L’Angleterre et l’Irlande ont été envahies à plusieurs reprises. La dernière de ces attaques a commencé avec l’arrivée du duc Guillaume en 1066.
Angleterre
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ChroniqueInflation et récession
Irlande, maçonnerie et chute de l’empire romain
par Bill Bonner 7 avril 2021Rome avait apporté un certain degré de civilisation dans l’Angleterre de l’époque – mais avec la chute de l’empire, la culture et le savoir-faire romain ont disparu du sol britannique… pour longtemps.
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Inflation et récession
En attendant le krack, nous vivons dans l'incertitude
par Françoise Garteiser 11 juin 2011On dirait que les investisseurs — du moins ceux qui restent sur les marchés — se fatiguent. L’heure de la baisse est venue. On pourrait presque penser qu’un bon krach serait le bienvenu : au moins, on serait fixés, au lieu de devoir attendre… se demander quotidiennement si les marchés vont céder aujourd’hui
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Epargne
Un avenir terrible se prépare ? Balivernes ! Il s'appelle déjà Livre blanc
par Philippe Béchade 12 novembre 2010Au moment où l’on commémore l’Armistice de 1918, l’Angleterre se retrouve soudain replongée dans le climat social de l’immédiat après-guerre (la première, pas la deuxième)… Si le projet baptisé "Livre banc" est adopté, les chômeurs britanniques seront privés de l’allocation forfaitaire de 65 livres (75 euros ou 105 $) durant trois mois s’ils refusent une offre, et durant trois ans s’ils rejettent trois offres
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Epargne
Angleterre : le "laboratoire du pire" prouve que déflation et inflation peuvent coexister
par Simone Wapler 16 août 2010La Bank of England s’est lancée dans une course folle au yoga mortel, les mesures d’assouplissement monétaires ou quantitative easing consistant à racheter les obligations souveraines. Il s’agit d’une inflation de la masse monétaire par création de monnaie à partir de rien
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Le Royaume-Uni affiche lui aussi des performances économiques calamiteuses. Mais Fitch n’est pas dupe et juge les récentes mesures d’économies largement insuffisantes (elles représentent à peine 1% du PIB britannique). L’agence estime également qu’elles sont mal définies : il n’y a eu aucun engagement précis en matière de réduction des programmes sociaux. Enfin, elle s’étonne d’un budget basé sur des hypothèses de hausse du PIB irréalisables ("les défis fiscaux sont immenses")
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Le B&B évoqué dans le titre ne concerne pas — vous l’aurez deviné — un Bed & Breakfast peu recommandable mais une certaine banque britannique, Bradford & Bingley, spécialiste du crédit immobilier et que nous avons déjà mentionnée dans un paragraphe précédent. Cette rivale de Northern Rock — ce nom vous évoque certainement quelque chose… comme des files d’épargnants venant retirer dans l’urgence leurs économies en espèces avant que, l’automne dernier, Gordon Brown n’autorise la Banque d’Angleterre à nationaliser l’établissement — ne serait guère en meilleure posture
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La dernière semaine du mois de mai s’avère boursièrement beaucoup plus favorable que ne le laissait craindre la toile de fond macroéconomique. Les valeurs françaises ont abordé la séance de vendredi avec un solde hebdomadaire positif de 0,85% et le bilan mensuel ne ressortait plus que faiblement négatif (-0,4%) en cette veille de week-end
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Epargne
Quarante ans après mai 68, les Shadoks ont-ils vraiment intérêt à pomper… les Gibis ?
par Philippe Béchade 19 mai 2008Puisque nous avons entrepris depuis mercredi dernier de dénoncer la mascarade des statistiques officielles — nous n’épargnons ni les Etats-Unis, ni la France, ni les experts de Bruxelles –, notre petit crochet par Londres nous fournit l’occasion de vous expliquer pourquoi les pauvres y représentent près de 20% de la population — contre 7% en Ile-de-France — alors que l’Angleterre se targue de flirter avec le plein emploi
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La dégradation conjoncturelle dans le secteur de l’immobilier devient globale ; le second pays le plus exposé à une correction de grande ampleur est l’Angleterre. Selon une enquête d’Halifax, la banque classée numéro un du crédit aux particuliers outre-Manche, les prix des logements résidentiels ont brusquement chuté de 2,5% en mars, contre un recul de 0,5% anticipé. Ce mouvement était prévisible après 170% de hausse en 10 ans
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L’inertie haussière des quatre précédentes séances a permis aux indices américains d’afficher des gains symboliques une heure après la reprise des cotations, même si le scénario s’avère identique à celui observé en Europe en début de matinée. Wall Street pourrait bien terminer cette première séance du mois de décembre sur une consolidation de -0,5% à -0,7%, comme Paris. Le moment semble opportun pour mettre en œuvre les dernières opérations de couverture des portefeuilles.