Le krach de l’immobilier a touché presque tous les propriétaires immobiliers des Etats-Unis, même ceux qui possèdent des maisons dans les Hamptons. Les maisons haut de gamme en prennent un coup, où qu’elles soient. A cause de la chute du prix des maisons, de nombreux propriétaires de maisons haut de gamme se retrouvent la tête sous l’eau
La pauvreté à feu doux
Les autorités fédérales ont poussé les tendances de 1980-2020 à des niveaux extrêmes. Comment pourraient-elles exacerber ou modérer les tendances actuelles du marché ?
Pourquoi le prix de l’électricité ne baissera plus (1/2)
Faut-il stocker son or à Londres ?
Lorsque l’on évoque le Royaume-Uni, on pense tout de suite « démocratie » et « liberté ». Les qualités britanniques font-elles de notre voisin un bon candidat pour assurer le stockage de vos métaux…
Retour de l’or, après 53 ans d’absence
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C’est le Financial Times qui rapportait hier la grande nouvelle sur la dernière page de son premier cahier : "La Chine… est de retour au pays de la bulle". Après l’expansion vient la contraction. Après la bulle vient le nettoyage. Après l’orage vient le soleil. Mais que se passe-t-il en Chine ? Qu’arrive-t-il après la plus grande bulle d’exportation de l’histoire ? Une nouvelle bulle
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Epargne
La feria boursière du 15 juillet se transforme en corrida !
par Philippe Béchade 16 juillet 2009Les principaux indices paneuropéens engrangent 7,5% en trois séances, de telle sorte que toutes les pertes résiduelles correspondant au mouvement de repli amorcé le 2 juillet sont intégralement effacées d’un coup. Les indices enregistrent rien moins que leur deuxième meilleure performance hebdomadaire depuis la période du 9 au 13 mars… Quelle que soit l’explication proposée aux épargnants non avertis (aujourd’hui, ce sont les résultats d’Intel, début juin, c’étaient la hausse des ventes d’une chaîne magasins vendant des articles de bricolage), il ne s’agit que d’une gesticulation de prestidigitateur
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Epargne
Quand le Titanic de la finance coule, ne faites pas comme si tout allait bien…
par jeanchabru 16 juillet 2009Vous constatez tous les jours que les prévisions des économistes sont systématiquement prises à revers. Aujourd’hui, une seule publication est parlante pour moi : celle de Caterpillar, le groupe qui fabrique du matériel de BTP et minier, véritable baromètre mondial de l’investissement industriel. Il annonce avoir enregistré une chute de 43% en mai sur trois mois glissants par rapport à la même période 2008
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Les actions aurifères en ont pris un coup, comme la plupart des autres couvertures classiques contre l’inflation. Pourquoi ? Parce que la peur de l’inflation s’est calmée. La vision déflationniste du monde est maintenant celle qui prédomine. C’est la raison pour laquelle les rendements des bons du Trésor américain à 10 ans ont chuté
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Notre foi vacille. Notre foi dans le fait que, tôt ou tard, le gouvernement américain réussira à causer de l’inflation. Revoyons notre prévision : la déflation maintenant, l’inflation plus tard. C’est très simple. Peut-être trop simple. Après un demi-siècle d’expansion de crédit, nous avons désormais une contraction du crédit
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Les opérateurs parisiens étaient devant leurs écrans ce mardi 14 juillet. Non pas pour voir défiler une sélection de régiments indiens, invités d’honneur sur les Champs-Elysées en ouverture du défilé, mais plutôt les trimestriels des entreprises américaines en général et de Goldman Sachs en particulier. Une démangeaison caractéristique du pouce et de l’index nous faisait pressentir que les profits de la première banque d’affaires américaine allaient nous couper le souffle
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La question la plus critique à laquelle l’investisseur est confronté aujourd’hui est de savoir s’il veut être écrasé par le marteau de la déflation… ou échouer sur l’enclume de l’inflation. Lorsqu’on nous posait la question "inflation ou déflation", nous avons toujours répondu "oui". Nous aurons les deux. Mais nous réalisons progressivement que nous aurons les deux en plus grande quantité que nous l’avions envisagé
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L’Irlande est au bord de la faillite. Sa dette a été rétrogradée il y a quelques semaines. Le chômage frôle les 14%. La déflation est à 5,4% […] Et ce n’est pas terminé. Il est "trop tôt" pour parler de reprise, selon Brian Lenihan, ministre des Finances. Et en Californie ? Cette semaine, The Economist nous donne un nouveau chiffre pour le déficit budgétaire californien — 26 milliards de dollars, par rapport aux 24 milliards annoncés il y a quelques temps
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Alors que la plupart des intervenants préparent leurs vacances ou se prélassent déjà au bord de la plage… nous anticipons un été tout bonnement meurtrier sur les marchés. Le CAC 40 semble avoir repris son calme à l’heure où j’écris ces lignes, mais à votre place, je ne m’y fierais pas trop : je garde en tête l’été 2007… puis le début de l’automne 2008… et je me dis qu’octobre n’est pas le seul mois "noir" pour les bourses
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Epargne
Angela Merkel : la "Mutti" flingueuse préfère ses électeurs à ses pairs
par La rédaction 13 juillet 2009Dans la crise économique, deux camps s’opposent. Angela Merkel occupe à elle toute seule un seul camp. Alors que les chefs d’Etat d’Europe et des Etats-Unis veulent relancer l’économie en ouvrant les robinets de liquidités, seule la chancelière critique cette stratégie
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Toute confirmation d’un accès de faiblesse conjoncturel pourrait provoquer la rupture définitive de supports tels que 8 100 sur le Dow Jones ou 3 000 points sur le CAC 40… et même des 58,5 $ sur le pétrole. Mais gare à la fausse sortie baissière car cela paraît presque trop facile
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Que sont devenues les "jeunes pousses" de la reprise ? Le 15 mars, le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke, déclarait que les "jeunes pousses" de la reprise étaient bien visibles. La phrase s’est immédiatement gravée dans les coeurs et l’imagination des investisseurs. Peu importe les nouvelles économiques funestes, les "jeunes pousses" ont semblé bourgeonner de partout
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En 2005, les Américains n’ont rien épargné. Pas même du papier aluminium ou des bouts de ficelle. Aujourd’hui, le taux d’épargne américain approche les 5% des revenus disponibles — un retournement conséquent. C’est là une bonne nouvelle pour tout le monde, et pour personne. Nous savons, par la logique et l’expérience, qu’épargner de l’argent est la clé pour s’enrichir — non en dépenser
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Epargne
Après un rebond de la pire qualité, attention au "coup de la trappe"
par La rédaction 13 juillet 2009La question que se posent la plupart des investisseurs est : que va faire le marché à l’avenir ? La plupart du temps, il s’agit d’une question idiote. Cela revient à se demander, au jeu de pile ou face, de quel côté la pièce va tomber la prochaine fois. Pour cette raison, un nombre toujours croissant d’investisseurs a choisi de gagner de l’argent quoi que fasse le marché
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On commence à rire un peu jaune, sur les marchés… les "jeunes pousses" semblent mourir les unes après les autres avant même d’avoir eu le temps d’éclore… et les vacances s’annoncent chaudes pour l’économie mondiale. Pas de quoi s’étonner, nous disait Bill jeudi : "le rebond boursier commence à se faire vieux… et a peut-être déjà dépassé son sommet. Le consommateur se retrouve à court de temps, d’argent et de crédit. Il n’a pas d’autre choix que de réduire ses dépenses. Les taux d’épargne grimpent rapidement ". Dans de telles conditions, comment voulez-vous relancer une machine économique si obstinément immobile qu’elle commence à s’enfoncer dans le sol
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Epargne
Et si Wall Street cessait d'agir comme si AIG ne s'effondrait pas ?
par Philippe Béchade 10 juillet 2009Si les files de chômeurs ont raccourci devant les agences gouvernementales ces dernières semaines, le nombre de personnes percevant régulièrement des indemnités a fortement augmenté. Il a enregistré une hausse de 159 000 début juillet, pour atteindre 6,883 millions… Mais ce n’est pas le phénomène le plus inquiétant : d’un point de vue mécanique, de nouvelles menaces pèsent sur la survie d’AIG. Elles pourraient faire voler en éclats l’illusion d’une stabilisation du système financier
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Selon un titre du Financial Times, le Fonds monétaire international affirme que la récession prend fin. En creusant un peu, nous découvrons que selon le FMI, la reprise pourrait être "faible" et nécessiter plus de stimulants pour que les consommateurs se remettent à dépenser. Comme toujours, le fonds se trompe sur tout. Ce n’est pas une récession, c’est une dépression