La Chine reste tout de même confrontée à un problème de taille : il s’agit du dollar, qui constitue encore près de deux tiers de ses réserves de changes. Pékin apparaît plus que jamais l’otage de Washington. C’est une situation qui demeure gérable mais que la hausse du yen (qui repasse le cap des 84 face au billet vert) rend de plus en plus délicate. Dans le même temps, les banques chinoises apparaissent notoirement sous-capitalisées en regard des encours de prêts immobiliers qu’elles détiennent ; les capitaux à réinjecter se chiffrent en centaines de milliards de dollars
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