Choc pétrolier : aussi dangereux à la baisse… qu’à la hausse
Le choc pétrolier actuel n’est pas le premier – ni le dernier : retour sur quelques cas passés et ce qu’ils peuvent nous enseigner.
Le choc pétrolier actuel n’est pas le premier – ni le dernier : retour sur quelques cas passés et ce qu’ils peuvent nous enseigner.
Les compagnies de géothermie suivent la hausse du baril de pétrole. Investir dans la géothermie de haute énergie, c’est une façon de suivre l’évolution des prix du pétrole sans avoir les problèmes des réserves et des ressources des compagnies pétrolières
La production électrique d’origine géothermique se développe par vagues successives. Chaque nouveau "choc pétrolier" déclenche la mise en route de nouveaux projets de centrales, qui conduisent quelques années plus tard à une vague de hausse de la production électrique d’origine géothermique
Aujourd’hui, avons-nous atteint les sommets du prix du baril de pétrole ? J’ai bien peur que non, cher lecteur. Le prix du baril est passé de 42 $ (en 2005) à 139 $ en juin 2008 (+231%). C’est beaucoup mais rien n’indique que ça va baisser. Goldman Sachs anticipe le pétrole à 200 $. Des solutions pour réduire la consommation d’hydrocarbures existent. Reste à les mettre en oeuvre
Le pétrole bat record après record, ces dernières semaines… et bien souvent, la sanction ne se fait pas attendre : les indices mondiaux baissent. Pourtant, cela n’a rien de surprenant quand on connaît la sensibilité actuelle des marchés. Ne succombons pas à la panique, il y a des moyens de passer à travers les mailles de la crise, et surtout d’en tirer parti. Tenez par exemple : le problème vient du pétrole, il faudra donc trouver d’autres sources d’énergie… or nous nous sommes déjà positionnés dans ce sens ! Et il y a bien d’autres opportunités qui profiteront de ces ajustements mondiaux