Les entreprises ne pourront pas éternellement tailler dans le vif. De même les stocks finiront bien par atteindre un niveau satisfaisant. Or tous ces plans de relance qui soutiennent artificiellement — mais si salutairement ! — la consommation, auront une fin. Et la question centrale reste : qui prendra le relais pour soutenir la croissance
Pourquoi le prix de l’électricité ne baissera plus (1/2)
La nouvelle augmentation significative des tarifs de l’électricité reflète une tendance inflationniste durable, contrairement à ce que prône le gouvernement…
Platine is the new gold ?
Ce métal précieux négligé est pourtant très recherché dans l’industrie…
L’or à 15 000 dollars ?
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Ben Bernanke, notre héros plein de défauts, a évité une Deuxième Grande Dépression. Lorsque la crise est arrivée en 2007-2008, il a calmement ressorti un texte qu’il avait lui-même écrit : "La déflation à la japonaise pour les nuls"… ou quelque chose comme ça. Il a ensuite suivi sa propre théorie… calmement… en toute confiance… baissant les taux de la Fed jusqu’à zéro ou presque
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Concentrons-nous un peu sur celui qui risque de devenir la grande star de l’année… j’ai nommé : le dollar. Eh oui, il a beau s’être fait un peu oublier depuis sa flamboyante incursion au-dessus des 1,50/euro… le billet vert n’en demeure pas moins la menace numéro 1 pour l’économie mondiale — et même Warren Buffett est de notre avis
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Alors voyons : 5,7% de taux de chômage au pays du Soleil-Levant, soit un record historique pour le pays […] Hmmm… chômage record, déflation, consommation en berne… si c’est ça, la croissance, on en préférerait presque la crise. "Nous sommes tous japonais", a coutume de dire Bill Bonner. Et cela semble se confirmer, aux Etats-Unis comme en Europe — alors préparez-vous
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Le gaz naturel broie du noir. Et c’est une bonne raison pour en posséder un peu. Les cycles s’auto-corrigent, et en ce qui concerne le gaz naturel, le processus d’auto-correction est déjà en marche. Les prix bas du gaz naturel ramènent une demande fraîche de la part du secteur des utilities. Le gaz est en effet une alternative au charbon
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Les lecteurs auront peut-être noté une légère différence entre ce qu’ils lisent dans nos lignes et ce qu’ils trouvent dans la presse grand public. Selon les journaux, Ben Bernanke est un héros. Il a empêché une "Deuxième Grande Dépression". Obama l’a récompensé en lui accordant un nouveau mandat. La reprise est une chose entendue. Sauf que ce n’est pas le cas
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La folie haussière se poursuit sur les marchés boursiers, à un rythme de plus en plus soutenu ces dernières semaines. A croire que notre CAC a passé la cinquième… Où va notre indice national à ce rythme ? Il cotait 2 976 points le 10 juillet. Il est aujourd’hui à plus de 3 600 points. En hausse de 22,5% en pleine période estivale […] Les plans de relance font vraisemblement effet, mais jusqu’à quand
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La journée d’hier a été d’une platitude absolue, en dépit de statistiques qui avaient de quoi rassurer n’importe quel investisseur quant à la solidité de la reprise. Imaginez : une hausse de 9,6% pour les logements neufs aux Etats-Unis, la plus forte depuis février 2005… tandis que le stock de maisons invendues baissait de 9 000 unités, passant à 271 000 — un niveau qu’on n’avait plus vu depuis mars 1993
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Nous pensons que la tendance haussière est loin d’être brisée pour trois raisons principales. Car le désordre monétaire mondial est tel que l’or va se remonétiser et apparaîtra comme le seul étalon de mesure fiable de la dérive des monnaies fiduciaires. Jusqu’à ce que tout rentre dans l’ordre
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L’administration Obama a annoncé que la crise était un peu plus grave qu’on le pensait, si bien que son estimation pour le déficit budgétaire de 2010 a dû être mise à jour — avec une augmentation de 19% — à 1 500 milliards de dollars. Le Congressional Budget Office a fait son propre décompte et est arrivé à la somme de 1 400 milliards de dollars. Quoi qu’il en soit, ça fait beaucoup d’argent
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Les consommateurs américains ont repris du poil de la bête, comme le montre l’indice de confiance du Conference Board : il est ressorti à 54,1 en août. Et l’immobilier ! L’indice Standard & Poor’s Case-Shiller montrait que les prix des maisons américaines ont augmenté de 1,4% en juin — alors qu’on attendait plutôt une hausse de 0,2%
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S’il plaît à certains d’être pessimistes sur l’or ; nous, nous ne sommes pas de cet avis. Et pour cause : l’inflation explosera en hyperinflation dans quelques années. S’il est exact qu’elle ne menace pas de façon imminente, nul ne peut prédire quand l’hyperinflation produira ses effets. Et elle arrivera de façon aussi brutale que l’éclatement d’une bulle
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Depuis la révolution de 2007-2008 et les riches ont perdu la tête. Qui a perdu 50 000 milliards de dollars en actions et en immobilier ? Pas les pauvres […] Mais alors comment obtenir plus de richesse que nos voisins ? Sur ce sujet, la Chine a beaucoup à nous apprendre
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Les investisseurs doivent absolument garder ce fait étrange à l’esprit. Pendant plus de 30 ans, depuis les années 70, le rendement annuel sur les investissements en Bourse atteignait une moyenne de 10%, selon les mesures du S&P 500. La variation, sur n’importe quelle année donnée, oscillait entre -26% et +37%. Alors pendant combien d’années pensez-vous que la Bourse a rapporté 10%
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Côté européen, tout baignait hier : le CAC 40 a terminé à un plus haut de 10 mois, s’adjugeant 1,01% pour terminer à 3 652,17 points. Le Footsie londonien a grimpé de 0,93%, tandis qu’à Francfort, le DAX prenait 1,03%. Le Vieux Continent surfait visiblement sur les bonnes statistiques publiées ces derniers jours. Mais de l’autre côté de l’Atlantique… c’était autre chose
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La situation n’a pas changé ces dernières semaines. Alors que l’euro tentait de briser cette barrière des 1,44 qui promettait tant, cela ne fut finalement qu’un faux signal de plus. Il faut dire qu’ils se sont multipliés ces dernières semaines, tant le range dans lequel évolue la paire principale perdure. Aujourd’hui, je vous propose donc une rentrée en douceur avec une analyse de la situation de l’euro/dollar
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Alors, le rebond est-il terminé ? Pas du tout ! Les banquiers de la planète annoncent que l’économie se remet. Les investisseurs les croient : ils font grimper les actions. En fait, les actions comme le pétrole sont à leurs sommets pour cette année. Avec de tels profits à portée de main, les gens pensent qu’ils n’ont pas besoin du dollar. Et pourtant
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Puisqu’il faut parler du CAC 40, parlons-en. Il va mieux. 3,15% de hausse vendredi et une clôture à 3 615,81 points, on n’avait pas vu ça depuis près de 10 mois […] Evidemment, les statistiques étaient du côté des investisseurs ; les ventes de logements anciens aux Etats-Unis ont grimpé à un sommet de deux ans