La Fed pourrait provoquer une inflation non contrôlée, ou un atterrissage brutal de l’économie… Et pourquoi pas les deux ?
Nouriel Roubini
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Epargne
Ce qui compte, c'est le caddie… et non pas ce qu'a dit la Fed
par Philippe Béchade 5 novembre 2009Parmi les paradoxes qui intriguent nos lecteurs — et ils ont bien raison de nous questionner sans relâche sur nombre de sujets sensibles qui rebutent la plupart des medias économiques –, il y a la hausse de l’or sur fond de scénario déflationniste. L’heure de remettre notre ouvrage sur le métier a effectivement sonné hier avec un nouveau record historique inscrit par l’once d’or
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Le taux de chômage officiel des Etats-Unis est monté à 9,8% vendredi dernier, un record sur les 26 dernières années, et la conséquence de la suppression de 263 000 emplois. Comme d’habitude, cela a dépassé de loin les 175 000 licenciements prédits par les économistes. 600 000 personnes ont également abandonné la recherche d’emploi au mois de septembre. Ajoutez ces pauvres âmes, et le taux monte
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Nous n’en jurerions pas, mais nous sommes relativement certain que ce rebond va finir… et même mal finir… tôt ou tard. Jusqu’à maintenant, le rally des marchés américains surpasse celui de 1929 de quelques semaines… mais n’a pas tout fait atteint la même ampleur. Il lui faudra encore quelques centaines de points pour atteindre le niveau des années 30. Mais une fois que le rebond prendra fin… que se passera-t-il
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Après l’effondrement de la bulle des créances bancaires, voici que débute celui des cartes de crédit. La Maison Blanche veut mettre fin à nombre de pratiques déloyales qui spolient les accros de la plastic money à leur insu et les acculent à la faillite. Cette perspective n’a rien de réjouissant pour les principales banques émettrices qui sont le plus souvent — vous l’aurez deviné — anglo-saxonnes
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Epargne
De l'effet rebond dans quelques centimètres d'eau de vaisselle trouble
par Philippe Béchade 7 avril 2009On se calme… et on prend des bénéfices ! Voilà en quelque sorte le mot d’ordre lancé aux opérateurs par une petite voix intérieure en début de matinée hier. Paris n’avait pas tardé à reprendre 2% quelques minutes après l’ouverture, comme si l’absence de mauvaises nouvelles ce week-end pouvait constituer un motif suffisant pour regretter d’avoir allégé les positions 48 heures auparavant