Le pétrole occupe peut-être le devant de la scène, ces derniers temps, mais le charbon est loin de s’être endormi. En fait, on pourrait même dire que le monde dépend plus que jamais du charbon. Selon de récents chiffres publiés par l’Institut mondial du charbon, 24,4% de la consommation d’énergie primaire de la planète provient du charbon. Sa part dans la génération d’électricité planétaire est de 40,1%. Aux Etats-Unis, plus de la moitié de l’électricité du pays provient du charbon. En Chine et en Australie, le total approche les 80% ; en Pologne et en Afrique du Sud, on dépasse les 90%.
justicelitle
-
-
Cigar Lake, dans la province de Saskatchewan, au Canada, renferme l’un des plus riches gisements de minerai d’uranium au monde. Avec 232 millions de livres de réserves prouvées et probables, la valeur économique de ce dépôt frôle les 14 milliards de dollars selon les récents prix au comptant.
-
– Le soleil, lui, est plutôt "à grande échelle", et il produit une quantité impressionnante d’énergie. En fait, il baigne la terre de plus d’énergie potentielle que nous pourrions espérer en utiliser (il a été calculé que les humaines utilisent actuellement environ un millionième d’un milliardième de la production totale du soleil).
-
Prenez le pétrole, par exemple. Si le prix du pétrole grimpe, c’est un signe haussier parce que cela indique une forte demande mondiale. Si le prix du pétrole baisse, c’est censé être haussier aussi, parce que cela revient à une "baisse d’impôts" pour les consommateurs. Peu importe que le deuxième argument contredise le premier. Si la hausse du pétrole est haussière parce que cela indique une demande vigoureuse, la baisse ne devrait-elle pas être négative en termes d’affaiblissement de la demande ? Il y a bien d’autres subtilités à prendre en compte ici ; l’idée est simplement que pour les commentateurs en tous genre, à peu près tous les mouvements du pétrole sont de bonnes nouvelles. En fait, à peut près tout ce qui se passe est une bonne nouvelle. Pour un homme doté d’un marteau haussier, tous les faits ressemblent à des clous.
-
La production mondiale de pétrole a-t-elle dépassé son sommet ? Et si oui, comment les investisseurs devraient-ils réagir ? Nous posons cette question au vu du fait que les schistes bitumineux d’Amérique du Nord contiennent des milliards de barils de pétrole récupérable "théoriquement". Théoriquement, donc, la production mondiale de pétrole n’a peut-être pas encore dépassé son sommet.
-
Si vous chauffez votre maison au gaz naturel, assurer vos besoins hivernaux aux prix bon marché du moment ne serait pas une mauvaise idée. De même, si vous espérez réchauffer un peu votre portefeuille dans les mois qui viennent, investir dans les actions de gaz naturel aux cours actuels pourrait être intéressant.
-
Le déversoir amène les ordures dans un fourneau géant, qui les force ensuite à descendre sur une grille. La grille en question possède des barreaux mobiles qui mélangent les ordures en combustion avec les ordures fraîchement arrivées, afin de les enflammer. Ce fourneau est très chaud — entre 982 et 1 100°C. Les parois du fourneau sont revêtues de tubes d’acier ; la chaleur du procédé de combustion transforme l’eau dans ces tubes en vapeur.
-
Maintenant que la Corée du Nord teste ses missiles dans la mer du Japon et qu’Israël lance de véritables missiles sur le Liban, peu d’investisseurs se pressent pour acheter des actions. Même les actions aurifères et pétrolières trouvent peu d’acheteurs. Mais ces inquiétudes de court terme (nous l’espérons) créent des opportunités pour les investisseurs de long terme — en particulier pour ceux qui possèdent certaines des plus grandes sociétés de ressources naturelles au monde.
-
C’est très vrai. Tous les investisseurs et traders expérimentés ont des méthodes de travail permettant de gérer le court terme. En fait, si vous êtes un trader, le court terme est votre habitat naturel, ce qui vous facilite la tâche lorsqu’il s’agit d’effacer l’ardoise et de chercher de nouvelles pistes.
-
ExxonMobil est la plus grande société d’énergie conventionnelle aux USA. Mais General Electric est en passe de devenir la plus grande société d’énergie non-conventionnelle. Aussi étrange que cela puisse paraître, ces deux géants représentent les deux faces d’une même médaille. Tandis que les majors pétrolières comme Exxon luttent pour remplacer leurs réserves de pétrole à un coût raisonnable, la demande en énergies alternatives et technologies propres ira en se renforçant.