roooose (Edith Piaf)
par Philippe Béchade 29 avril 2009Barack Obama est installé à la Maison Blanche depuis 100 jours et la presse américaine ne manque pas de se livrer au traditionnel exercice du bilan. Compte tenu de la gravité de la crise, et même si Wall Street a repris 20% ces sept dernières semaines, il est difficile de parler d’un état de grâce. Mais dans ce contexte de crise non résolue, Barack Obama est tout de même parvenu à accomplir une sorte de miracle : le moral des consommateurs américains s’est spectaculairement redressé en avril
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Wall Street ne s’est pas montré aussi euphorique que la City, Francfort et Paris lors de la publication de l’ISM non manufacturier de janvier […] Cependant, le redressement de l’indice d’activité du secteur des services fut incontestablement déstabilisateur pour les opérateurs les plus pessimistes. Les marchés furent également rassurés par l’engagement de la Fed à proroger jusqu’au 30 octobre ses mesures anti-crise
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Les places européennes et les marchés américains ont mis un pied dans le précipice indiciel en ce mercredi 21 janvier… Cependant, le sursaut de 1,5% des indices américains demeure de l’ordre du rebond technique. Le seul scénario susceptible de dissiper le vent de panique qui peut se remettre à souffler à tout moment sur Wall Street serait une prompte remontée de 4% du Dow Jones et de 5,3% du S&P. Cela validerait ce que les chartistes qualifient de bear trap
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L’ambiance de déprime qui régnait hier soir sur le floor (le parquet) à Wall Street contrastait singulièrement avec celle constatée sur les pelouses s’étendant de l’obélisque au Capitole. Sur place, plus de 2,5 millions d’Américains pleins de ferveur et d’enthousiasme s’étaient massés pour acclamer le nouveau président des Etats-Unis et entendre son discours d’investiture
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Tout à l’heure, le dénommé Obama prendra le poste de président des Etats-Unis. Pauvre homme. Il a l’air tout à fait bien. C’est vraiment dommage… qu’une telle chose lui tombe dessus. Mais il a traîné avec les mauvaises personnes — des gens de basse condition dans les hautes sphères de la politique — et regardez où ça l’a mené
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Si l’on donne plus de morceaux de papier vert aux gens, ils seront tous plus riches. Le Dow a chuté cette semaine. Mais selon les analystes, les indicateurs techniques sont toujours quasiment tous dans le vert ; ils pensent que les Etats-Unis entament un rebond majeur… voire un nouveau marché haussier
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Les pressions baissières qui s’exercent sur les marchés actions depuis 15 mois semblent avoir été gelées par la chute des températures dans l’hémisphère Nord… mais les investisseurs ne savent pas trop s’il faut s’enthousiasmer pour le plan de relance sur lequel planche Barack Obama — une promesse d’avenir à 800 ou 1 000 milliards de dollars, voire plus
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La Bourse américaine a bondi vendredi soir […] Les chiffres du chômage avaient motivé — par un admirable sens de l’anticipation — un retrait quasi intégral de nombreux acheteurs durant cinq séances. Les initiés plaideront des rachats à bon compte à la veille de la présentation du plan de relance par Barack Obama. Le futur président le veut "à la hauteur de la tâche" dès son arrivée à la Maison Blanche
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Le croirez-vous ? Même Warren Buffett, l’homme le plus riche du monde est touché par la crise ! Certes, "le sage d’Omaha" dit à qui veut l’entendre que c’est le moment d’acheter en Bourse pour le long terme, et c’est d’ailleurs ce qu’il fait. Et je suis sûr qu’il a raison. N’empêche, sa société d’investissement, Berkshire Hathaway, vient d’annoncer une baisse de 77% de son bénéfice net
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Epargne
And the winner is… l'espoir que Barack Obama puisse tenir ses promesses
par Philippe Béchade 5 novembre 2008Le "fait accompli" provoque une franche consolidation des places européennes ce mercredi (-2% dès l’ouverture) mais il aurait été presque miraculeux d’assister à la poursuite du rally haussier pour une septième séance consécutive, surtout après une envolée de 5,5% de l’Euro Stoxx 50 mardi. Les marchés ont horreur de l’incertitude et il était évident dès mardi matin que le résultat des présidentielles américaines ne faisait de mystère pour personne
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Epargne
D'une ambiance de type Halloween à l'état de grâce en quelques séances
par Philippe Béchade 3 novembre 2008L’entame catastrophique de cette dernière semaine d’octobre laissait craindre le pire, le chaos survenu en Allemagne suite à la rocambolesque envolée du titre Volkswagen précipitait de nombreuses valeurs de l’Euro Stoxx 50 vers des niveaux de valorisation invraisemblables — par le mécanisme aveugle des arbitrages par pondération. L’absurdité des cours au sein des indices paneuropéens s’ajoutait à un climat de capitulation général. Cela a, semble-t-il, fait sortir les acheteurs de leur réserve