Le prix du baril de pétrole est passé de 55 à 85 $ environ cette année. Une hausse tout à fait logique pour ceux qui suivent les politiques publiques et les investissements liés au secteur.
secteur pétrolier
-
-
Croissance, pays émergentsOr & Matières Premières
La révolution des gaz de schiste pourrait se propager au secteur du pétrole
par florentdetroy 9 mars 2012▪ Non, ne vendez pas tout de suite votre Range Rover, pas avant d’avoir lu ces quelques lignes. Depuis maintenant plusieurs années, le secteur du pétrole est sous haute tension. La flambée des prix du pétrole que nous avons tous subi en 2008 nous avait donné un avant-goût de ce qui pouvait nous attendre.
-
Depuis le début de l’année, le parcours des valeurs pétrolières et gazières est laborieux : l’indice sectoriel DJ Stoxx 600 Oil & Gas composé des plus importants acteurs cède 7,5% tandis que l’indice européen généraliste DJ Stoxx 600 progresse de 3,6%. Faut-il parier sur un rattrapage ou bien, au contraire, sur une aggravation de la situation ?
-
Epargne
Le secteur pétrolier va devoir renforcer la qualité et la sécurité de ses forages
par fredericlaurent 17 juin 2010La marée noire s’étend de jour en jour — on parle de 800 000 tonnes se déversant quotidiennement dans le golfe du Mexique. Malgré toutes les opérations de sauvetage tentées par BP, la majeure partie d’entre elles se sont soldées par des échecs — en espérant que l’entonnoir posé récemment ne prenne pas le même chemin
-
C’est peut-être réconfortant de croire que la production de pétrole mondiale peut augmenter. De fait, de nombreux dirigeants aux Etats-Unis et en Europe rêvent tous les soirs de la façon dont le volume de pétrole actuel, d’environ 85 millions de barils par jour, pourrait atteindre les 95 millions de barils par jour. Oui, bien sûr. Sauf que l’industrie pétrolière mondiale n’est pas ce modèle d’efficacité rêvée
-
En juillet dernier, le pétrole se vendait 147 $ le baril. La semaine dernière, un baril de pétrole se vendait 43 $ et des poussières. Au cours des cinq derniers mois, le pétrole a donc baissé de 100 $. C’est une chute de 71%. Et j’ai vu les prévisions de divers secteurs liés à la vente de pétrole qui annonçaient le pétrole à 30 ou 25 $ le baril dans les mois à venir. Impressionnant. Que s’est-il passé
-
Il y a quatre mois, nous nous trouvions dans une situation de destruction de la demande avec des prix au sommet et un ralentissement de l’économie compromettant la croissance de la consommation globale de pétrole. Maintenant, l’AIE s’inquiète d’une destruction potentielle de l’offre, car les producteurs mettent en sommeil les projets coûteux. Or les décisions d’investissement prises actuellement sont d’une importance cruciale
-
Le point de vue de Rainwater est simple : une demande mondiale de plus en plus importante va faire monter le prix du pétrole sur le long terme. Mais Rainwater n’est pas seul. Les analystes et les experts de l’industrie pétrolière — comme le magnat du pétrole T. Boone Pickens et le président de l’OPEP Chakib Khelil — ont été clairs… le pétrole ne va pas rester bon marché bien longtemps
-
Faute de découverte significative depuis trente ans, les réserves mondiales de pétrole ont atteint un sommet et ne font, depuis, que décliner. Trouver, extraire, raffiner et acheminer l’or noir devient de plus en plus compliqué et cher. Les majors voient leur production globale baisser. L’ère du pétrole facile et bon marché est révolue
-
Les pays occidentaux — plus particulièrement les Etats-Unis — sont actuellement confrontés aux prémices d’un changement profond en ce qui concerne les disponibilités actuelles et à venir du pétrole. Selon des données publiées récemment, la production pétrolière de toutes les principales compagnies pétrolières occidentales est sur la pente descendante