La Fed et la BCE, dans des notes beaucoup plus confidentielles que celles éditées lors de leurs réunions de politique monétaire, soulignent que la surliquidité temporaire dont bénéficient les marchés n’a pas vocation à encourager une croissance de la masse salariale ni la consommation. Si tel était le cas, le péril inflationniste deviendrait très vite menaçant… ce qui les amènerait à réagir vigoureusement (et tout le monde comprend qu’il serait alors question de l’instauration d’un cycle de hausse des taux)
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indice ISM des services
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Le mois de décembre nous apportera-t-il un peu de réconfort ? Les gérants qui croulent sous les liquidités attendent-ils le tout dernier moment pour regarnir leurs portefeuilles ? Ils ont peut-être peur de se faire piéger par un improbable effondrement de 9%, à l’image du désastre boursier survenu ce lundi 1er décembre. Et nous n’avons toujours pas digéré ce minikrach