Comme les investisseurs commencent à s’en rendre rapidement compte, les marchés ne pouvaient rien nous apprendre, même s’ils le voulaient. M. Marché est bâillonné, sa voix est étouffée par les magouilleurs des prix. Et nous n’entendons pas par-là seulement les banquiers de la City qui manipulent le LIBOR. Nous pointons du doigt les véritables magouilleurs…les banques centrales.
marché actions
-
-
Indices, marches actions, strategies
Monsieur et Madame Tout-le-monde ont été grugés par les marchés actions
par Bill Bonner 23 août 2012Au cours de ces 15 dernières années, l’investisseur type a perdu beaucoup d’argent dans les actions. D’abord, il a été laminé par la débâcle des sociétés de l’Internet. Certes, ces dernières perdaient de toute évidence de l’argent. Les investisseurs sérieux s’en étaient tenus à l’écart. Mais à la fin des années 1990, le Nasdaq atteignait des sommets et les petits porteurs pensaient pouvoir faire fortune.
-
Or & Matières Premières
Des actions aux minières or, courage et sang-froid seront récompensés sur les marchés
par Chris Mayer 19 septembre 2011▪ Lors d’une soirée où j’étais invité samedi dernier, un de mes amis, connaissant mon enthousiasme pour le métal jaune, me dit qu’il avait entendu dire que « l’or était dans une bulle ». Je ne le pense pas. Pas avec tout ce qui se passe en ce moment.
-
▪ L’été se termine. Nous sommes déjà en train de fermer les volets de notre maison de campagne et de ranger les outils. Dans quelques jours, il sera temps de faire nos bagages pour rentrer aux Etats-Unis. Le Maryland a besoin de nous. Le pauvre a transpiré sous 40°C… a été secoué par un tremblement de terre… et trempé lors d’un ouragan.
-
▪ Plus ça avance, plus les choses se compliquent pour les investisseurs aurifères. Sur les marchés boursiers, les turbulences des cours rendent difficiles les placements dans les minières — déjà assez volatiles en temps normal.
-
Pour la première fois depuis plus de deux ans, la situation sur le front de l’emploi semble donc se stabiliser outre-Atlantique, et il n’est pas impossible que le léger mieux constaté dans les résultats des entreprises ne perdure pas dans les mois à venir
-
Le marché aurait déjà dû rebondir. Mais il ne l’a pas fait. Il a chuté. Et on est en septembre… un mois dangereux. Sans compter le fait que ce rebond a déjà duré plus longtemps que celui qui a suivi le krach de 29. M. le Marché fait ce qu’il veut, bien entendu. Nous essayons simplement de lire dans ses pensées. Si nous étions M. le Marché, que ferions-nous
-
Un vieil ami, Rick Ackerman, pense que le problème de ce rebond, c’est la capitulation… ou plutôt le manque de capitulation. Il n’y en a pas eu, dit-il. Et on ne peut pas avoir un véritable plancher sans elle. Pas de capitulation, pas de plancher. Et les nouvelles provenant de l’économie vont de mal en pis
-
Il y a tant de "bruit" dans le système financier qu’on ne s’entend plus penser. Les journaux sont pleins de distractions et d’absurdités. On peut trouver quasiment tous les points de vue qu’on veut. Certains affirment que les banques centrales gagnent le combat… que les marchés actions n’ont pas baissé parce qu’ils se préparent à grimper… et que le marché de l’immobilier ne va pas tarder à faire de même
-
Le dollar est menacé à la fois par l’inflation et par la déflation. Nous n’avons pas d’informations directes ou inédites, mais si nous devions écrire un contrat d’assurance-vie pour le dollar, nous exigerions une visite médicale poussée. L’inflation entame la valeur du billet vert directement. Les choses coûtent plus cher, en termes de dollars. Mais la déflation lui cause elle aussi du tort. Baisse des prix des actifs et réductions des dépenses de consommation — la déflation porte ses coups sous la ceinture. L’économie s’effondre… et le dollar chute
-
Ne me dites pas quand je mourrai, déclare Woody Allen. Dites-moi simplement où ça se produira… j’éviterai d’y aller. En l’an de grâce 2008, l’argent des investisseurs ira mourir dans de nombreux endroits. Bien entendu, si nous savions vraiment où ces morts se produiront, nous ne serions pas en train d’écrire ces lignes. Il n’est pas donné à l’homme de connaître son destin. Ni même celui de son argent. Mais nous sommes à l’époque de l’année où les éditorialistes financiers laissent leur humilité bien méritée de côté et laissent libre cours à l’orgueil le plus éhonté. Ils s’engagent… et offrent à leurs lecteurs un aperçu des nécrologies financières de l’année à venir