Les zones d’exploitation offshore — particulièrement en eaux profondes — sont la clé de l’avenir du monde en matière d’énergie. Très loin et très profond : c’est là que les dernières grandes découvertes d’hydrocarbures se feront. C’est pourquoi dans ma lettre d’investissement, Outstanding Investments, j’ai créé une sorte de "fonds commun de placement" sur l’énergie offshore
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Faute de découverte significative depuis trente ans, les réserves mondiales de pétrole ont atteint un sommet et ne font, depuis, que décliner. Trouver, extraire, raffiner et acheminer l’or noir devient de plus en plus compliqué et cher. Les majors voient leur production globale baisser. L’ère du pétrole facile et bon marché est révolue
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"L’exploitation sous-marine" est la mode la plus sexy du moment dans le monde de l’extraction pétrolière. Selon les chiffres présentés par l’Agence internationale de l’énergie, les méthodes "non-traditionnelles" joueront un rôle important dans le remplacement de la production de pétrole actuelle. Et beaucoup de ces méthodes non-traditionnelles vont se faire à plus de 300 mètres sous la surface de l’océan.
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Du point de vue de l’investisseur européen, Dublin ne passe pas pour une destination très exotique… mais beaucoup d’institutions financières moins frileuses n’hésitent pas à installer des filiales dans des zones plus sulfureuses. On peut citer par exemple les îles Caïman, les Bahamas, l’île de Man, les Antilles Néerlandaises et autres zones franches échappant à tout contrôle de la part des autorités monétaires et boursières.