La déferlante d’épithètes et de formules catastrophistes concernant la puissance destructrice du cyclone Gustav semblait un peu disproportionnée lundi soir à la lecture des premiers rapports émis par les stations météo de la Nouvelle-Orléans. Les journalistes qui s’étaient rendus sur place s’attendaient peut-être à couvrir en direct une nouvelle série d’événements spectaculaires mais probablement pas dramatiques puisque plus de 90% de la population avait volontairement quitté la région ou avait été évacuée sur ordre des autorités
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