Nous sommes ravi de voir M. Obama passer à l’action… remontant ses manches et agissant directement pour redresser le secteur automobile américain. Dans un monde où les actifs s’écroulent et où la dépression règne, nous avions besoin de rire un peu. Et voilà que le gouvernement américain prend aussi le contrôle de l’automobile. Rick Wagoner a été contraint de quitter General Motors dimanche dernier, pour qu’Obama puisse mettre son propre homme au volant
Chrysler
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Les mises en garde des différents rédacteurs des Publications Agora voient leur pertinence se confirmer avec le coup de massue qui s’est abattu sur les indices boursiers hier. Nous avons assisté en 24 heures à un repli de 5% en moyenne sur les valeurs européennes et de 6,8% en deux séances. En 48 heures, cette baisse a amputé de moitié les gains engrangés depuis le début du mois de mars
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L’ultime semaine de l’année 2008 semble s’être achevée en roue libre si l’on s’en tient aux performances des différents indices boursiers… Pourtant, les marchés ont été confrontés à un enchaînement d’événements tout à fait inédits, carrément hors normes et même parfois nauséabonds (affaire Madoff, affaire Bettencourt…)
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Epargne
Florilège de l'année 2008 : krach, gâchis, absurdité, cynisme…
par Philippe Béchade 19 décembre 2008L’ultime journée boursière précédant la séance des "Quatre sorcières" n’augurait rien de bon pour le débouclage des opérations à terme (options sur indices et actions, contrats sur S&P ou Nasdaq). Cette séance de vendredi pourrait s’avérer encore bien décevante et confirmer le rebond du VIX, véritable baromètre de la peur
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Le Sénat US ne pourra peut-être pas empêcher le vote d’un chèque (c’est en réalité un prêt) de 15 milliards de dollars mais il a réussi à empêcher que l’enveloppe soit plus généreuse. En effet, General Motors réclamait 13 milliards de dollars, Ford 7 milliards de dollars et Chrysler 6 milliards de dollars, soit en tout 26 milliards de dollars… et encore
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Les syndicats ne veulent pas voir couler General Motors ou Chrysler. Ils mangent à ce râtelier depuis longtemps ; ils ne veulent pas que ça cesse. Les actionnaires non plus ne souhaitent pas la faillite ; ils ont de l’argent en jeu. Les dirigeants non plus… ni les sous-traitants […] Ils ont tous "un intérêt", disent-ils. Et ils sont prêts à récompenser les membres du Congrès qui les aideront