▪ Dans la gestion d’un patrimoine au sens large — en sortant de la stricte gestion d’un portefeuille boursier, qui ne devrait représenter qu’une partie de votre patrimoine –, l’immobilier est une composante importante. Structurellement, car il représente des biens tangibles, incontournables dans une logique de propriété et de transmission d’un patrimoine familial. Culturellement, ensuite, l’immobilier reste important pour nous, Français : dans notre esprit, la pierre est une valeur refuge. Elle correspond parfaitement à l’attente de l’épargnant préparant ou arrivant à l’âge de la retraite qui voudrait percevoir des revenus réguliers afin de conserver son pouvoir d’achat.
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La baisse boursière pourrait reprendre du jour au lendemain… Réagissez !
Une forme d’investissement bien particulière a permis à une poignée d’investisseurs d’engranger des gains de l’ordre de 67,76%, 67,05%, 71,88%, 43,33%, 71,21% et 49,02%… alors même que les marchés connaissaient des difficultés extrêmes.
Pour découvrir comment réagir face à la débâcle qui menace en profitant des baisses, continuez votre lecture… mais agissez dès maintenant : les marchés, eux, n’attendront pas.
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Mais êtes-vous pour autant obligé d’acheter un appartement, une villa, une maison, un studio, bref d’investir dans quatre murs et un toit ? Eh bien non.
D’une manière générale, l’investissement dans la pierre n’est, à mon sens, pas la meilleure affaire qui soit. Gérant depuis toujours le patrimoine familial — entièrement constitué d’immobilier locatif –, ma mère me certifiait que le rapport était intéressant. Evidemment, comme beaucoup d’investisseurs que j’ai rencontrés, elle faisait l’erreur de calculer le rendement à partir du prix d’achat initial. Erreur ! Le calcul à faire n’est pas celui-là… Il faut prendre le rendement annuel divisé par la valeur actuelle du bien. En faisant le bon calcul, je lui ai donc démontré que son rendement était d’à peine plus de 2,5% par an… C’est bien maigrichon, vous ne trouvez pas ?
Bonne nouvelle donc, l’immobilier peut tout à fait se concevoir au-delà de la seule propriété des biens dont vous avez l’usage, que ce soit votre propriété principale ou secondaire. Vous pouvez également vous tourner vers la "pierre papier", qui gère tout pour vous, de l’achat au versement des dividendes.
Explications.
Investir des sommes de plus en plus conséquentes dans un bien immobilier à but locatif présente de plus en plus d’inconvénients… pour un rendement très faible — rarement supérieur à 3%. Par ailleurs, il existe un second facteur à prendre en considération. Et ce dernier pourrait amoindrir plus encore le rendement escompté. Il s’agit du "risque locataire".
Ce dernier présente 100% de risque en cas de non paiement du loyer, dégradation des lieux ou nécessité d’une procédure coûteuse et longue pour obtenir son expulsion si vous voulez récupérer votre bien. D’où, au final un ratio rendement/risque extrêmement défavorable à l’immobilier locatif. Sans parler de toutes les mesures contraignantes de la législation en cours et à venir.
Avant d’aller plus avant dans la présentation de quelques SCPI vous allez me dire que "le conseilleur n’est jamais le payeur". Certes. Néanmoins, là, j’ai testé, en vrai, en réel pour moi-même et ma famille. L’immobilier locatif qui compose mon patrimoine représente 40% de mes actifs. Et pour tout vous avouer, sans pour autant aller à confesse, je n’ai plus un seul appartement — comme je vous l’avais raconté en juillet, c’est bien trop d’ennuis pour un piètre rendement. Tout est en SCPI.
▪ Un investissement simple, lucratif et à la portée de tous
Inutile de vous dire que, depuis quinze ans, j’ai transformé le patrimoine familial et qu’il ne reste aucun immobilier de logement loué. J’ai tout transformé et investi en SCPI, et ce, pour le plus grand profit de ma mère qui me prenait alors pour le nouveau Warren Buffett…
Imaginez un rendement compris entre 5,50% et 6% auquel vient s’ajouter une petite revalorisation de la part… et sans avoir à vous soucier du moindre locataire. Même en 2008, année de vaches maigres, les investissements que j’avais sélectionnés ont connu des revalorisations de leur part de 1% à 5%. Ce qui donne des performances globales de plus de 11% en 2008. Avouez que ce n’est pas mal du tout, pour un produit sûr, pérenne et sans souci de gestion !
[NDLR : Ce texte est extrait du rapport spécial que Frédéric Laurent a élaboré pour les lecteurs de Vos Finances. Entièrement consacré aux SCPI, ce rapport comporte deux recommandations exclusives de Frédéric qui vous permettront d’investir en toute simplicité dans la "pierre papier" : vous le recevrez GRATUITEMENT en vous inscrivant à Vos Finances — n’attendez pas pour agir !]
2 commentaires
Bonjour, vous parler des scpi mais n’en citez aucune! Pourriez vous en lister quelques unes?
Bonjour Monsieur,
Merci de la confiance que vous portez aux Publications Agora.
Nous ne donnons pas de noms de SCPI, car comme nous l’avons indiqué à la fin de cet article, ce texte est un extrait d’un rapport spécial de Vos Finances, rédigé par Frédéric Laurent et exclusivement adressé aux personnes abonnés ou qui s’abonneront à ce service.
Merci de votre compréhension.
Bien cordialement,
La Chronique Agora