Pourquoi nous avons décidé de nous consacrer à la sphère privée (1/3)
Après quarante ans au service de l’intérêt public… Donnons un peu de contexte pour les lecteurs de la première heure et les petits nouveaux.
Après quarante ans au service de l’intérêt public… Donnons un peu de contexte pour les lecteurs de la première heure et les petits nouveaux.
Si les périodes de hausse structurelle des marchés peuvent être assimilées à l’été, et les périodes de baisse à l’hiver, la question se pose de savoir où nous en sommes dans le cycle des saisons financières… Attention à préparer votre parapluie !
Même si nos banques devraient être capables de résister face à un défaut sur la dette russe, d’autres chocs qui découleront de ce défaut pourraient faire trembler les fondations du système financier.
La Fed se retrouve dos au mur : va-t-elle remonter fortement ses taux pour limiter l’inflation ? Ou prévenir qu’elle le fera, et espérer que tout le monde se comporte comme si c’était déjà fait ?
Voici que le marché obligataire voit son niveau baisser à vue d’œil et, dans le sens inverse, ses rendements grimper à un rythme record. La vague pourrait emporter le marché immobilier avec elle…
En 2007-2008, la faillite d’une institution en a contaminé d’autres, et l’effet domino n’a été arrêté que par des interventions étatiques. Le scénario pourrait-il se reproduire cette année ?
Certains dirigeants d’entreprises se distinguent par leur capacité à être plus que de « simples patrons ». C’est le cas de Larry Fink, PDG de BlackRock et grand gourou du système.
Les signes se multiplient, permettant de penser que la bulle de tout est en train de craquer sous son propre poids, auquel s’ajoute désormais le poids de la guerre. Mais l’explosion pourrait être encore loin…
Les marchés montent, donc tout va bien ? Si l’obligataire ne donne pas vraiment des signes de bonne santé, un risque d’environ 490 Mds$ avec un fort accent russe rôde aussi dans les coulisses. S’il n’a pour l’instant pas été agressif, cela pourrait changer.
Les marchés obligataires s’effondrent, tandis que les marchés actions continuent de monter… C’est le signe que la hausse est désormais bien due à un facteur et un seul, qui sera confronté à des tensions inédites durant ces prochains mois.
Avec sa hausse de 0,25% du taux directeur, l’annonce que d’autres suivront, et un vocabulaire bien choisi, le président de la Fed souffle le chaud et le froid sur les marchés. Pour l’instant, la sauce ne prend pas.
La spéculation se déchaîne encore plus que précédemment, depuis le 24 février. Au point que des matières premières ont vu leurs cours s’envoler avant de s’effondrer, tandis que les obligations n’offrent plus aucun refuge.
Les actions de sociétés russes ont perdu presque toute leur valeur début mars, alors qu’elles baissaient déjà depuis le début de l’année. Fallait-il être fou pour en posséder ? Ou tout simplement contrarien…
Quand les marchés explosent à la hausse un jour puis à la baisse le lendemain en fonction des dernières annonces ou de l’actualité, il est certainement dangereux d’investir. Des stratégies permettent toutefois de viser les bons moments et les bonnes valeurs.
La chute récente sur les marchés financiers a une cause clairement établie par tous les analystes : le conflit en Ukraine. Mais d’autres éléments plus ou moins liés poussent aussi les Bourses vers le bas.
Il est relativement inutile de chercher à prédire l’orientation des marchés tous les jours. En revanche, il est bien plus profitable d’avoir un modèle de long terme, et de s’y tenir. Par exemple en ne faisant que six opérations en 110 ans… bien assez pour devenir multi-millionnaire…
Si prendre des risques quand on est un jeune investisseur n’est pas forcément une mauvaise idée, ça l’est bien plus à l’approche de la retraite… Alors mieux vaut savoir quels sont les actifs les plus risqués du moment.
Comment réagir quand votre monnaie et votre économie s’effondrent autour de vous ? La banque centrale russe a en tout cas déjà choisi sa victime expiatoire pour tenter d’empêcher la panique…