Nous étions censés bientôt ne plus avoir de pétrole. Le peak oil,. ou pic pétrolier, ne devrait pas avoir lieu grâce au « diesel blanc », le lithium…
Peak Oil
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Premier avantage du charbon : son coût, relativement peu élevé. Sur les 15 dernières années, le prix de la calorie produite au charbon représente environ le tiers de ce que coûte une calorie produite par du pétrole, et environ la moitié du coût du gaz naturel. Deuxième avantage : par rapport aux autres sources d’énergie, explique Daniel Yergin : le charbon se trouve sur l’ensemble du globe
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Le charbon demeurera la principale source d’énergie pour les usines électriques de la planète au cours des deux prochaines décennies. L’augmentation de la demande mondiale d’énergie provient déjà des pays émergents, grands consommateurs de charbon — Chine en tête. Ce n’est pas moi qui prédis ce brillant avenir au charbon, c’est Daniel Yergin, lors d’une présentation remarquée au récent Congrès mondial de l’énergie de Montréal
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Beaucoup d’encre a coulé au sujet du Peak Oil au cours des années précédentes. Même si le problème a été récemment mis de côté en faveur de la crise financière mondiale, la situation n’est pas pour autant moins inquiétante qu’elle ne l’était quand le brut a atteint les 147 $ le baril. Malgré la baisse temporaire de la demande mondiale en énergie, l’avenir est peut-être encore moins encourageant aujourd’hui qu’il ne l’était auparavant
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Divers facteurs encouragent vos correspondants à vous offrir une prédiction (ou ce que nous aimons appeler "une supposition au pifomètre") : le brut à 100 $ avant le brut à 20 $. L’effondrement spectaculaire du pétrole de 147 $ le baril à 35 $ en dit long sur ce qui se passe en ce moment dans l’économie mondiale. Mais la diminution actuelle du prix du pétrole ne dit rien sur ce qui va se passer ensuite
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Faute de découverte significative depuis trente ans, les réserves mondiales de pétrole ont atteint un sommet et ne font, depuis, que décliner. Trouver, extraire, raffiner et acheminer l’or noir devient de plus en plus compliqué et cher. Les majors voient leur production globale baisser. L’ère du pétrole facile et bon marché est révolue
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Un dollar plus faible signifie des prix plus élevés pour le pétrole et l’or — sans compter les dégâts que le prix du pétrole peut faire dans l’économie réelle. Nous allons arriver à un stade où les producteurs et les consommateurs de pétrole vont devoir décider d’échanger leurs marchandises dans une devise plus stable
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Une catastrophe pour les fermiers de l’Iowa est une catastrophe qui ne touchera pas seulement les Américains du Midwest. Avec les inondations de l’Iowa, nous verrons plus précisément comment les problèmes d’intempéries (changement climatique) sont liés avec les problèmes du Peak Oil.
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Le pétrole bat record après record, ces dernières semaines… et bien souvent, la sanction ne se fait pas attendre : les indices mondiaux baissent. Pourtant, cela n’a rien de surprenant quand on connaît la sensibilité actuelle des marchés. Ne succombons pas à la panique, il y a des moyens de passer à travers les mailles de la crise, et surtout d’en tirer parti. Tenez par exemple : le problème vient du pétrole, il faudra donc trouver d’autres sources d’énergie… or nous nous sommes déjà positionnés dans ce sens ! Et il y a bien d’autres opportunités qui profiteront de ces ajustements mondiaux
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"Selon moi, il y a de plus en plus de chances que le pic de production pétrolière mondiale ait été atteint en mai 2005 avec 74 252 000 barils par jour", affirme Matt Simmons, fondateur et président de la plus grande banque d’affaires dédiée aux produits pétroliers, Simmons & Co International
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Bud Conrad, économiste en chef chez Casey Research, a confirmé grâce à ses calculs que 10% est une estimation bien plus réaliste de l’inflation américaine que les 3% avancés par le gouvernement US. En utilisant les chiffres de Shadowstats, Bud a calculé l’historique des cours du pétrole avec la méthode de l’indice des prix à la consommation de 1980. Il s’avère que le baril de brut à 39,50 $ en 1980 équivaut à plus de 200 $ en billets verts anémiques actuels.
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Le pétrole à 100 $ est arrivé (à un ou deux dollars près)… idem pour l’or à 800 $… et le blé à 9 $. Ces prix exorbitants ne reflètent pas seulement une demande robuste, ils traduisent également une offre galopante… de dollars. – Il y a un an de ça, le pétrole à 100 $ semblait une idée folle, mais vous connaissez le proverbe : la réalité dépasse la fiction…
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"La question n’est pas de savoir quand nous atteindrons les 100 $, mais à quelle vitesse", déclarait Nauman Barakat à Bloomberg. Barakat, senior vice-président des futures sur l’énergie chez Macquarie Futures USA Inc., ne parlait pas du cours de l’action Macquarie Bank… mais bien du pétrole. "On ne trouve aucun facteur baissier sur le marché actuellement". – Aucun ? Eh bien, ce ne sont pas de bonnes nouvelles. Lorsque tout le monde est du même côté d’une transaction… ça devient vite bondé.
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Epargne
Le potentiel du photovoltaïque est gigantesque (1)
par Isabelle Mouilleseaux 17 octobre 2007Il y a une très belle introduction en bourse prévue en Allemagne dans les prochains jours : Centrotherm Photovoltaics AG. Je vais vous en dire un mot, c’est promis. Mais pour bien comprendre le potentiel et les enjeux du solaire, quelques explications s’imposent en amont…
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Votre correspondante revient tout juste d’une expédition dans le temple de la consommation : un Wal-Mart géant situé dans la banlieue de San Antonio, Texas, où je me trouve pour quelques jours. Il y aura bien des choses à dire de ce voyage… mais elles devront attendre un peu, car pour aujourd’hui, je vous cède la place, cher lecteur — notamment à ceux d’entre vous qui nous ont donné leur avis sur l’avenir de l’or noir (lequel est d’ailleurs légèrement redescendu de ses sommets, passant de 81,44 $ à 81,22 $ vendredi soir pour le baril de WTI New York).