Mario Draghi aimerait-il lui aussi éteindre les incendies boursiers avec des liquidités ?
▪ Rien ne subsiste du climat psychologique de lundi dernier, sinon une simple empreinte graphique du CAC 40 au-dessus des 3 250 points à Paris. Les opérateurs qui attendaient une fin de premier semestre dans le rouge se sont fait rincer en quelques heures (le 29 juin) ; ceux qui ont cru aux simagrées des eurocrates perdent déjà 4% en quatre séances.