First Majestic : il n’y a pas que l’or dans la vie !
L’or devrait connaître une belle trajectoire dans les temps qui viennent – et son cousin l’argent-métal ne sera sans doute pas en reste : voici un moyen d’en profiter.
L’or devrait connaître une belle trajectoire dans les temps qui viennent – et son cousin l’argent-métal ne sera sans doute pas en reste : voici un moyen d’en profiter.
Les minières ont un cycle de vie bien précis – et les chiffres le prouvent : se positionner au bon moment permet de rapporter des gains réguliers et conséquents.
Les compagnies minières ouvrent des opportunités parfois spectaculaires – mais il faut comprendre leur cycle de vie, et savoir se positionner au bon moment.
Selon Bloomberg la semaine dernière, « les prix des terres rares vont accentuer leur baisse depuis les plus hauts atteints cette année ». C’est une déclaration officielle : le boom que nous avons dernièrement suivi avec enthousiasme… a fait un flop. Mais nous tenons à vous informer que l’histoire ne s’arrête pas là.
▪ Les cartographes financiers ont redécouvert l’Europe… et l’aggravation de sa crise de la dette. Les Bourses européennes sont en baisse de près de 3% — tirées vers le bas par les titres bancaires européens. Le coupable ? La Grèce… encore une fois.
Jusqu’à présent, dans le contexte de crise, l’argent-métal me semblait un parent pauvre de l’or. Les banques centrales n’ont pas d’argent dans leurs coffres, tandis qu’elles stockent encore un peu d’or. Cependant, un phénomène récent m’a fait changer d’attitude : les Chinois se sont mis à l’argent. Les pièces ont triplé l’année dernière
Les minières aurifères s’envolent. Logique. Elles sont positivement corrélées à l’once, effet de levier en plus. A chaque fois que l’once prend quelques dollars, la valeur de leurs réserves d’or dans les sous-sols gonfle. Etant donné "l’effet volume" qu’induisent ces réserves, nous ne parlons plus ici de quelques dollars. L’envolée de la capitalisation des minières aurifères se chiffre en centaines de millions de dollars
Barrick consacrera 1,5 milliard à la réduction de ses ventes à terme à prix flottants, soit 6,5 millions d’onces (M oz). Mais pourquoi a-t-il agi ainsi ? Parce qu’il croit en la hausse de l’or
Premier mineur d’or au monde, le canadien Barrick Gold est en train de réduire drastiquement la taille de son hedge book. Et comme il s’y prend tard, cela lui coûte cher. Cette nouvelle devrait accélérer la quasi-disparition du hedging. Je m’explique
Si vous suivez l’évolution des matières premières, vous vous intéressez certainement aux valeurs minières. Et le rebond des minières depuis leurs plus bas niveaux d’octobre dernier ne vous a certainement pas échappé. C’est à vous couper le souffle : +226% pour le XAU qui est passé de 63 à 206 points en 11 mois. Les investisseurs qui ont investi dans les minières sont ravis
Si vous achetez de l’or pour spéculer, tout est bon : certificat à effet de levier, minières… En revanche, si vous achetez de l’or pour abriter une partie de votre patrimoine, le meilleur support est l’or physique ou celui qui en est le plus proche. La spéculation recherche l’effet de levier, mais augmente le risque. Il existe un certificat "turbo infini" qui se propose de répliquer deux fois la performance de l’or. Comme tout certificat, celui-ci vaut autant que la signature de son émetteur