Lorraine Amiel
« Les Français ne le savent pas, mais la Sécurité sociale est en quasi-faillite. […] Moins de croissance économique et toujours plus de dépenses, la mécanique est infernale”.
Le Monde
« Sécu : le gouffre-douleur ».
Libération
« Pour limiter le déficit de l’assurance maladie, le gouvernement dérembourse de plus en plus de médicaments. Mais l’économie réalisée est marginale et risque d’être payée par les patients, sous forme de factures plus importantes ou de renoncement aux soins ».
Alternatives économiques
▪ Que va-t-il advenir de notre chère « Sécu » ?
Notre modèle social est à l’agonie. Le déficit de notre sécurité sociale ne se résorbera pas naturellement. Les dépenses de santé vont s’accroître :
– Sous la pression du vieillissement de la population, qui va augmenter la demande en soins de santé, en prestations sociales et en pensions de retraite.
– Et sous l’effet des progrès médicaux, qui permettent de prolonger la vie mais augmentent les coûts de prise en charge thérapeutiques.
▪ Mutation et déperdition d’un système à l’agonie
Depuis 20 ans, une tendance de fond est à l’oeuvre : le déremboursement des soins de santé. Cette tendance ira en s’accentuant. Aujourd’hui, il y a déjà toute une frange de la population qui ne se soigne plus, faute de moyens.
Face aux déremboursements, les mutuelles font grimper leurs prix. Ca aussi, c’est une tendance de fond…
Sans compter qu’on verra bientôt fleurir dans le paysage français des « sécurités sociales privées ». Oui, elles finiront par arriver tôt ou tard pour mettre en concurrence notre chère vieille sécurité sociale collective. Car n’oubliez pas que nous avons signé le traité de Maastricht qui nous oblige à faire jouer la concurrence, notamment dans le domaine des assurances.
Or la sécurité sociale est une assurance…
▪ Que faire face à la hausse programmée des coûts de santé ?
Faut-il rester là les bras croisés à attendre ? Peut-on faire quelque chose pour éviter de voir les frais de santé exploser dans notre budget ? Faut-il craindre de tomber malade ?
Peut-être avez-vous remarqué qu’il y a deux types de personnes :
– Celles qui se plaignent sans cesse et ne font rien pour trouver des solutions et avancer. Il parait que les Français sont champions toutes catégories en la matière…
– Et celles qui se retroussent leurs manches, affrontent le problème droit dans les yeux, en se mettant à la recherche d’opportunités et de solutions.
C’est évidemment une question d’attitude, de comportement et d’habitude, me direz-vous. Certes, avec une nuance de taille : une habitude, ca se change ! Il suffit de le vouloir. A bon entendeur…
Pour ceux qui décident d’être dans le camp des battants, sachez qu’il y a des solutions.
Non, vous n’êtes pas obligé de tomber malade, ni de souffrir de tous les virus qui passent.
Non, vous n’êtes pas programmé pour subir les fléaux de notre génération que sont le diabète, les maladies cardiovasculaires, les maladies inflammatoires, l’hypertension…
Encore faut-il avoir l’esprit ouvert… avoir envie de changer ses vieilles habitudes… avoir envie d’agir et de prendre son destin en main.
▪ Les solutions sont là !
La meilleure des solutions sera toujours d’agir pour préserver sa santé et vieillir dans de meilleures conditions. Quant à ceux qui sont accablés de maux, je voudrais leur dire que des solutions pour aller mieux existent, sans obligatoirement dépenser des mille et des cents en frais de santé.
Non, vous n’avez pas forcément besoin de vous gaver quotidiennement d’anti-inflammatoires puissants aux dégâts collatéraux souvent problématiques pour calmer votre arthrite et arthrose.
Oui, vous pouvez aider à faire revenir votre taux de cholestérol, d’hypertension, de sucre… à des niveaux normaux sans forcément ingurgiter tous les jours des médicaments plus ou moins onéreux.
Encore faut-il avoir cette curiosité d’esprit qui fait avancer le monde depuis toujours
Avoir envie de s’ouvrir à d’autres solutions
Avoir envie de les tester sur soi, pour voir quels en sont les impacts
Avoir envie de changer ses habitudes pour se prendre en main
Avoir envie de ne plus dépendre des autres en croyant que la solution viendra forcément de l’extérieur
Avoir envie de croire en soi et ses idées
Mais surtout, il faut prendre la décision d’agir pour aller de l’avant
A quoi servent les mots s’ils restent des voeux pieux !
Si vous êtes de ceux qui veulent rejoindre le camp des battants qui anticipent et agissent, rejoignez-nous — ou plutôt… prenez la décision de nous rejoindre.
Nous vous apporterons des solutions concrètes et détaillées que vous pourrez mettre en oeuvre pour le plus grand bonheur de votre santé, de votre bien-être et de celui de votre porte-monnaie. Alors prenez votre destin en main et agissez !
Meilleures salutations,
Lorraine Amiel
Pour la Chronique Agora
