Bitcoin, Ethereum… et autres Cryptomonnaies
La concurrence entre cybermonnaies est un gage de durabilité et d’amélioration. Les moyens de paiement privés concurrents des monnaies d’Etat vont devenir « antifragiles »…
La concurrence entre cybermonnaies est un gage de durabilité et d’amélioration. Les moyens de paiement privés concurrents des monnaies d’Etat vont devenir « antifragiles »…
Les cryptomonnaies pourraient contraindre les banques centrales à plus de discipline dans leur « politique monétaires » et plus efficacement que des montagnes de pseudo réglementation…
Le Japon puis la Russie révisent leurs positions quant au bitcoin, officialisant ainsi la cryptomonnaie et multipliant la demande. Est-il temps d’acquérir des bitcoins ?
Une mécanique infernale et inattendue se met en place. L’euro pourrait monter, les Allemands étant hostiles à la poursuite des assouplissements monétaires. Le dollar pourrait baisser, les élections présidentielles tournant au cauchemar. Ceci crée une énorme opportunité.
Les banques centrales s’enfoncent dans le déni de réalité. L’échec de leurs politiques monétaires est patent que ce soit au Japon, aux Etats-Unis ou en Zone euro… mais elles refusent de l’acter.
Voici la quantité de crédit qui a été injectée par les banques centrales depuis le début du millénaire.
Le régime de l’étalon-dollar a remplacé celui de l’étalon-or. Ceci a conduit à des déséquilibres commerciaux puis financiers à l’échelle mondiale. Ce système est à bout de souffle…
Selon les nouveaux chiffres du FMI, la masse monétaire mondiale est actuellement de 10 900 milliards de dollars. Sur ce montant, 6 800 milliards peuvent être alloués aux monnaies nationales. Les réserves de change sont détenues par les banques centrales pour soutenir leur propre devise…
Assouplissements monétaires, création de crédit adossé à rien, taux négatifs… Tout ceci vise à nous faire endosser les pertes des banques et le surendettement des Etats. Les banquiers centraux n’ont qu’un but : prolonger le système monétaire et financier actuel…
En mars, l’excédent du compte courant de la Zone euro (ZE19) était de 27,3 milliards d’euros ; sur le même mois l’année dernière, il avait atteint 25,7 milliards d’euros…
Le temps est exquis, printanier même. Nous sommes assis à la terrasse du célèbre café Sprüngli à Zurich et nous dégustons un chocolat chaud aussi suave qu’onctueux, recouvert d’une chantilly digne des meilleures pâtisseries munichoises. Un luxe… pour la gourmande que je suis…
Comme nous l’avons vu vendredi, un arrimage du taux de change signifie que la monnaie arrimée monte et baisse avec la devise maîtresse. Lorsque le dollar a grimpé, il a entraîné avec lui le yuan, rendant les exportations chinoises plus chères…
La guerre des devises semble désormais ouverte : yen, dollar, yuan, rien ne va plus !
Depuis quelques semaines déjà, un calme étrange règne sur les marchés des changes. L’euro reste solide tandis que le dollar ne progresse plus. Le yuan n’a plus été dévalué et le yen fluctue dans un étroit couloir, sans grande variation…
J’adore la façon dont les Chinois trouvent toujours à répondre aux étrangers qui disent des bonnes ou des mauvaises choses sur eux en faisant avec le renminbi le contraire de ce à quoi se seraient attendus les marchés…
Il est de ces rares séances sur les marchés financiers où tout semble devenir limpide, jusqu’aux plus surprenants paradoxes. La journée de vendredi l’a parfaitement illustré à Wall Street…
S’il y a un décalage entre la date de l’annonce et la date de prise d’effet du nouveau panier des DTS, c’est pour donner aux grands acteurs le temps de « rééquilibrer » leurs portefeuilles…
Ca y est, c’est fait : la monnaie chinoise, le yuan, a été adoubée devise de réserve par le Fonds monétaire international et fera partie du panier des DTS. Cela ne vous concerne pas ? Pas si vite…
Ce mois-ci, nous consacrons la totalité du numéro d’Intelligence Stratégique à l’idée d’investissement la plus importante que nous ayons formulée : la mort progressive du dollar en tant que première monnaie de réserve mondiale…