Inflation et récession

Le système est surendetté et le risque bancaire augmente ; en fin de compte, c’est votre argent qui sera utilisé en cas de crise majeure.

La dette croît de plus en plus et fausse l’économie en conséquence. Hélas, les avantages de l’inflation n’incitent pas à la vertu budgétaire et monétaire…

L’économie américaine connaît le plus grand cycle d’expansion économique de son histoire au moment même où les signaux commencent à se dégrader. Combien de temps l’orchestre va-t-il continuer de jouer ?

L’économie US ne repart pas, et les autorités se préparent à faire passer l’inflation de l’industrie financière… vers l’économie réelle.

C’est l’inflation ou la mort, et les autorités mondiales le savent bien. Elles font donc assaut de créativité pour gonfler les prix.

La financiarisation et les taux négatifs expliquée aux extra-terrestres…

Le Dow Jones bat des records… mais l’économie réelle ne confirme pas un tel boom. La Fed est dans l’impasse et les marchés aussi.

Seuls des échappés de l’asile pensent qu’on peut relancer l’économie réelle en y injectant de l’argent factice. Pourtant, cette politique est désormais appliquée un peu partout.

L’inflation est nuisible, mais c’est désormais le seul recours à disposition des autorités pour éviter la catastrophe.

Toutes les mesures de relance se réduisent à une chose au final : l’inflation. Aujourd’hui, les autorités n’ont plus le choix pour maintenir l’équilibre économique.

Les risques de récession augmentent, mettant en danger les belles prévisions des banques centrales. Dans ce contexte, l’or et les minières tirent leur épingle du jeu.

L’inflation a déjà fait des ravages dans l’économie américaine… mais ce n’est qu’un début : les autorités se préparent à en administrer une nouvelle dose.

Les grandes économiques creusent leurs déficits, la croissance ralentit et les chances de récession augmentent : autant d’arguments en faveur du métal jaune.

La répression financière fait rage, mais les autorités qui l’ont mise en place se trompent de raisonnement : gare aux conséquences.

Les banques centrales sont prêtes à tout pour lutter contre la tendance baissière. Un combat hélas perdu d’avance…

De l’Allemagne au Zimbabwe, les crises majeures suivent toujours le même schéma. Où en sont les Etats-Unis actuellement ?

Le pouvoir des banques centrales est devenu énorme – et les gouvernements ne sont pas de taille à lutter.

L’accumulation du capital et des dettes a atteint un point de non-retour, qui menace la croissance réelle et la prospérité. Il faudra avoir le courage de s’y attaquer…