Nous avons donné à Alan Greenspan le bénéfice du doute. Peut-être devrions-nous reconsidérer l’oeuvre de Thomas L. Friedman ?
Thomas Friedman
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Epargne
Pourquoi les restrictions budgétaires sont hors de question
par Bill Bonner 23 septembre 2010"Ces dernières années, j’ai souvent dit à mes amis européens : vous n’aimiez pas un monde où les Etats-Unis avaient trop de pouvoir ? Eh bien, on va voir si vous appréciez un monde où les Américains n’ont pas assez de pouvoir — parce c’est ce qui attend la géopolitique. Oui, les Etats-Unis sont passés de vainqueur suprême de la Deuxième Guerre mondiale, avec des fusils et du beurre pour tous, à l’une des deux super-puissances de la guerre froide, puis à la nation indispensable après avoir gagné ladite guerre froide, et enfin à la ‘Superpuissance frugale’ d’aujourd’hui. Il faut vous y faire. C’est notre nouveau surnom
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Friedman a des conseils à donner sur tout. Il conseille les ministres des Finances sur le perfectionnement de leurs économies. Il conseille le monde arabe sur la mise à jour de ses institutions religieuses. Il conseille des pays entiers sur l’amélioration de l’avenir avant qu’il ne se produise. Et le voilà qui conseille James Chanos, célèbre vendeur à découvert, sur les manières de gagner de l’argent
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Nous avons bien ri hier matin. Notre philosophe préféré, Thomas L. Friedman, a semblé comprendre tout à coup quelque chose d’important : "Il n’y a pas de remède miracle à cette économie de crise", a-t-il déclaré. "Le fait qu’il n’y ait pas de pilule unique ne signifie pas qu’il n’y a rien à faire […] Bonne chance, Tom. Les gens qui font toutes ces merveilleuses choses sont ceux-là mêmes qui n’ont pas remarqué que quelque chose n’allait pas dans le secteur financier
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Vous vous souvenez de la vague de terreur du début des années 2000 ? Friedman était au premier rang… hurlant pour que la foule se mobilise… les poussant à la panique. Sans quoi les terroristes allaient faire exploser tous les bâtiments publics et boutiques de lingerie de la chrétienté. Plus récemment, il y a eu sa crise de panique sur la hausse du pétrole. Une fois encore, il fallait "faire quelque chose" ! A présent, c’est la crise financière qui lui donne des sueurs froides