Inflation et récession

Le marché du nickel nous en dit long sur les progrès de la société, mais aussi sur le piège inflationniste tendu par les gouvernements.

Les super bulles de dettes se terminent inévitablement par une crise violente.

Salaires réels… PIB… Et maintenant la productivité. Tout se contracte.

Les alchimistes du gouvernement ont transformé une monnaie fiduciaire en monnaie métallique. Cette petite pièce vaut désormais « trop cher », et ses jours sont comptés.

Nous subissons des pénuries en tous genre… sauf d’absurdités. L’exemple du jour ne sera probablement pas le dernier.

A Jackson Hole, l’une des principales représentantes du FMI a soutenu l’avis inverse de Powell, qui fait reposer l’inflation sur la demande et veut donc agir pour la faire chuter.

Volatilité de l’inflation, variations extrêmes sur les marchés, érosion des revenus, crises du logement, troubles politiques, récession ou révolution sont autant de symptômes…

Statistiquement parlant, l’Inflation Reduction Act est composé à 93,281% de balivernes.

Quels sont les secteurs qui vont profiter de l’inflation ? Comment les gens vont-ils dépenser leur argent dans un contexte où l’inflation est élevée et le moral bas ?

Les prix du gaz atteignent des records démesurés. A ce rythme, une grande partie des Britanniques n’auront plus cet hiver les moyens de se payer ni le chauffage, ni à manger.

Dans un contexte de dette galopante et de baisse des revenus, le gouvernement américain propose un mensonge à 739 Mds$.

La BCE dispose de plusieurs outils pour ne pas provoquer une crise de la dette publique, et ainsi faire survivre l’euro malgré tout.

Quand les revenus du travail baissent et que les prix de l’immobilier suivent, la situation devient vite compliquée pour la classe moyenne.

Appelez ce phénomène comme vous voulez, mais s’il ressemble à un canard, se dandine comme un canard et fait coin-coin comme un canard…

La Bank of England est claire : le pays va manquer de gaz. Et en Allemagne ? Les dépenses des ménages se sont s’effondrées de 8,8% le mois dernier.

Les chiffres du PIB jettent de l’eau froide sur les espoirs d’une reprise robuste.

L’Amérique s’enfonce dans la dette alors que les coûts montent en flèche et que les salaires réels s’effondrent…

Le mouvement fortement baissier sur la parité euro/dollar depuis la fin mai a fait ressortir les scénarios de future disparition de l’euro. Qu’en est-il réellement ?