L’économie américaine est loin d’être « forte comme un boeuf » comme le pense Peter Navarro. Le boeuf souffre en fait d’une anémie bien précise…
économie américaine
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EpargneOr & Matières PremièresPhilippe Béchade
Trois pistes pour profiter du rebond pétrolier de l’économie US
par Philippe Béchade 10 février 2015Tous les économistes, tous les stratèges, tous les gérants le martèlent : les Etats-Unis sont fermement installés sur les rails de la croissance. La machine à créer de la richesse et des emplois n’est pas loin de tourner à son régime optimal…
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Epargne
Le pétrole vient-il vraiment enrichir l’économie américaine ?
par Bill Bonner 18 septembre 2013Les preuves s’accumulent, disent-ils, que le dollar américain est et restera la devise la plus fiable du monde… que l’économie américaine fera mieux que toutes les autres dans les années qui viennent… et que toute la structure de capital américaine est saine… de plus en plus saine…
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Inflation et récession
Pour l’économie américaine, mieux vaudrait sauter de la « falaise fiscale »
par Bill Bonner 5 septembre 2012▪ L’économie américaine se trouve au bord du précipice… et vacille dangereusement au bord de la « falaise fiscale »… Si les politiciens ne se concentrent pas d’ici la fin de l’année, elle tombera… Les dépenses fédérales s’effondreront. Les impôts augmenteront. L’économie entrera en récession.
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Epargne
Encore une bourde… mais à 1 000 milliards de dollars, cette fois-ci !
par Philippe Béchade 16 octobre 2008Nouvelle journée catastrophique à Wall Street : les marchés américains alignent tout simplement une dixième séance de baisse sur une série de onze. Les opérateurs avaient le moral dans les chaussettes à la mi-séance mais il subsistait un espoir de rebond. En effet, Ben Bernanke aurait pu prononcer des propos rassurants devant le club économique de New York au sujet d’un futur redressement de la conjoncture en 2009 et de la volonté de la Fed de soutenir l’économie. Au lieu de cela, il a littéralement torpillé le fragile retour de la confiance qui se dessinait depuis ce week-end
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Partons d’une hypothèse de travail : donnez à un homme la permission de contrefaire de la devise, et il passera ses nuits à imprimer de nouveaux billets. Dans les faits, lorsque l’administration Nixon a coupé le dernier lien entre l’or et le dollar, en 1971, les autorités US pouvaient imprimer toute la fausse monnaie qu’elles voulaient. Normalement, le dollar aurait dû perdre toute sa valeur. C’est exactement ce que nous attendions dans les années 70. Mais quelques petites choses se sont produites qui ont sauvé le dollar
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Nous avons tenu notre propre Concile de Nicée la nuit dernière… à environ trois heures du matin… après une bonne dose de méditation et de boisson. Et nous sommes parvenu à une sorte de credo. Voici les choses telles que nous les considérons actuellement
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Je ne crois pas qu’il faille s’attendre au pire. Il faudrait pour ce faire que les Etats-Unis se montrent impuissants à sortir de la crise. Mais dans ce cas, la consommation intérieure américaine ralentirait, et la Chine, qui exporte 60% de sa production vers les Etats-Unis, serait bien grippée. Mais je n’y crois pas (encore…) : les USA ont des leviers et des atouts importants
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J’imagine que vous-même, cher lecteur, devez avoir quelques inquiétudes et interrogations, et vous avez raison. Pourquoi donc d’excellentes valeurs seraient-elles touchées, alors que l’éclatement de la bulle internet ne les avait même pas fait frémir ? Quand ces aberrations finiront-elles ? Je vous l’accorde volontiers, c’est une situation anormale et qui peut inquiéter