Cette fois, c’est différent ? Hélas, nous ne vivons pas en théorie (2/2)
La croissance mondiale ne dépend pas que du bon vouloir des banques centrales… surtout lorsqu’il s’agit d’économie réelle.
La croissance mondiale ne dépend pas que du bon vouloir des banques centrales… surtout lorsqu’il s’agit d’économie réelle.
L’économie américaine vient de renouveler son record de croissance : les banques centrales ont-elles trouvé la recette miracle, celle qui supprime toutes les crises et les incertitudes ?
Les banques centrales de la planète ont ouvert les vannes du crédit illimité, mais l’économie réelle reste désespérément morose.
Achetez des actions, exhortent les initiés de l’industrie financière – sauf que les marchés n’ont jamais été plus chers… et à qui profitent ces achats, exactement ? Aux initiés.
La France a des atouts… mais ils sont éphémères et intrinsèquement liés à ses faiblesses. En termes de croissance, 2020 ne sera pas 2019.
La croissance allemande est paresseuse, voire inquiétante. La France pourrait-elle profiter de la faiblesse de son puissant voisin ?
« L’économie va très bien », entend-on partout. C’est une opinion… que les faits contredisent. La récession n’est pas loin.
Les perspectives de l’Allemagne ne sont pas bonnes – et cela pour des raisons structurelles, qui dépassent les simples obstacles conjoncturels.
Le déclin des Etats-Unis – et l’ascension de la Chine – signalent un changement beaucoup plus profond, et à l’échelle mondiale.
Deux superpuissances sont en train de s’opposer – l’une sur la pente descendante, l’autre ascendante. Des structures profondes sont remises en cause.
L’Allemagne s’essouffle… et cela remet fondamentalement en question les rapports de force au sein de la Zone euro : est-ce durable ?
Le Venezuela est la plus grosse catastrophe économique de ce siècle… pour l’instant. Un désastre plus grave encore guette, et il se produira aux Etats-Unis.
La France est championne du monde des dépenses sociales… mais des chiffres montrent que cela ne se reflète guère dans le niveau de revenus des citoyens.
Les investissements dans les secteurs non-productifs et la spéculation pèsent désormais sur la croissance… et c’est loin d’être terminé.
Pourquoi l’économie ralentit-elle ? La stagnation est-elle inéluctable… ou le résultat de mauvais choix politiques et économiques de longue date ?
Les prévisions de croissance baissent pour la Zone euro et tous ses membres… mais selon la Commission européenne, c’est de la faute des autres.
Les êtres humains sont généralement idiots… et la conjoncture actuelle, où l’on favorise l’argent factice au détriment de l’économie réelle…
La production industrielle chute, les taux sont nuls ou négatifs, les banques sont soutenues par la BCE. Comment faire repartir la machine économique ?