Un élément me frappe au premier regard sur l’évolution de long terme du blé : le double support horizontal très net au niveau des 440/420 cents, ancien plus haut de 2002 et 2004, dont le dépassement avait provoqué le début de l’impressionnante accélération haussière en 2006. Or, comme par hasard, la correction s’est arrêtée pour l’instant non loin de là, avec un point bas en décembre 2008 à 470 cents
CBOT
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J’aimerais prendre quelques minutes avec vous pour m’intéresser aux céréales — à commencer par la plus célèbre des céréales dans notre beau pays : le blé. La continuité entre le pétrole et le blé n’est d’ailleurs peut-être pas si incongrue qu’il y paraît
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Epargne
Le potentiel de hausse du maïs se joue en ce moment même
par Isabelle Mouilleseaux 24 avril 2008Vous le savez, les Etats-Unis sont l’un des très gros producteurs/exportateurs de maïs. La qualité et la quantité de leur production influencent donc fortement les cours mondiaux du maïs. Et, comme je vous le disais, les agriculteurs américains sont en pleine période de semis. Or pour réaliser les semis, ils ont une fenêtre de tir assez étroite en termes de timing. Force est de constater que les jours passent et que les semis progressent lentement. Trop lentement. Or ceci peut avoir à terme des conséquences fâcheuses sur les rendements
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"Monsieur ! Monsieur ! Prenez garde : la mer monte !" – "La quoi ? (voix ensommeillée)… bof, peu importe : j’achète !" ** Cette anecdote humoristique bien connue, avec sa dernière réplique surréaliste, la légende l’attribue à un membre illustre de la famille Rockefeller assoupi sous un cocotier aux Bahamas durant un jour de grande marée. Elle reflète assez bien l’état d’esprit des gérants de hedge funds (ou d’autres véhicules d’épargne collective) tel qu’il ressort des interviews collectées ces derniers jours.