Certains ont su investir dans l’or. Ils ont résisté à toutes les vicissitudes ; ils ne sont pas descendus à la gare des 800 $, ni à la gare des 900 $, ni à la gare des 1 000 $. Ils ont résisté lorsque, la gare des 1 000 $ passée, le train s’est fourvoyé sur une voie de garage et a été ensuite redirigé par un chef de gare malintentionné en rase campagne entre les gares 700 $ et 800 $"
OCDE
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"Augmentations d’impôts. Réduction des dépenses". Voilà le nouveau slogan européen. L’OCDE le suggère. Le FMI l’exige. Les politiciens le promettent. Mercredi, l’Italie a par exemple annoncé une réduction des dépenses à hauteur de 30 milliards de dollars
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"Le pire de la récession s’agissant de l’emploi est encore devant nous, notamment en Allemagne, France et Italie", souligne l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), dans son dernier rapport annuel "Perspectives de l’emploi". Aïe ! L’OCDE se met au pessimisme ? L’emploi n’est plus un paramètre à la traîne, comme on l’entendait jusqu’à présent ?
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Jusqu’à présent, nous avons assisté à un krach boursier et à ce qui ressemble aux débuts d’une nouvelle dépression, déjà marquée par les renflouages et les nationalisations […] Richard Russell nous annonce que le Transport Index, l’indice des transports, n’a pas encore confirmé de nouveau marché haussier — c’est bon signe — mais que le Coppock Index, généralement fiable, signale la fin de la récession et une future hausse des prix.
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Aux Etats-Unis, ils sont plus d’un demi-million à perdre leur emploi chaque mois. Ils sont aussi des centaines de milliers à voir également leur logement saisi (et le taux de recoupement entre les deux catégories est important). Et lorsqu’il n’y a pas de parachute doré, il n’y a rien du tout, pas de filet de sécurité sociale, pas de recours massif aux emplois aidés. Pourtant, malgré l’absence de ce poste de dépense qui plombe les comptes des pays sociaux-démocrates du Vieux Continent, les Etats-Unis sont pratiquement en faillite
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Les mises en garde des différents rédacteurs des Publications Agora voient leur pertinence se confirmer avec le coup de massue qui s’est abattu sur les indices boursiers hier. Nous avons assisté en 24 heures à un repli de 5% en moyenne sur les valeurs européennes et de 6,8% en deux séances. En 48 heures, cette baisse a amputé de moitié les gains engrangés depuis le début du mois de mars
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La température était bouillante sur les marchés américains hier, mais plutôt tiédasse du côté européen : le CAC 40 a enregistré une molle hausse de 1,10% sur la journée d’hier, terminant à 3 269,56 points, dans des volumes faibles. Du côté de Londres, le Footsie a chuté de 0,31%, tandis qu’à Francfort, le DAX progressait de 0,62%. Aux Etats-Unis, en revanche, les hausses ont été fulgurantes
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Gustav n’a certes pas emporté les digues de la Nouvelle-Orléans mais il ne s’est pas contenté de lessiver les sols du delta du Mississipi ! Demandez leur avis aux spéculateurs qui avaient parié sur un scénario catastrophe, largement entretenu par les autorités fédérales et la quasi-totalité des médias — exception faite des portails d’information météorologiques qui ont très vite rétrogradé le septième cyclone de la saison en tempête tropicale
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Beaucoup d’ingrédients plutôt appétissants — pour les amateurs de saveurs corsées — mijotaient dans la marmite baissière depuis lundi ; il y avait notamment la résurgence du syndrome des subprime frappant le secteur bancaire aux Etats-Unis… les dernières déclarations de J.C. Trichet évoquant la contagion de la crise du crédit à des secteurs d’activité "non reliés au secteur initialement touché"… la chute des ventes de détail (-0,6%) dans l’Euroland au mois d’avril… les anticipations de resserrement du loyer de l’argent (+50 points en moyenne) de part et d’autre de l’Atlantique avant la fin de l’année 2008
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La déception est à la hauteur des espoirs nourris par les marchés américains depuis 10 jours : les investisseurs, les cambistes, les commentateurs s’étaient crus autorisés à anticiper un geste fort de la Fed… mais elle a joué "petit bras" mardi soir.