Le virus fait des ravages dans l’économie… et les autorités sont bien décidées à aggraver la crise. Tout le monde n’en souffrira pas, cependant…
« Je pense que nous ne devrions plus jamais nous serrer la main. »
– Dr Anthony Fauci
Eh bien, c’est réglé. Nous sommes convaincu. La guerre américaine contre le Covid-19 est menée par des crétins.
Les gens se serrent la main depuis 3 000 ans environ – en signe d’amitié, par exemple, ou encore pour conclure un accord. Ce n’est que l’une des nombreuses habitudes et coutumes courantes qui marquent la vie civilisée.
Il semble que le Dr Fauci pense que la seule chose qui compte, dans la vie, est de ne pas tomber malade.
Si on ne se souciait que de rester en vie…
… On deviendrait tous abstinents. Dieu sait quel genre de MST on peut attraper… ou bien c’est la crise cardiaque qui guette pendant l’effort, comme Nelson Rockefeller en 1979.
… Si Pearl Harbor était à nouveau bombardée, on se rendrait tout de suite. La guerre, c’est dangereux.
… On ne jouerait plus au foot… on n’irait plus faire de ski…
… On n’aurait plus d’agriculteurs (l’un des métiers les plus dangereux) ou de bûcherons, ni de pompiers, de plongeurs en eaux profondes… et des dizaines d’autres professions périlleuses…
… Et la vitesse serait limitée à 30 km/h sur toutes les routes.
Si rester en vie était le seul but de l’existence, nous resterions tous à la maison… tout le temps.
Comme le magnat des affaires Howard Hughes, nous nous traînerions dans nos maisons avec des boîtes de mouchoirs aux pieds… et nous utiliserions des mouchoirs en papier pour ramasser les choses, de crainte qu’elles ne soient contaminées.
Est-ce que cela a prolongé la vie de Hughes ?
Lorsqu’il est mort en 1976, il n’avait que 70 ans – et c’était encore l’un des hommes les plus riches au monde. On aurait cependant dit qu’il était mort de faim : il mesurait 1m95 mais ne pesait qu’une quarantaine de kilos.
Il était dans un tel état – sale, négligé, dénutri – que le FBI a dû vérifier ses empreintes digitales pour l’identifier.
Quelle sorte de fou furieux voudrait vivre de la sorte ?
Guerre contre l’économie
Avec le Dr Fauci à sa tête, la guerre des autorités américaines contre le Covid-19 semble de plus en plus absurde.
La guerre contre l’économie américaine, elle, causera probablement des dommages plus durables.
Le chômage US, sur les trois dernières semaines, se monte à près de 17 millions de personnes sans emploi… le chiffre le plus élevé de l’histoire du pays.
Comme nous l’avons déjà souligné, le gouvernement US – et bon nombre des autres gouvernements occidentaux – mènent l’une des expériences les plus énormes… les plus bizarres… et les plus futiles de l’histoire économique.
Premièrement, ils détruisent l’âme même de la prospérité – les accords gagnant-gagnant dans une économie de libre-échange. Deuxièmement, ils se proposent de remplacer les pertes économiques réelles par de la fausse monnaie.
Nous pensons savoir comment tout cela va se terminer.
Le début de la fin
Nous n’en sommes pas encore à la fin, ceci dit… ni même à la fin du début. Ce n’est que le début de la fin.
Le mois d’avril est généralement celui où les autorités fédérales américaines enregistrent le plus de recettes fiscales. Or ce mois-ci, elles vont chuter – radicalement.
Les gens ne paieront pas d’impôts parce qu’ils n’ont pas gagné d’argent. Ils ne paieront pas non plus leurs crédits à la consommation. Leurs loyers. Ou leurs prêts immobiliers.
De Bloomberg :
« Les défauts de paiements immobiliers pourraient s’accumuler si rapidement que 2008 n’est rien en comparaison. »
Les prêteurs immobiliers se préparent à la plus grosse vague de défauts de l’Histoire. Si le plan visant à gagner du temps fonctionne, ils pourraient éviter une crise pire encore : des saisies en masse et le chaos sur le marché des prêts immobiliers.
Les marchés baissiers ne se terminent pas lorsque les investisseurs guettent le plancher… et se ruent pour acheter durant les creux. Ils se terminent en désespoir et en capitulation… lorsque les esprits animaux ont disparu… et que l’optimisme a entièrement disparu du système.
A la fin, les investisseurs ne cherchent pas de bonnes affaires. Ils n’appellent pas leur courtier dans l’espoir de se positionner sur le prochain marché haussier.
Ils veulent plutôt éviter les actions comme la peste, et préféreraient asséner un bon crochet du gauche à leur courtier.
Une folle expérience
Evidemment, les autorités ne vont pas rester sans rien faire pendant que ces choses remarquables se déroulent : elles vont les aggraver.
C’est là que se trouve la deuxième partie de cette folle expérience… et c’est là que les plus grosses pertes se produiront.
Les autorités essaient de réfuter la loi de Say… qui nous dit que la richesse réelle provient de la production de choses, non de la monnaie.
Etait-il sensé de verrouiller l’économie, épidémiologiquement parlant ? Nous n’en savons rien. Une chose est sûre, cela a augmenté les pertes réelles du pays.
A présent, les autorités affirment « compenser » ces pertes en larguant de l’argent par hélicoptère – des milliers de milliards de dollars fraîchement sortis de la planche à billets, venant inonder l’économie.
Comme de la manne céleste, cet argent atteint les bons comme les méchants… les prudents aussi bien que les imprudents… les chômeurs aussi bien que les employés… ceux qui ont besoin de l’argent et ceux qui n’en ont pas besoin.
Sept PME américaines sur dix font la queue pour la distribution de 350 Mds$ promise en mars. Les grandes entreprises, quant à elles, ont déjà envoyé leurs lobbyistes à Washington, histoire d’obtenir leur part du plan de sauvetage de la Fed, de plus de 2 000 Mds$.
Mais si les autorités pourront peut-être leurrer les investisseurs et faire remonter les cours boursiers avec de la fausse monnaie… cette dernière ne peut pas produire de richesse réelle.
Riche… ou crucifié
Nous voyons arriver toujours plus de carnage… d’absurdités… et d’illusions.
Il y aura des pleurs et des grincements de dents. Il y aura des boucs émissaires… de fausses idoles… et des démagogues offrant des solutions de charlatans.
Il y a aussi, arrivant en ville à dos d’âne, l’innocente économie gagnant-gagnant – mais la foule s’est désormais retournée contre elle.
« Donnez-nous Donald ! » crie la horde. « Donnez-nous le revenu universel et du papier toilette gratuit ! »
Un homme – l’un des fonctionnaires les plus célèbres depuis Ponce Pilate – sert de juge. Le secrétaire au Trésor US, Steven Mnuchin, jouera un rôle prépondérant pour décider qui devient riche… et qui est crucifié.
Quoi qu’il advienne en cette période insensée, nous sommes prêt à parier que lui et ses amis en sortiront encore plus riches qu’ils ne le sont en ce moment.
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» Marouts » est un terme sanscrit qui signifie âme morte susceptible de se réincarner dans de faux vivants. Les Marouts sont les instruments du dieu védique Roudra qui les manipule. Les Brahmanes prétendent que lorsque Siva, la Providence, veut rabaisser l’humanité, il place aux postes les plus importants de la société des Marouts ne possédant par essence qu’une âme corrompue. Ces êtres pourriront à leur tour la morale, la religion, les arts et la nature; ils engendreront le déclin rapide de ceux qu’ils dominent. Nous vivons le temps des Marouts et peu nombreux sont ceux qui en sont conscients. L’affirmation de la tradition hindoue est sans doute plus qu’une image mystique, peut-être même le reflet d’une grande vérité à peine voilée. Guy Tarade Les dossiers noirs de la pollution.