« Des personnes d’extrême-gauche ciblent spécifiquement les voitures de luxe allemandes, symboles de la richesse et de la puissance du pays, portant le nombre de véhicules brûlés dans la capitale allemande cette année à 138 au moins, plus du double du chiffre enregistré sur l’ensemble de 2010 ».
croissance
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Or & Matières Premières
1 600 $ pour l'or : est-il temps de vendre ?
par Bill Bonner 19 juillet 2011▪ L’or a dépassé les 1 600 $ : est-il temps de vendre ? Non, de loin pas. Il devrait atteindre 2 500 $ rien que pour toucher le sommet — ajusté à l’inflation — fixé il y a 30 ans.
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Inflation et récession
La dette des Etats n'est qu'une partie d'un phénomène bien plus vaste
par Bill Bonner 15 juillet 2011▪ Que se passe-t-il ? Nous n’en savons rien. Mais nous voyons beaucoup de peaux de banane sur les trottoirs financiers en ce moment. Soyez prudent, cher lecteur ; soyez très prudent.
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Inflation et récession
Quels investissements faire pour se protéger des catastrophes ?
par Françoise Garteiser 2 juillet 2011▪ Le QE2 a pris fin. L’affaire DSK a connu un retournement spectaculaire. La Grèce se serre la ceinture… et manifeste. L’Angleterre a fait grève. Et les marchés ? Ils grimpent, aux dernières nouvelles.
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Inflation et récession
Les obligations et le dollar US, un dangereux abri contre la crise de la dette souveraine
par Bill Bonner 30 juin 2011Dans le Wall Street Journal, Lindsey livre des pensées qui pourraient venir directement de la Chronique Agora. Il note d’abord que les problèmes budgétaires auxquels est confronté le gouvernement américain sont plus vastes qu’on le déclare en général. Les taux de croissance ont été surestimés, dit-il, tandis que les coûts des intérêts et les déficits ont été largement sous-évalués.
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Inflation et récessionOr & Matières Premières
La dette souveraine des Etats-Unis profite à l'or
par Byron King 29 juin 2011▪ Une sombre menace plane sur le dollar américain et la capacité (ou plutôt l’incapacité) du gouvernement des Etats-Unis à payer son dû dans le futur.
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Ces derniers jours, nous nous concentrons sur les étranges événements qui affectent notre XXIe siècle. En dépit des conditions initiales les plus prometteuses de l’histoire, le siècle s’est révélé être un flop, jusqu’à présent.
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▪ Les obligations deviennent plus chères. L’or, les actions et l’immobilier, eux, perdent du terrain.
Pour l’instant, ce ne sont pas encore des tendances. Il est trop tôt. Ce ne sont que des suppositions — mais elles pourraient se révéler être correctes.
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« La hausse du dollar signale que les actions peuvent chuter », dit une dépêche Bloomberg. « La corrélation inverse entre les marchés actions américains et la parité du dollar suggère qu’une hausse de la devise peut provoquer une chute des actions dans les trois prochains mois, selon Myles Zyblock, directeur de la stratégie de RBC Capital Markets »
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▪ Les Américains doivent être les benêts les plus crédules du monde. Ils sont prêts à croire n’importe quoi. Aucun fantasme n’est trop absurde. Aucun mensonge n’est trop ridicule. Une…
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Auriez-vous pu deviner en voyant l’euphorie des indices boursiers que la Chine venait d’annoncer mardi midi un nouveau tour de vis monétaire pour bien commencer "l’Année du Lapin" ? C’était largement anticipé en cette période de Nouvel An chinois, affirment les économistes. Aucune conséquence fâcheuse sur la bulle immobilière n’est à redouter : on n’est pas aux Etats-Unis, que diable, les candidats au mirage immobilier se comptent par centaines de millions
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14 $. C’est la chute enregistrée par l’or en une seule séance jeudi dernier. Pourquoi l’or baisse-t-il ? Comme on pouvait s’y attendre, la Grande Correction continue. L’inflation des prix à la consommation américaine reste modérée. Les spéculateurs commencent à s’inquiéter. Ils ont acheté de l’or… à prix d’or. Et s’il y avait vraiment une reprise ? Qui aurait besoin d’or
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Il se confirme que l’économie américaine n’irait pas loin sans son injection quotidienne d’adrénaline (la poche de goutte à goutte indique "QE2 – Taux 0,25%") pour soutenir son rythme cardiaque. Avec tout ce que le docteur Bernanke a injecté comme produits dopants dans ses veines à raison de cinq milliards de dollars par jour depuis début décembre, il y aurait de quoi faire repartir le coeur d’une baleine bleue échouée depuis trois jours sur une plage glacée de l’Alaska
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Les Etats-Unis ont désormais un taux de chômage supérieur à celui de la Russie… de la Grande-Bretagne… de l’Allemagne… ou du Japon. En termes de chômage, les Etats-Unis font partie des meilleurs au monde. Pourquoi donc ? Les économistes n’arrivent pas à comprendre. Selon l’économiste de Harvard Lawrence Katz, c’est "authentiquement déroutant"
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La plupart des économistes pensent que les problèmes financiers des Etats-Unis — et du reste du monde — sont une récession typique, causée par un manque de demande. Selon eux, il suffirait de déterminer comment stimuler le consommateur… et tout irait bien
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Lorsqu’on a plus de dettes qu’on ne peut en payer, mieux vaut le reconnaître… faire défaut… baisser la tête… présenter des excuses… promettre qu’on ne vous y reprendra plus… … et retourner à vos affaires. Le plus tôt sera le mieux. D’où vient cet auguste conseil ? De l’histoire récente — et pas si récente
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La vie coule. Le progrès matériel s’accumule. L’histoire de la vie humaine sur terre s’allonge, et devient plus intéressante. Nous n’en voyons pas la fin. Mais chaque partie qui la compose finit par s’achever un jour. Chaque vie, chaque économie, chaque entreprise, chaque société et chaque civilisation continue de s’affaiblir, de rouiller et de s’auto-exterminer
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Il y avait quelque chose d’amusant dans les nouvelles d’hier : le Japon est venu en aide à l’Europe. Suivant l’exemple de la Chine, le Japon a déclaré qu’il allait prêter de l’argent aux pauvres Européens. Qu’est-ce que ces étranges bienfaiteurs ont derrière la tête ? Pourquoi est-ce que le Japon — qui a la plus lourde dette au monde… et est tout juste capable de financer ses propres déficits — prête aux Européens