Je m’intéresse aux pays émergents, essayant de faire une distinction entre les plus fragiles et ceux disposant encore d’une véritable capacité de croissance. Je me concentre en ce moment sur l’Amérique latine…
Amérique latine
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Epargne
Selon votre profil d'investisseur, vous avez quatre solutions
par La rédaction 17 avril 2009Simone Wapler était hier à une conférence donnée par Carmignac. Raisonnablement, les gérants interviewés étaient pessimistes quant à l’avenir des marchés, et de l’économie en général. Pour eux, les marchés occidentaux sont… agonisants. Mais la Chine, principalement, tirera sont épingle du jeu à force de volontarisme et de plan de relance
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L’Amérique du Sud, même si elle n’est pas un Etat fédéral comme son grand voisin du nord, a cependant une puissance politique de plus en plus visible. Le Brésil est devenu un acteur mondial important. Le Venezuela et l’Equateur sont membres de l’OPEP. La Chine devient un partenaire stratégique en Amérique latine et renforce ses investissements dans ce continent
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Les pays d’Amérique du Sud ont plutôt bien résisté au ralentissement économique qui a commencé aux Etats-Unis au deuxième semestre 2007. Grâce à quoi ? Encore une fois grâce aux investissements étrangers attirés par les activités d’exploitation de ressources naturelles. En 2007 déjà, ces investissements avaient progressé de 66%, atteignant 72 milliards de dollars
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Selon les dernières estimations de la Banque centrale chilienne, le PIB devrait croître de 1,5% en 2009, alors que, jusqu’à l’été dernier, Santiago comptait sur 4% de croissance. Le Chili, qui a prouvé l’an dernier sa bonne résistance à la crise, a toutefois pris des mesures pour contrer le ralentissement économique, annonçant un plan de relance. Le pays reste pour autant "un refuge dans une région volatile" comme l’Amérique latine
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Les républicains et les démocrates s’échauffent pour une grande bataille contre l’économie de marché. Les deux partis semblent penser qu’il serait honteux de voir les prix des actions et des obligations chuter à leur véritable niveau — c’est-à-dire celui que des acheteurs seraient prêts à payer. Le programme de 700 milliards de dollars qu’ils ont mis en place le week-end dernier permet aux autorités politiques d’acheter quasiment tous les rebuts que les investisseurs ne veulent pas
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Vous aurez remarqué, cher lecteur, que les marchés émergents ont été mis à mal. Shanghai traversait une bulle — comme nous l’avions signalé il y a un an de ça ; le marché a baissé de 50%. Le Vietnam a perdu 53%. De nombreux autres ont souffert — même si le marché latino-américain a bien tenu
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Rien ne semble pouvoir calmer l’appétit croissant de la planète. Il y a de plus en plus de gens dans le monde ; la plupart d’entre eux s’enrichissent. Naturellement, ils s’attendent à avoir un peu plus de beurre dans leurs épinards… et un peu plus de viande dans leur soupe. Mais d’où est-ce que cela viendra ? On peut imprimer autant de dollars ou d’euros qu’on le veut. Ajoutez un zéro, et vous avez multiplié la masse monétaire par dix. Mais à quel rythme peut-on augmenter la production alimentaire ? Où trouver des terres à cultiver ? De l’eau ? Selon certains analystes, le monde a déjà dépassé son pic de production alimentaire
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Aujourd’hui, nous tournons notre regard vers les anciennes "républiques bananières", en partie pour y trouver des opportunités… et en partie pour nous instruire. Du côté des opportunités, nous trouvons des sociétés ayant peu de dettes et un potentiel immense. Ce n’est pas exactement un marché vierge — mais plutôt un marché qui aurait passé les cinq dernières années dans un centre de détention pour femmes ; il a juste besoin d’une nouvelle robe et d’un petit verre