Les folies financières ont contaminé l’économie réelle. Les banques centrales sont à la manœuvre pour contenir l’épidémie, mais ce n’est pas gagné…
General Electric
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DetteIndices, marches actions, strategiesSimone Wapler
General Electric sera-t-il le premier zombie à disparaître ?
par Simone Wapler 13 novembre 2018Apple a secoué les marchés actions hier mais le cas de General Electric – qui porte 280 Mds$ de dettes – est finalement plus inquiétant encore. Les marchés financiers ont…
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Banques CentralesIndices, marches actions, strategies
Les actions sont-elles pour les gogos ?
par Bill Bonner 9 mars 2018L’investissement en actions est présenté comme un moyen de participer au développement et à la croissance des entreprises ; la réalité est toute autre…
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Les titans d’une époque deviennent les ratés de la suivante. General Electric illustre les méfaits d’une expansion ne reposant que sur le crédit facile…
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Banques Centrales
Les hommes de Trump : où nous n’avons pas le temps de parler de M. Schwarzman
par Bill Bonner 14 décembre 2016La seule véritable révolution a commencé il y a des milliers d’années et se poursuit à ce jour : le remplacement de la force brute par la force de persuasion des marchés…
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EpargnePhilippe Béchade
Ce que révèle la vague actuelle de fusions-acquisitions
par Philippe Béchade 29 avril 2014Avec l’offre de 10 milliards de dollars faite par General Electric sur Alstom, les analystes se focalisent sur le « trésor de guerre » de 2 000 milliards de dollars des entreprises américaines. Il est douillettement cantonné hors des frontières de la mère-patrie…
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▪ Parfois les merveilles de la modernité ne sont pas si merveilleuses. Malgré les meilleures intentions des individus ou des entreprises qui innovent, leurs trouvailles font parfois autant de mal que de bien… voire plus. L’histoire des innovations humaines est une histoire de conséquences involontaires. Elle est, par essence, une histoire sur le mode « tirer d’abord et viser ensuite ».
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Epargne
Et si le "Dagong" de fin de partie venait de retentir pour le dollar ?
par Philippe Béchade 19 juillet 2010Wall Street a peut-être tort de se réjouir : la Chine possède elle aussi une agence de notation dénommée "Dagong Global Credit Rating" (DGCR)… et tient à ce que cela se sache. Pas question de publier une première enquête globale sur la dette souveraine des 50 premières économies mondiales qui ressemble à un bol d’eau tiède. DGCR frappe très fort pour son premier rapport. Elle a dégradé simultanément les notations "AAA" des Etats-Unis (à "AA") et de l’Allemagne (à "AA+"), ainsi que de la Grande-Bretagne et de la France (à "AA-"). L’Espagne, la Belgique et l’Italie se sont vues sanctionnées d’un peu rassurant "A-". Le buzz était garanti de la City à Manhattan en passant par Tokyo et Singapour
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L’effet Goldman Sachs a dopé les bancaires : Crédit Agricole a bondi de 13,5%, Société Générale de 12,8% et Dexia de 10,5%… tandis qu’AXA s’intercale avec un gain de 12,4%. Les parapétrolières ont également bénéficié de rachats à bon compte avec CGG Veritas et Technip… et ce ne sont pas non plus des valeurs de tout repos. Même si les places européennes n’ont pas clôturé au zénith, les scores hebdomadaires donnent carrément le tournis
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A la question "quels pourraient être les signes précurseurs d’une reprise ?", nous avions suggéré lundi dernier de surveiller les volumes : "leur effondrement pourrait traduire un renoncement des vendeurs, ou la fin des liquidations à tout prix face à des acheteurs qui prennent la fuite dès qu’un carnet d’ordre se garnit de quelques lignes à la vente"
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Les places européennes ont été sauvées du naufrage par la hausse des valeurs du secteur énergie en toute fin de semaine. Paris bénéficiait également de la remontée de Total et Veolia (+2%), EDF (+2,3%) ou GDF Suez (+3,35%). La hausse de Total peut surprendre alors que le baril de brut a chuté de 5% vendredi vers 16h, (jusque 41,5 $ environ sur le NYMEX). Cependant, le groupe pétrolier pourrait nouer un partenariat
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Epargne
De l'inconvénient de se montrer trop vertueux dans un monde en déflation
par Philippe Béchade 3 décembre 2008L’Allemagne, pourtant très touchée par la crise — la consommation des ménages s’est effondrée de 1,6% au mois d’octobre et la production industrielle dévisse — critique vertement le plan de relance des économies européennes au nom d’une orthodoxie budgétaire qui, pour beaucoup d’économistes, apparaît totalement anachronique. Angela Merkel invoque des risques de crise ultérieure
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Pas moins de 600 milliards de dollars seront mobilisés pour la garantie de MBS adossés à l’immobilier ; cela concerne principalement les créances hypothécaires détenues par Fannie Mae, Freddie Mac et Ginnie Mae. Parallèlement, 200 milliards de dollars seront consacrés à la garantie des ABS liés au crédit à la consommation. Ce nouveau projet sera baptisé TALF
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Epargne
Fed, Hongrie, indice Baltic, Islande ou jouets chinois : tout est lié
par Philippe Béchade 30 octobre 2008Afin de bien mesurer la dimension mondiale de la crise, ainsi que sa violence, sachez que si certains indices boursiers asiatiques ont chuté de 60 à 75% cette année (autant que le pétrole en fin de semaine dernière), il y a bien pire, voire de l’inédit
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La grande muette, depuis la faillite de Lehman et le début de l’effondrement du système bancaire américain, c’est la BCE ! Tout d’un coup, elle cesse de marteler que l’euro constitue le bouclier contre l’inflation, la déflation, les déficits, la dérive des salaires, la désintégration de l’épargne, les maux d’estomac, l’obésité, l’anorexie et les crises de mélancolie
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Le rebond des places boursières s’est soudain enrayé ce jeudi, alors que la thématique du subprime revenait au premier rang des préoccupations des opérateurs. Ceci fait suite à l’annonce par Barclays de nouvelles dépréciations d’actifs obligataires à hauteur de 1,3 milliard de livres sterling (au lieu des cinq milliards de livres redoutés).