Les ETF de métal blanc concentrent 332 M oz (ou 11 396 tonnes), ce qui correspond à 40% d’une offre globale d’argent de 888 M oz en 2008, selon GFMS. En appliquant le même calcul, les ETF aurifères concentrant actuellement 52% de l’offre d’or de 2008. Plus jeunes, les ETF argentés ont à coeur de rattraper leur retard
La pauvreté à feu doux
Les autorités fédérales ont poussé les tendances de 1980-2020 à des niveaux extrêmes. Comment pourraient-elles exacerber ou modérer les tendances actuelles du marché ?
Pourquoi le prix de l’électricité ne baissera plus (1/2)
Faut-il stocker son or à Londres ?
Lorsque l’on évoque le Royaume-Uni, on pense tout de suite « démocratie » et « liberté ». Les qualités britanniques font-elles de notre voisin un bon candidat pour assurer le stockage de vos métaux…
Retour de l’or, après 53 ans d’absence
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Les émissions les plus spéculatives de la Bourse sont celles qui attirent le plus l’intérêt d’acheteurs enthousiastes. Et plus les signes de spéculation insouciante sont notables, plus la fin du rally est proche. Si l’on se base là-dessus, la fin du rebond actuel est peut-être TRES proche
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Le marché aurait déjà dû rebondir. Mais il ne l’a pas fait. Il a chuté. Et on est en septembre… un mois dangereux. Sans compter le fait que ce rebond a déjà duré plus longtemps que celui qui a suivi le krach de 29. M. le Marché fait ce qu’il veut, bien entendu. Nous essayons simplement de lire dans ses pensées. Si nous étions M. le Marché, que ferions-nous
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La plupart des médias annoncent la sortie de crise. Le consensus pense aussi que les perspectives d’inflation sont écartées. Du coup, l’or a reflué sous 940 $ l’once à la fin du mois de juillet, avant de se ressaisir lorsque le dollar a donné des signes de faiblesse. Le prix de l’once devrait maintenant évoluer au gré de la parité du dollar vis-à-vis des principales autres monnaies fiduciaires, et de la peur
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L’été est terminé. Le rebond est peut-être fini lui aussi. C’est la rentrée. Plus de longs déjeuners. Plus d’après-midi passés à peindre des fenêtres. Plus de soirées al fresco. Nous en revenons à notre tâche solitaire — vous narrer le déclin et la chute de l’économie américaine… et de l’empire anglo-américain
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La mauvaise nouvelle du jour, c’est que le secteur privé américain a détruit 298 000 emplois en août, selon le cabinet ADP, alors que les économistes ne tablaient en moyenne que sur 250 000 destructions. Le rythme des suppressions d’emplois tend néanmoins à ralentir par rapport aux 360 000 destructions en juillet. Sous l’effet d’une compression de 7,6% du nombre d’heures travaillées, la productivité hors secteur agricole au deuxième trimestre a effectué un bond historique
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Les places européennes, censées bénéficier avec retard d’un hypothétique rebond économique aux Etats-Unis, battent les indices américains à plate couture depuis la mi-juillet. Et ce alors que les dépenses des ménages se contractent : la masse du crédit à la consommation chute de pratiquement 20% en un an et de 10% cette année. Où se situe donc le moteur de la miraculeuse reprise dont la presse économique se fait l’écho
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Quel est le bon moment pour acheter de l’or ? Ceux qui ne me posent pas cette question me demandent alors : faut-il acheter des actions minières ou de l’or ? Depuis un an, j’affirme que le prix de l’or est davantage influencé par les Commodity Trading Advisors, à qui les investisseurs sortis des hedge funds peu liquides après la débâcle de 2008 ont confié une partie de leur argent
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Cette semaine, le pétrole a un peu baissé… l’or a gagné quelques dollars… et les marchés ont un peu bougé. Pris sur un laps de temps de plus de quelques minutes, des mouvements de cette taille se fondent généralement dans un fond complètement blanc. Mais nous ne sommes pas dans une période normale. Nous sommes dans une période de désespoir
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Non seulement l’économie se remet… mais elle est encore plus en forme qu’avant ! HSBC, est désormais estimée à 186 milliards de dollars, selon les marchés boursiers. La Chinoise ICBC est sur ses talons, avec une capitalisation boursière de 178 milliards de dollars. Mais nous passerons sur un petit détail gênant : le fait que les banques ont perdu de l’argent ce dernier trimestre
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L’amplitude des variations en intraday n’a jamais dépassé les 0,5%. Le repli du CAC 40 a constamment paru sous contrôle, de telle sorte que le score mensuel avoisine les +7% après +9% en juillet. Avec un rally de 16%, le CAC 40 vient de connaître une des plus fortes hausses estivales jamais observée en 20 ans
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L’économie est une science, puisque les économistes le disent. Mais c’est une science molle, humaine, pas tout à fait exacte. L’inflation va-t-elle décoller puisque les banques centrales ont fait surchauffer les planches à billets ? Non répondent les économistes […] mais nous ne sommes pas de cet avis
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L’été est terminé. Il ne s’est rien passé de frappant sur les marchés ces derniers jours — sinon que le prix de l’or a grimpé. Le métal jaune semble prêt pour attaquer une nouvelle fois les 1 000 $. Y parviendra-t-il ? Peut-être que oui, peut-être que non
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Le secteur automobile, dopé par les plans de relance y compris dans les pays émergents, agit comme un accélérateur de croissance. Trop conscients de l’importance du soutien à ce secteur, les gouvernements ne vont probablement pas retirer du jour au lendemain leurs aides". Mais comme nous le répétons et répétons à longueur de Chronique, que se passera-t-il lorsque les aides cesseront
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Tout remonte. C’est tout ce que nous savons et, apparemment, tout ce que l’on a besoin de savoir quand on est un acheteur enthousiaste d’actions américaines. La confiance des consommateurs américains est remontée pour la première fois depuis le mois de mai. Les prix de l’immobilier américain sont remontés pour la première fois depuis 2006… et n’oublions pas de mentionner les prix des actions en hausse
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Les entreprises ne pourront pas éternellement tailler dans le vif. De même les stocks finiront bien par atteindre un niveau satisfaisant. Or tous ces plans de relance qui soutiennent artificiellement — mais si salutairement ! — la consommation, auront une fin. Et la question centrale reste : qui prendra le relais pour soutenir la croissance
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Ben Bernanke, notre héros plein de défauts, a évité une Deuxième Grande Dépression. Lorsque la crise est arrivée en 2007-2008, il a calmement ressorti un texte qu’il avait lui-même écrit : "La déflation à la japonaise pour les nuls"… ou quelque chose comme ça. Il a ensuite suivi sa propre théorie… calmement… en toute confiance… baissant les taux de la Fed jusqu’à zéro ou presque
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Concentrons-nous un peu sur celui qui risque de devenir la grande star de l’année… j’ai nommé : le dollar. Eh oui, il a beau s’être fait un peu oublier depuis sa flamboyante incursion au-dessus des 1,50/euro… le billet vert n’en demeure pas moins la menace numéro 1 pour l’économie mondiale — et même Warren Buffett est de notre avis