Les taux d’intérêt bas imposés par la Fed favorisent-ils la croissance économique ?
Contrairement à ce que pense Donald Trump, baisser les taux d’intérêt ne stimule pas durablement l’économie.
Contrairement à ce que pense Donald Trump, baisser les taux d’intérêt ne stimule pas durablement l’économie.
Longtemps envisagée comme un délire de goldbug, l’hypothèse d’un contrôle de la courbe des taux aux Etats-Unis est en train de devenir mainstream… Comment le cours de l’or réagirait-il dans un tel scénario ?
Entre intérêts souverains, dettes abyssales et retour de la loi du plus fort, l’inflation pourrait bien devenir l’instrument silencieux de la transition vers un ordre nouveau.
Ce volet aborde deux signes de l’exubérance monétaire : la hausse des actifs financiers et les sursouscriptions massives aux émissions obligataires.
Depuis 2016, les banques de la zone euro baignent dans une surliquidité structurelle.
Tous les signaux pointent vers une politique monétaire que l’on ne peut plus qualifier d’accommodante, mais bien d’exubérante.
La Fed semble s’entêter dans une politique de taux élevés, au risque d’asphyxier l’économie américaine. Une stratégie isolée à l’échelle mondiale…
Faut-il s’attendre à un retour à une forme d’étalon-or ? Pour répondre à cette question, il faut commencer par jeter un coup d’œil dans le rétroviseur…
Face aux tensions géopolitiques, l’Europe s’apprête à injecter près de 1 000 milliards d’euros pour financer son réarmement.
La Banque centrale européenne traverse une crise sans précédent. La remontée brutale des taux d’intérêt a fait exploser son déficit…
Derrière la façade d’une économie en apparente résilience, la situation financière de la Fed révèle des failles inquiétantes. Avec des pertes record et une politique monétaire sous pression, l’avenir du billet vert comme valeur refuge pourrait être remis en question…
La Fed amorce un cycle de baisse des taux. Quelles seront les conséquences sur l’épargne, les investissements et les secteurs clés de l’économie ?
L’excès de création monétaire inscrit au passif des banques centrales entraînera une dévalorisation significative de la monnaie.
En 2024, les pertes record des grandes banques centrales pour l’exercice 2023 révèlent une fragilité croissante de leur rentabilité.
Le système monétaire actuel se dirige vers un effondrement.
L’aléa moral, exacerbé par l’interventionnisme des banques centrales, encourage une prise de risques excessive sur les marchés financiers.
L’aléa moral, initialement une notion liée à l’assurance, s’est profondément ancré dans la finance mondiale.
L’objectif officiel d’inflation des prix de 2 % sans cesse revendiqué par la Réserve fédérale n’est guère plus qu’un slogan politique.
