Pas question de laisser quelques "petites mauvaises nouvelles" venues des marchés de taux européens ou un dictateur paranoïaque gâcher des semaines de travail acharné pour créer un climat psychologique favorable aux Etats-Unis. Si le peuple irlandais s’enfonce dans la mouise, les Américains qui ont encore un boulot et une carte de crédit doivent se lâcher aujourd’hui et mordre dans la vie à plein portefeuille d’ici dimanche
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