La vague de rachats de ventes à découvert vient de terminer sa course sur une langue de sable chaud ; il faut lui laisser le temps de se retirer, de rouler quelques galets et divers débris marins avant qu’une nouvelle déferlante vienne grignoter quelques centimètres de plage supplémentaires. Ou peut-être pas, si la marée vient d’atteindre son étiage maximum… comme Wall Street semble le suggérer
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