Warren Buffett vient de s’acheter un train ! Pas un petit train électrique à monter en kit en tête-à-tête avec son fils… mais bien un train grandeur nature — le genre qui transporte charbon et maïs de par les vastes prairies américaines.
L’écologie punitive et ses ravages économiques
Sous couvert de protection du climat ou de défense commerciale, les gouvernements multiplient les taxes, les restrictions et les directives.
Boom du crédit : jusqu’où l’élastique peut-il s’étirer ?
Supercycle des matières premières : mort, paralysie ou simple pause ?
Malgré la pause prolongée des matières premières, le supercycle est plus que jamais d’actualité…
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Les décisions sont prises dans deux parties du cerveau, nous disent les scientifiques. La première partie, c’est le cortex latéral pré-frontal. C’est là qu’est censée se produire la pensée logique et avancée — par exemple lorsqu’une personne décide quel genre d’investissement choisir, ou quelle voiture offre le meilleur rapport qualité-prix. Plus loin dans la matière grise, on trouve un autre centre de décision, plus primitif : le système limbique, là où les véritables pensées se forment.
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"Si on demandait à un groupe de gens assis dans un bar quel est le taux d’inflation, leurs réponses seraient plus près de la réalité que ce que le gouvernement dit dans les chiffres officiels". Ainsi parlait l’économiste John Williams lors d’un rendez-vous avec Addison Wiggin et moi-même.
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Lorsqu’ils pensent à l’économie de l’Inde, la plupart des investisseurs l’associent probablement aux sociétés de sous-traitance — l’Inde en tant que "petite main" de la planète, avec des centres d’appels et des armées d’ingénieurs et de programmeurs informatiques. Mais comme l’affirme clairement Edward Luce, cette partie de l’économie est encore minuscule ; une bonne partie de l’étrange économie indienne est pauvre et arriérée.
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La mère de votre correspondant est née à Venice, en Californie, en 1923. A l’époque, ce complexe balnéaire comptait encore des canaux, des gondoles importées et des stars de cinéma. Mais peu après l’entrée de notre mère à l’école primaire Florence Nightingale, la société Ohio Oil Co. a trouvé du pétrole dans la péninsule de Venice (appelée aujourd’hui Marina Peninsula).
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Epargne
Le Moyen-Orient troque son or noir contre de l'or jaune
par emmanuelgentilhomme 12 avril 2007A l’heure où cols roulés et traitements antigrippe sont de rigueur, je vous propose un petit voyage du côté Nord de l’Océan Indien. Un voyage en première classe : ce sont les métaux précieux qui nous intéressent aujourd’hui. Une fois encore, notre bon vieux métal jaune surgit là où on ne l’attendait pas…
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Les signes avant-coureurs d’inflation — autres que la traditionnelle hausse de l’immobilier — se multiplient. Le cours de l’or en profite. Les bases de calcul des indices des prix sont de plus en plus souvent contestées en Europe. En France, l’INSEE propose désormais à chacun de télécharger un outil de calcul de son inflation.
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L’indium n’est pas un royaume lointain mais un métal rare. Il est connu des métallurgistes pour son cri : lorsqu’on le tord, il émet comme un craquement. Découvert par hasard par deux chimistes allemands en 1863, il n’en exista jusqu’en 1924 qu’un seul gramme à l’état pur. Pas grave, car personne n’écoutait le doux cri de l’indium.
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Les génies de la finance ont remanié, acheté et vendu la dette subprime jusqu’à entendre les premiers craquements signalant l’effondrement. Ils pensaient que le crédit étant bon tant que les propriétaires pouvaient payer leurs traites. Et ils ne voyaient aucune raison que les propriétaires ne puissent PAS payer leurs traites, tant qu’ils avaient un emploi. C’était là leur couleuvre — et ils l’ont avalée. Dans un monde de plein emploi, il n’y avait aucun motif de voir les prêts mal tourner — en théorie. Mais les théories apparaissent selon les besoins, lorsqu’il y a une vente à conclure.
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Si vous en avez assez de mes harangues constantes et irritantes en faveur des actions pétrolières, qu’il faut acheter d’une manière ou d’une autre, selon mes Stupides Instructions Mogambo (SIM), j’ai la fierté de vous présenter John Loeffler, qui accompagne James J. Puplava dans l’émission Financial Sense Newshour, et soutient la cause du Peak Oil en déclarant que lorsqu’on considère la production pétrolière, "si l’on regarde le nombre de pays ayant atteint leur pic par rapport à ceux pour qui ce n’est pas le cas, jusqu’à présent, 64 pays ont atteint leur pic pétrolier ; 36 n’y sont pas encore".
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Je crois qu’il est temps, cher lecteur, de faire le point sur ce qui s’est passé sur les marchés boursiers ces dernières semaines. Puisque nous avons maintenant le recul nécessaire, nous le ferons donc dans le calme et la sérénité pour pouvoir en tirer les conséquences immédiates et tenter surtout d’évaluer le futur — seule chose qui, finalement, nous intéresse.
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Nous y sommes (presque), cher lecteur ! La campagne électorale entre dans notre vie un peu plus chaque jour. N’ayez crainte, je ne vais pas me lancer dans une diatribe politicienne — ce n’est ni mon rôle, ni le lieu. Par contre, il me semble particulièrement opportun d’examiner avec attention certains discours qui ont un rapport direct avec le capitalisme, les profits, les placements (en Bourse notamment), et tout ce qui touche à l’économie.
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Les marchés financiers ont enregistré il y a dix jours un avertissement sévère, qui ne m’a pas vraiment surpris, ni sur le fond ni sur la forme. Les Bourses européennes se sont éloignées elles aussi des sommets pluriannuels — voire historiques — qu’elles avaient touchés ces dernières semaines, l’indice paneuropéen Eurostoxx 50 subissant son pire recul hebdomadaire depuis mars 2003. Mais pas d’inquiétude : ce mouvement de correction est salutaire et va permettre de faire revenir les investisseurs aux fondamentaux.
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Comme chaque année en janvier, la présentation des stratégies d’investissement par différentes banques me permet de confronter mes idées — et de déjeuner à l’oeil, généralement dans d’excellents endroits. Vous l’aurez compris, j’aime allier les nourritures spirituelles à celles du corps !
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Après quatre années consécutives de variation supérieure à celle des grandes capitalisations et malgré un passage à vide entre les mois de mai et juillet, je suis ravi de constater que les valeurs moyennes ont une nouvelle fois surpassé les poids lourds de la cote en 2006.
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Si l’heure n’est pas encore au bilan en cette fin d’année, je voulais commencer à évoquer les perspectives pour 2007. J’ai, à ce sujet, repéré la semaine dernière dans la presse économique une information qui méritait un éclairage complémentaire. Il s’agit d’un stratège d’une grande société de gestion britannique (Threadneedle) qui a donné son sentiment sur l’évolution potentielle des marchés l’an prochain. D’ordinaire, je ne fais pas grand cas de ce type de prévision, surtout quand il s’agit de prévision de brokers. En revanche, je lui accorde beaucoup plus de crédit lorsque c’est un grand fonds qui gère plus de 100 milliards d’euros.
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Dans ma note d’octobre, j’avais laissé transparaître un optimisme de bon aloi concernant les perspectives d’évolution des marchés actions et spécifiquement des valeurs moyennes. Il me semblait que la correction de mai et juin n’était pas une rupture mais ressemblait davantage à une respiration nécessaire après un premier semestre un peu trop bon. Le ralentissement de la croissance américaine et l’apaisement des risques inflationnistes ont d’abord permis d’envisager la fin du cycle de resserrement monétaire de la Fed.
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L’un des meilleurs moyens de devenir vous aussi "l’argent intelligent", c’est d’analyser celles de vos transactions qui ont échoué. Quelqu’un a agi intelligemment de l’autre côté de votre position. Pour apprendre à devenir un meilleur investisseur, commencez par vous demander : "bon, qu’est-ce qu’il a fait de l’autre côté de cette transaction ? Comment a-t-il su ?"