Avant d’approfondir la nouvelle transaction détectée par Bill Bonner pour la décennie qui s’annonce, retour sur les deux recommandations précédentes et leurs résultats à ce stade.
actions US
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Or et ArgentPolitique et vie quotidienne
Un « progrès » qui étouffe la croissance
par Bill Bonner 9 juillet 2020Les marchés américains sont « valorisés pour la perfection »… mais il y a bien peu de chances que le pays connaisse des conditions « parfaites » dans les mois (et les années) qui viennent…
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Quels sont les plus gros risques de 2012 ? Plusieurs nous viennent en tête. Mais le Forum économique mondial n’en voit que deux valant la peine d’être mentionnés — trop de déficits et une trop grande différence entre les riches et les pauvres. Le New York Times nous en dit plus
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▪ Les actions américaines sont à la hausse. L’or aussi.
Ce n’est que du bruit. N’y faites pas attention. Tant les actions US que l’or vont à l’encontre de ce que nous pensons qu’ils devraient faire. Bien entendu, M. le Marché se moque de ce que nous pensons comme de sa première paire de chaussettes.
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Or & Matières Premières
Pourquoi Warren Buffett se trompe sur l'or (et sur d'autres choses)
par Bill Bonner 25 août 2011Nous avons acheté l’or à environ 300 $ au début du siècle. Il en vaut désormais près de six fois plus. Et si Ben Bernanke annonce une nouvelle vague d’impression monétaire, l’or pourrait terminer la semaine à plus de 2 000 $. S’enrichir, c’est vraiment du gâteau.
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L’or prendra 300 $ supplémentaires l’an prochain, selon Goldman Sachs. Hé, gagner de l’argent, c’est facile. L’or grimpe tous les ans. Si l’on en croit Goldman, il grimpera de 20% supplémentaires l’an prochain. Mais, toujours selon lui, vous gagnerez aussi de l’argent grâce aux actions. Donc, cher lecteur, vous avez le choix. L’or ou les actions ? Selon Goldman, vous gagnerez de l’argent quoi que vous choisissiez
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Au cours des six derniers mois, les initiés des grandes capitalisations américaines ont vendu 120 millions d’actions, tout en en achetant 38 000. Soit 3 177 fois moins… une asymétrie qui n’a jamais été aussi grande. Surtout, elle semble révélatrice de la solidité de la soi-disant reprise actuelle
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Epargne
Attendez-vous à un mois long et éprouvant pour les actions
par Addison Wiggin 6 octobre 2010C’était vraiment sympa… Le meilleur mois de septembre depuis 1939 pour les indices larges. Hélas, "le rally de septembre montre des signes de fatigue", constate Dan Amoss, rédacteur de la lettre Strategic Short Report, alors nous que sommes dans la première semaine complète du mois d’octobre
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les actions américaines ont fait n’importe quoi ces derniers jours. Ce n’est pas le cas de l’or, en revanche, puisqu’il a atteint un nouveau record nominal. La couverture historique contre le dollar n’en est encore qu’à mi-chemin de son "vrai" record — c’est-à-dire ajusté à l’inflation — mais c’est déjà un bon début
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En termes de pourcentages, le Dow Jones a baissé de 10,0% au cours du trimestre qui vient tout juste de se terminer, ce qui est à peine mieux que la terrible chute de 11,9% enregistrée par le S&P 500. Ce n’est pas ce que nous avaient prédit les voyants de Wall Street au début de l’année. En février, Abby Joseph Cohen, de chez Goldman (vous vous souvenez d’elle ?) a annoncé que l’indice S&P 500 atteindrait les 1 300 points d’ici la fin de l’année 2010. Nous en sommes à la moitié de l’année, et le S&P est à son niveau le plus bas sur neuf mois, 1 030 points
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Difficile d’avoir une idée claire de ce qui se passe au niveau du marché immobilier. Selon Case-Shiller, les prix grimpent dans de nombreuses régions des Etats-Unis. Mais il en va de même pour les stocks. Désormais, il faut 13,9 mois pour vendre une nouvelle maison — un record, et une hausse de 50% par rapport à l’an dernier. Cela doit décourager beaucoup de vendeurs. Ceux qui peuvent se le permettre pourraient maintenir leurs maisons hors du marché — en attendant un retour à une période plus favorable
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Les actions ne pourraient valoir leurs prix actuels que si on était dans une récession normale. Mais si on vivait une récession normale, elle serait terminée, maintenant. Les actions grimperaient en anticipation de la prochaine phase de boom. Sauf que nous ne sommes pas dans une récession normale. Et elle n’a pas pris fin. On ne crée pas de nouveaux emplois. Le crédit à la consommation ne se développe pas. Et les seuls prix qui grimpent sont ceux qui font l’objet de spéculation
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Le Dow est aux environs des 6 500 points. Plus que 1 500 points. C’est du moins ce que nous pensions il y a quelques années de ça. Nous pensions que le Dow devait atteindre les 5 000 points pour toucher son véritable plancher. Le marché baissier sera-t-il alors vraiment terminé ? Non. C’est juste là qu’on pourra commencer à chercher le plancher. Rappelez-vous que les marchés ont tendance à réagir de manière excessive
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Il ne se passe pas grand’chose sur les marchés… ça tombe bien, puisque nous n’avons pas le temps d’en parler. Les marchés peuvent faire ce qu’ils veulent, en ce qui nous concerne. Et si vous avez de l’argent ? Vous devez en faire quelque chose. Mais quoi ? Evitez les valeurs américaines. Le marché américain est en déclin relatif. Achetez de l’or. Nous ne savons pas dans quelle direction il va, mais il ne disparaîtra pas
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Epargne
Rachat en série des totems de Manhattan, actions américaines crucifiées
par Philippe Béchade 10 juillet 2008Mardi midi, Ben Bernanke a de nouveau promis d’aider les banques tant que cela s’avérera nécessaire. Les opérateurs en ont déduit que si la Fed prenait un engagement aussi ferme, c’est qu’elle estimait que la crise est loin d’être terminée
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Les Américains seront forcés de consommer de moins en moins. Il nous semble que les réductions des dépenses sont la seule option. Les investisseurs devraient donc se méfier des valeurs qui dépendent des consommateurs américains
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Officiellement, l’inflation US dépasse un peu les 4%. Le gouvernement intervient ensuite gentiment en soustrayant les choses les plus importantes — la nourriture et le carburant — ce qui lui permet d’obtenir un "taux central" d’inflation bien plus bas. De combien les prix à la consommation augmentent-ils vraiment ? Personne ne le sait. A l’occasion, un économiste ou un journaliste sort faire quelques courses et tente de calculer la hausse des prix. En général, leurs chiffres de "l’inflation" frôlent plutôt les 10%. Bien entendu, les résultats varient selon l’endroit où vous êtes et ce que vous achetez