On enchaîne les records de dette alors même que la croissance ne cesse de ralentir. Mais au bout du compte, il y a des individus — et le surendettement conduit…
Indonésie
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▪ Un vent froid et sec souffle sur le marché des matières premières. Des marchés entiers de métaux ou de produits agricoles pourraient se retrouver asséchés dans les années à venir.
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Croissance, pays émergentsIndices, marches actions, strategies
La croissance ralentit en Chine ? Intéressez-vous à l’Indonésie !
par florentdetroy 24 janvier 2012Moody’s vient de relever sa notation. Si la nouvelle est passée à peu près inaperçue, c’est qu’elle ne concerne pas un pays européen. Ni même américain. Il s’agit de l’Indonésie. C’est en particulier sa note sur la qualité de ses emprunts qui a été relevée mercredi. Désormais, l’Indonésie peut s’enorgueillir d’un Baa3.
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Epargne
Rupture de stock, pénurie, le cours du sucre flambe. Du jamais vu (2)
par Isabelle Mouilleseaux 26 janvier 2010Pendant que les pays émergents crient famine, nous autres Européens sommes la seule région à avoir enregistré une production record cette année. Nous sommes assis sur des surplus de stocks de sucre dont nous ne savons que faire ! Surplus que nous n’avons pas le droit d’exporter. Indécent…
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Epargne
Rupture de stock, pénurie, le cours du sucre flambe. Du jamais vu — 1ère partie
par Isabelle Mouilleseaux 25 janvier 2010El Niño ravage la production sucrière des deux plus gros producteurs mondiaux : l’Inde et le Brésil. Le marché devrait être déficitaire de 13,5 millions de tonnes cette saison. Face à l’effondrement de l’offre, la demande en hausse n’est plus satisfaite. Le dernier appel d’offres de l’Indonésie a été un flop total. Le pays n’a pas réussi à acheter une seule livre de sucre. Pas une !! Son stock est quasi vide. La pénurie guette
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Cela ne vous aura pas échappé, le brut a dégringolé de 133 $ à un peu plus de 126 $ le baril à New York. Va-t-on enfin pouvoir souffler ? Est-ce la fin de la hausse ? Doit-on se positionner à la baisse sur le brut
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Epargne
Hausse du pétrole, baisse de l'immobilier : un couple mal assorti
par Bill Bonner 3 juin 2008Lorsque la Fed a commencé à réduire ses taux en septembre dernier, le prix du pétrole a grimpé en flèche. La hausse des prix du pétrole se propage désormais à l’économie entière… gonflant les prix de tout, des concombres jusqu’aux couches-culotte. Et les tendances qui ont maintenu les prix à la consommation au plancher pendant si longtemps les poussent à présent dans la direction opposée. Les coûts de la main d’œuvre ont été contraints de baisser lorsque des centaines de milliers d’Asiatiques sont arrivés sur le marché de l’emploi mondial, par exemple. Mais à présent, ces travailleurs cuisinent au gaz… conduisent des voitures… et mangent des repas réguliers — faisant ainsi concurrence aux Occidentaux pour la nourriture et l’énergie
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La mondialisation, par exemple, aidait à maintenir les prix bas aux Etats-Unis. Les Américains pouvaient s’emparer de toutes les importations qu’ils voulaient sans se faire taper sur les doigts par l’inflation habituelle des prix à la consommation. C’est-à-dire que — comme un ivrogne qui n’aurait jamais la gueule de bois — ils pouvaient profiter d’un boom inflationniste sans jamais avoir à payer des prix de consommation plus élevés. A présent, on leur a serré la vis… à présent, ils n’ont plus qu’à se calmer
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Le marché du café est très sensible, pour ne pas dire spéculatif. Les corrections succèdent aux envolées et inversement. Un peu à l’image du marché de l’argent pour ceux qui connaissent. Il y a donc de quoi faire… Ces fortes variations sont le fait des spéculateurs, cela ne fait aucun doute, mais aussi de la météo qui joue un rôle très important dans la formation des cours. Or il est impossible de prévoir une saison à l’avance, si la météo sera clémente ou capricieuse.
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En mars dernier, j’écrivais que le marché du café sortait de sa torpeur. A l’époque, le cours du café arabica était revenu à 111 cents la livre ; j’expliquais que le marché (alors en baisse) était en train de se retourner et qu’il y avait une carte à jouer. Mon conseil était le suivant : "première résistance à franchir : les 125 cents qui, si elle était dépassée, nous permettrait de viser à moyen terme les 137 cents. L’objectif à très long terme restant 318 cents". La réalité ? Le café s’est effectivement retourné à la hausse et a atteint plus de 140 cents courant octobre. Une hausse de +26% depuis mars.