▪ « L’Espagne veut imposer un déficit zéro à ses régions, sous peine de sanctions ». C’était l’un des gros titres de L’Agefi d’hier… un titre qui m’interpelle. Voici pourquoi.
déficit
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Inflation et récessionPhilippe Béchade
L’Espagne en faillite vote à droite : un avant-goût des présidentielles US de novembre 2012 ?
par Philippe Béchade 21 novembre 2011La semaine passée n’a pas été brillante sur les places européennes. Elle s’est soldée par quatre séances de repli sur une série de cinq et une perte cumulée de 3,6% en moyenne. Cela dit, Wall Street n’apparaît pas mieux loti avec un S&P qui recule de 3,7% d’un vendredi sur l’autre.
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Inflation et récession
Au lieu de la faillite de la Grèce, c'est sur la Zone euro qu'il faut se concentrer
par Eric J. Fry 7 octobre 2011« Ajustement pour raison d’aggravation » Voilà comment le ministre grec des Finances, Evangelos Venizelos, a décrit la prévision de déficit budgétaire revue à la hausse. Le déficit, qui était supposé au départ totaliser le pourcentage considérable de 7,6% du PIB pour l’année fiscale 2011-2012, atteindra à présent un pourcentage encore plus important de 8,5%,
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Philippe Béchade
Un début de solution à la dette grecque pour éviter un désastre à la BCE ?
par Philippe Béchade 21 juillet 2011▪ Les journaux télévisés, écrivions-nous hier, ne parlent plus de la Grèce et encore moins de Chypre. Cette dernière vit un véritable psychodrame politique et économique depuis l’explosion meurtrière, le 12 juillet, d’un stock d’armes iraniennes confisqué sur un bateau se rendant en Syrie en janvier 2009.
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Inflation et récession
La classe moyenne, en première ligne de la récession aux Etats-Unis
par Bill Bonner 9 juin 2011USA Today rapporte que le total des dettes et des obligations non-provisionnées des Etats-Unis — que le journal mesure grâce des principes comptables acceptés un peu partout — a augmenté de 5 300 milliards de dollars l’an dernier, et se monte désormais à 534 000 $ par ménage américain.
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La principale activité du gouvernement, c’est la protection. Toujours et en tous lieux, sa responsabilité principale, c’est la sécurité des frontières du pays, et celle de ses propres représentants. Ensuite, de manière secondaire, il se préoccupe de protéger les personnes qu’il gouverne. Et bien entendu, il protège avant tout les intérêts des gens qui le contrôlent
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14 $. C’est la chute enregistrée par l’or en une seule séance jeudi dernier. Pourquoi l’or baisse-t-il ? Comme on pouvait s’y attendre, la Grande Correction continue. L’inflation des prix à la consommation américaine reste modérée. Les spéculateurs commencent à s’inquiéter. Ils ont acheté de l’or… à prix d’or. Et s’il y avait vraiment une reprise ? Qui aurait besoin d’or
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Les banques émettaient de la monnaie, à l’époque du vice-président Dawes– leurs propres billets. Aujourd’hui, ce n’est pas aussi simple. Les banques n’émettent plus leurs propres billets. Aux Etats-Unis, on utilise les mêmes dollars dans tout le pays. Mais que valent ces dollars ? Vont-ils être la cause de pleurs et de grincements de dents
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La plupart des économistes pensent que les problèmes financiers des Etats-Unis — et du reste du monde — sont une récession typique, causée par un manque de demande. Selon eux, il suffirait de déterminer comment stimuler le consommateur… et tout irait bien
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Il y avait quelque chose d’amusant dans les nouvelles d’hier : le Japon est venu en aide à l’Europe. Suivant l’exemple de la Chine, le Japon a déclaré qu’il allait prêter de l’argent aux pauvres Européens. Qu’est-ce que ces étranges bienfaiteurs ont derrière la tête ? Pourquoi est-ce que le Japon — qui a la plus lourde dette au monde… et est tout juste capable de financer ses propres déficits — prête aux Européens
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Les journaux racontent que l’extension des baisses d’impôts de Bush pourrait être tout ce dont l’économie a besoin. Il n’y aura peut-être pas besoin d’autres mesures de relance. Parce que si les riches peuvent s’attendre au même taux d’imposition l’an prochain… … que vont-ils faire exactement ? Investir plus d’argent ? Oui… en Inde ! Et en Chine ! Et dans les matières premières ! Et même dans l’or
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La semaine dernière, l’Irlande a accepté d’approfondir ses réductions de dépenses… et d’augmenter ses impôts. Pour l’instant, les Irlandais suivent le mouvement… De quel côté est le gouvernement, doivent-ils se demander. Bien entendu, ils ne sont pas les seuls à sembler prêts à tout supporter. Aux Etats-Unis, les dirigeants de la Banque centrale ont juré de réduire la valeur de l’épargne des Américains
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Vous vous rappellerez que feu le boom avait complètement transformé l’Ile Emeraude. Tout à coup, les Irlandais étaient les gens les plus riches d’Europe (en se basant principalement sur la valeur de leurs maisons)… et des centaines de milliers de Polonais et autres immigrants affluaient en Irlande pour trouver du travail. Puis le krach est arrivé. Les Irlandais sont retombés sur terre. Les emplois ont disparu. Les prix des maisons ont chuté (quoique pas autant qu’on aurait pu le prévoir). Et les immigrants ont commencé à rentrer chez eux. De nombreux Irlandais de souche les ont suivis
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Krugman a été très contrarié de voir le Sénat US refuser de prolonger les allocations chômage, par exemple.Mais est-ce vraiment une mauvaise chose ? Si vous êtes assis dans une agence pour l’emploi, vous serez probablement pour une augmentation des allocations. Si vous payez des impôts et que vous luttez pour joindre les deux bouts, vous rechignerez peut-être à payer plus pour d’autres qui ne travaillent pas. Krugman souligne que ce n’est pas de leur faute. Les allocations chômage ne diminuent pas le désir des gens de trouver un travail — pas quand il y a cinq candidats pour chaque poste. Mais il faut faire des ajustements… et quand on n’a pas d’argent qui rentre, ça ne peut que motiver à les faire
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Selon les derniers résultats du recensement, on trouvait aux Etats-Unis 1,7 million de ménages ayant des revenus de 250 000 $ ou plus. Même si l’on prélevait 250 000 $ d’impôts additionnels sur chacun, faisant passer le taux effectif à près de 150% du revenu pour bon nombre d’entre eux, on aurait encore un déficit de 1 000 milliards de dollars. Les riches à eux seuls ne pourront pas endosser le fardeau croissant de la dette américaine
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Une enquête révèle que "42% des investisseurs pensent désormais que l’économie mondiale se détériore, c’est deux fois plus que les 21% du mois de janvier. Les investisseurs américains sont les plus pessimistes concernant l’économie mondiale, puisque 58% d’entre eux disent qu’elle empire contre 31% d’Européens et 35% d’Asiatiques. Les Européens sont les plus pessimistes concernant leur propre zone, puisque 40% disent qu’elle se détériore ; 21% des investisseurs américains voient leur propre pays de manière négative, alors que 9% des Asiatiques ont le même ressenti"
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Le Fonds monétaire international ne s’embarrasse plus de précautions stylistiques : dans son rapport annuel sur l’Espagne publié ce lundi, le FMI pointe du doigt un important déficit budgétaire, un lourd endettement du secteur privé, une hausse de la productivité quasi inexistante, une faible compétitivité de l’industrie et un secteur bancaire présentant "des îlots de faiblesse" — un doux euphémisme : la moitié des caisses d’épargne ibériques seraient en dépôt de bilan sans le secours de l’Etat
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L’or est à des sommets — tandis que les actions stagnent depuis 11 ans. Et maintenant, l’or grimpe suite aux bonnes nouvelles comme aux mauvaises. De l’inflation ? L’or grimpe. De la déflation ? L’or grimpe. Lorsque les actions montent… l’or grimpe plus. Lorsque les actions baissent, l’or grimpe malgré tout