Le redémarrage dans nos vieilles économies sera poussif alors que dans les pays émergents, la croissance est déjà repartie, et soutenue par les nécessaires investissements d’infrastructures et le développement de la demande intérieure. C’est pour cette raison que je compte privilégier les valeurs qui ont un lien direct avec cette thématique au sein de ma lettre d’investissement, Small Caps Profits. Nous en avons déjà certaines en portefeuille comme Entrepose Contracting, Faiveley et même Netgem. Alors qu’à l’inverse, des sociétés comme Bull (87% du CA réalisé en Europe/Amérique du Nord) ou Modelabs restent trop exposées à ces économies matures.
découplage
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Un vent d’euphorie souffle sur les places asiatiques depuis les toutes dernières séances du mois d’avril. Mais la principale "nouveauté" consiste dans l’émergence d’une variante (version avril 2009) de la fameuse (ou fumeuse ?) théorie du découplage. Souvenez-vous du plongeon de Wall Street début 2008… il s’expliquait par les premiers signes très tangibles d’un ralentissement économique, lequel était censé épargner la Chine
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Je vous propose de faire un petit point sur l’aluminium. Son cours a perdu plus de 40% depuis son point haut en juillet et les choses bougent à toute vitesse dans le secteur qui opère un virage à 90° ! Hausse des stocks, effondrement de la demande, fermetures d’usines… un état des lieux s’impose
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Après l’euphorie des JO, l’onde de choc arrive-t-elle pour l’Empire du Milieu ? La Banque centrale chinoise l’anticipe, en baissant un de ses taux de 27 points de base. Le plongeon hypothétique du marché chinois peut s’expliquer aussi par la fuite des capitaux hors des marchés émergents. Pour faire face aux pertes subies sur les marchés occidentaux, les investisseurs tentent de sauver ce qu’ils peuvent, en soldant leurs positions encore bénéficiaires
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Puisque j’en ai la place, permettez-moi de rassembler les arguments que je développe dans les pages de ma lettre, Matières à Profits, depuis des mois, pour vous donner mon opinion sur les tribulations des marchés. La "nationalisation de fait" de Freddie Mac et Fannie Mae visait à restaurer la confiance dans le système financier américain — et, par voie de conséquence, dans l’économie nationale