Ukraine-Russie : qui est en première ligne ? La réponse est surprenante…
La Russie a annexé la Crimée le week-end dernier. Malgré les menaces de sanctions lancées par l’Europe et les Etats-Unis, Poutine ne semble guère décontenancé…
La Russie a annexé la Crimée le week-end dernier. Malgré les menaces de sanctions lancées par l’Europe et les Etats-Unis, Poutine ne semble guère décontenancé…
Dans l’Hexagone, pour le moment, je dois dire que je ne suis pas emballé plus que cela quand je vois les cas de L’Oréal ou encore de STMicroelectronics. Désolé mais contrairement à la maxime ambiante, j’ai du mal à me dire que tout va bien dans le meilleur des mondes…
▪ Le mois dernier se tenait à Paris le salon Actionaria. Après avoir fait une synthèse des nombreuses discussions passionnantes que j’ai pu avoir avec certains d’entre vous à cette occasion, je me permets de revenir sur certains aspects du money management.
Que les choses soient claires : je ne vais pas vous parler ici de long terme, mais nous allons analyser les mouvements de l’or d’un point de vue technique, pour jouer un mouvement plus court terme. Donc aujourd’hui, faut-il vendre l’or ou, au contraire, en profiter pour « charger la mule » ?
▪ Pour bien investir en Bourse, la question du timing d’entrée en position est essentielle. Je vais donc revenir aujourd’hui sur la manière de trader ce que l’on appelle « les configurations d’attente ». Je fais référence ici aux drapeaux, biseaux et autres triangles. C’est justement cette dernière figure qui va nous intéresser ici, avec une illustration sur Atos Origin à l’appui.
Vous voulez vous couvrir cet été ? Non, je ne parle pas de la météo (quoique) mais bien des marchés financiers. A l’heure où le S&P 500 remonte en flèche, cela peut s’avérer opportun. D’ailleurs, à cet effet, j’ai repéré un produit particulièrement adapté pour protéger vos gains si vous avez profité du rebond.
Le ratio de Sharpe vous permet de bien gérer la volatilité de votre portefeuille afin de lisser votre risque — c’est l’une des conditions pour être gagnant sur la durée.
▪ Intervenir sur les marchés demande méthode et régularité pour être gagnant dans la durée. C’est grâce à cette rigueur que la performance nette de notre portefeuille, dans le cadre de mon service, Agora CFD, dépasse les 35% depuis le 1er juillet 2010.
▪ Le potentiel des CFD est spectaculaire — à condition de les utiliser avec méthode. Et quand je dis méthode, je pense notamment au money management : des règles de prudence strictes s’imposent si vous voulez investir en toute sécurité avec les CFD et accroître votre capital sereinement. Je vous propose d’ailleurs un webinaire le 5 juin sur ce sujet (j’y reviens dans un instant).
▪ Selon le célèbre StockTrader’s Almanac, depuis 1950, l’indice élargi américain affiche une progression moyenne d’un peu plus de 1% entre octobre et mai, contre un rendement moyen de 7% entre novembre et avril. Statistiquement donc, la période mai/octobre est plutôt défavorable aux actions. Entre détachement de dividende, jours fériés et autres poses estivales (qui réduit les volumes), on constate aisément que cet adage se vérifie souvent.
▪ Après avoir tutoyé les 3 600 points il y a 10 jours, le CAC 40 s’est finalement retourné sous ce niveau la semaine dernière. Il revient aujourd’hui sous les 3 450 points. A quoi s’attendre aujourd’hui sur ces niveaux : retournement de tendance ou nouvelle phase de hausse ? Voilà mon opinion.
▪ A l’heure où la situation s’apaise sur les marchés avec le répit pour la Grèce, à l’heure où l’obligataire se détend en Espagne ou en Italie grâce à la BCE, à l’heure où le CAC 40 a dépassé franchement les 3 500 points, une chute de 4 000 points du Dow Jones Industrial vous semble assez improbable.
L’année du Dragon a bien débuté pour la Bourse chinoise. Son indice de référence, le Shanghai Composite (SSE), s’est offert un rebond intéressant depuis un peu plus d’un mois. Nous sommes aujourd’hui à l’approche des 2 400 points. Et, comme nous allons le voir, la structure graphique de la remontée n’est, selon moi, pas des plus encourageantes.
▪ Depuis plusieurs semaines, le métal précieux vivote sous les 1 800 $. A l’heure où j’écris ces lignes, alors que l’EUR/USD semble parti pour revenir tester les 1,30, le métal précieux pourrait faire l’objet de ventes en cette fin d’année…
▪ Depuis le début de la crise de la dette souveraine en Europe, l’Allemagne se pose en « bon élève de la classe » face à ses camarades à la dérive tels que l’Espagne, l’Italie ou même la France.
Les soubresauts de la Grèce la semaine dernière contribuent à alimenter la spirale négative sur les dettes européennes. Derrière le cas hellénique, l’Italie reste au coeur des préoccupations des investisseurs. Pour l’un des pays les plus endettés de la Zone euro (la dette représente 120% du PIB), la « zone rouge » n’est désormais plus très loin…
Cela faisait deux semaines que tout rebondissait. Indices, EURUSD, matières premières… Les séances de hausse se sont enchaînées sans qu’il y ait réellement de consolidation intermédiaire. Jusqu’à lundi dernier. Le 14 octobre, le Brent alignait ainsi sa huitième séance consécutive de hausse !
▪ La Fed n’a épargné personne mercredi dernier. Tous les actifs ont été massivement vendus avec, comme finalité, le fameux « cash is king ». Alors que certains hedge funds prennent leurs gains sur le métal précieux (pour compenser les pertes subies ailleurs), le métal jaune n’a pas été épargné.