Les signes d’une crise budgétaire et probablement monétaire
Une crise monétaire et obligataire couve toujours dans beaucoup de pays, malgré le calme apparent des marchés financiers.
Une crise monétaire et obligataire couve toujours dans beaucoup de pays, malgré le calme apparent des marchés financiers.
L’écart de richesse entre les Etats-Unis et l’Europe devrait encore se creuser, incitant à investir sur les marchés actions américains plutôt qu’européens.
Les experts pointent du doigt la rigidité des modèles européens, mais également les opportunités manquées dans des secteurs porteurs.
Des géants comme Auchan annoncent des suppressions massives d’emplois.
En pleine tourmente économique, la BNP affiche une hausse globale de ses revenus au dernier trimestre.
Alors que Sanofi envisage de céder la marque Doliprane à un fonds d’investissement américain, la classe politique française s’enflamme autour de la perte de souveraineté du groupe.
Le Japon, la France et les Etats-Unis sont dans des situations budgétaires désastreuses. Les gouvernements recourront aux vieilles recettes…
Le budget 2025 présenté par Michel Barnier n’est-il qu’une répétition des erreurs passées ?
La formation de bulles crée des déséquilibres entre l’offre et la demande.
Les relations de plus en plus houleuses entre la Chine et les Etats-Unis précipitent-elles la fin d’un cycle ?
Après la difficile nomination d’un Premier ministre, attendons l’accouchement encore plus difficile d’un budget…
Le Japon se retrouve le premier à faire face au mur de sa dette ; les épargnants semblent maintenant comprendre que la valeur du yen ne sera plus garantie.
La chute d’Atos illustre les dangers d’une stratégie d’investissement mal maîtrisée et d’une dette excessive, sans le soutien des banques centrales.
Le récent ralentissement du marché suscite des déceptions et remet en question les attentes initiales concernant l’adoption des véhicules électriques.
La presse et les économistes soutiennent les dépenses et les déficits.
Des tomates à plus de 34 euros le kilo, et des agriculteurs qui se suicident.
Les gouvernements et les écologistes s’allient pour créer des blocages et des difficultés pour les sociétés comme TotalEnergies.
Les excès de production – une forme de surcoût et de gâchis pour le secteur de l’énergie – font partie des raisons de la hausse des prix de l’électricité en cours.