▪ Vous avez vu les gros titres de la presse et la une des journaux télévisés mardi ? Pas un seul n’évoque l’explosion de la pauvreté aux Etats-Unis (un million de plus en deux mois). Les vrais sujets sont ailleurs. En effet, la France a un vrai gros problème : les embouteillages
indice ZEW
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Philippe Béchade
Malgré le quantitative easing, l’immobilier US et la production industrielle sont en berne
par Philippe Béchade 18 mai 2011▪ Les investisseurs ont un peu relevé le nez du guidon médiatique pour jeter un oeil alentour. On ne sait jamais, quelques nuages conjoncturels pourraient venir menacer le bon déroulement de la longue escapade haussière programmée par Ben Bernanke, au nom de la création d’un illusoire effet de richesse dont 5% des Américains (et encore ! ) sont les vrais bénéficiaires.
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Epargne
Goldman Sachs baisse, le pétrole grimpe… et le FMI réinvente l'eau tiède
par Françoise Garteiser 21 avril 2010Les Allemands ont visiblement la forme : l’indice ZEW, qui mesure le moral des investisseurs d’outre-Rhin, a fait un joli bond, passant de 44,5 le mois dernier à 53 en avril. Pas étonnant que les marchés s’en réjouissent : ils attendaient un chiffre à 45,1… et surtout, c’est la première fois que le ZEW grimpe depuis septembre 2009. Nous nous contenterons de dire que le moral, c’est une chose… il faut voir si le reste suit
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Hier, le CAC 40 s’est finalement adjugé une hausse respectable de 0,91% — après avoir toutefois touché un plus bas de 3 419,71 points en séance, dans des volumes ultra-bas. A Londres, le FTSE a grimpé de 0,88%, tandis qu’à Francfort, le DAX augmentait de 0,62%. La raison de cette journée "positive mais négative", c’est l’immobilier américain
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"Revenez, petits investisseurs", chantonne M. le Marché… "revenez, il n’y a rien à craindre, je vous assure, je serai gentil… Regardez : tout s’apaise… l’indice ZEW, mesurant les attentes des milieux financiers pour l’économie allemande, est revenu dans le vert pour la première fois depuis juillet 2007, avec une hausse de 16,5 points ce mois-ci, à 13 points
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Décidément, le mois d’août est en passe de devenir un mois maudit pour les marchés boursiers. En 2007, la crise des subprime avait éclaté durant la première quinzaine d’août ; cette année, elle refait surface depuis quelques jours après un rebond de plusieurs semaines qui avait commencé à rassurer tout le monde
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Nous ne prédisons pas "la fin du monde" — mais la fin d’un monde où l’argent était gratuit et où les banques pouvaient transférer sans vergogne le risque aux marchés, de façon quasi-illimitée. La fin d’un monde où le dollar était considéré comme la devise de référence… la fin d’un monde où l’énergie était abondante, moyennant un coût dérisoire… la fin d’un monde géoéconomique dominé par les seuls Etats-Unis. Pour résumer l’esprit de nos Chroniques : en cas de fin du monde, suivez les panneaux "déviation" que nous installons à votre intention