Chronique 100% complotisto-climatosceptique… et 100% assumée !
Tous les médias mainstream sont en boucle depuis ce mercredi pour nous resservir les narratifs de la peur pour cause de « dérèglement climatique » et de réchauffement, qui va mettre la Manche en ébullition (France 2 nous apprend que les bulots ont trop chaud et s’éloignent des côtes des Hauts-de-France, ce qui rend leur pêche plus onéreuse et moins abondante).
C’est toute une filière et des centaines d’emplois qui seraient sur le point de disparaître, et la gastronomie française va se trouver amputée de la présence de ces gastéropodes sur les plateaux de fruits de mer… horreur, malheur !
Comme le « on va tous mourir et finir desséchés comme des sachets de thé au milieu d’une tempête de sable » ne prend plus – ou de plus en plus difficilement –, les climato-catastrophistes ont trouvé un nouvel « angle », et je viens de vous fournir un indice en préambule (ou en préambulot – c’était facile comme calembour, j’ai pas résisté).
Oui, le nouvel angle pour terroriser le citoyen à peine remis du narratif anxiogène du COVID, c’est lui présenter une facture du réchauffement proprement astronomique.
Ainsi le discours évolue… Nous n’allons plus tous mourir engloutis par les océans ou carbonisés sur les terres encore émergées d’ici 30 ans, mais nos petites économies vont prendre cher – très cher – si nous n’agissons pas tout de suite pour éviter que notre mode de vie à l’américaine s’effondre demain et que les flux migratoires nous submergent après-demain.
Comme si les médias « bien-pensants » déroulaient un « plan de com’ » bien huilé, BFM Business nous proposait un débat dans son « 7 à 8 », où Bruno Grandjean expliquait que si la France, vertueuse, veut aller au bout de sa logique, elle doit prendre des mesures fortes pour décarboner la planète.
Et cela passerait par le boycott – ou l’imposition de droits de douane dissuasifs – sur des produits fortement carbonés importés de Chine, des USA et d’autres pays qui n’agissent pas contre le réchauffement climatique.
Bien sûr, il ne viendra jamais à nos fournisseurs l’idée de nous infliger la réciproque et d’arrêter d’acheter notre vin et nos Airbus.
Puisqu’il est question d’une facture climatique salée, l’ADEME estime à 260 Mds€ les dégâts causés – chaque année – par le réchauffement climatique à notre économie dans les années 2030 : c’est un chiffre « énôôôrme »… et totalement invérifiable.
L’ADEME évoque +3,5° de réchauffement d’ici 2100 (il a fallu un siècle et demi de civilisation « industrielle » pour observer à peine +1,5° mais, en 30 ans, soit cinq fois moins de temps, cela sera plus de deux fois pire) ce qui coûtera de 8 à 10 points d’activité annuelle à la France (là aussi, ça fait peur, mais c’est invérifiable).
La hausse du niveau des océans, on l’attend toujours depuis 30 ans, mais les calottes glaciaires vont se mettre à fondre dès demain, pour nous punir de notre inaction climatique et rendre inhabitable des millions de km2, et les catastrophes climatiques vont s’accélérer avec un coût humain cataclysmique, des exodes de population sans précédent.
La réalité, c’est que ce sont les pays situés dans les zones les plus chaudes qui connaissent les plus fort taux – non pas de sécheresse, mais de croissance économique (Inde, Emirats, Chine, Indonésie, etc.) et enregistrent les afflux de travailleurs les plus spectaculaires (péninsule arabique), alors qu’il y fait souvent bien plus chaud que chez eux.
Tous les livres d’Histoire démontrent que l’humanité a connu ses plus grandes périodes de croissance démographique et de prospérité à chaque cycle de réchauffement de la planète, et pas l’inverse. Les mini-glaciations qui surviennent tous les 700 ans s’accompagnent de famines, d’épidémies et de migrations massives vers des zone plus tempérées où les récoltes sont plus abondantes (que dire de l’odyssée des Vikings lors du refroidissement postérieur à l’an 1 000).
Lorsque la chaleur augmente, les hommes déploient des trésors d’ingéniosité pour développer l’irrigation, sélectionnent et hybrident les espèces végétales les plus résistantes aux sécheresses. Quand il fait plus froid, les rendements céréaliers baissent (avec ou sans eau), l’herbe se fait plus rare et les troupeaux se clairsèment.
Bien sûr, j’admets que la croissance fulgurante et la prospérité des pays d’Asie n’est pas dû au réchauffement climatique – mais à la stratégie occidentale consistant à exporter sa pollution chez les autres, tout en réalisant des économies de main d’oeuvre colossales. Et maintenant que ces zones se sont enrichies, aux dépens des salariés occidentaux principalement, ils veulent accéder au même confort, et comme il y fait plus chaud que chez nous, et parfois aussi sec qu’à Las Vegas (comme aux Emirats, dans le Xinjiang chinois ou le sud de l’Inde), les populations locales ont adopté la clim’ et ne sont pas prêtes d’y renoncer.
Si pour sauver la planète, nous baissons nos radiateurs de 2° afin de limiter la température à 18° et grelotter durant quatre mois, des dizaines de millions d’habitants de la planète en plus chaque année font vrombir leurs climatiseurs. Et c’est pour faire baisser la température intérieure non pas de 2°, mais de 10° à 15°, parfois 365 jours par an (Singapour, Indonésie, Vietnam, Malaisie, etc.).
Nous écumons l’océan du carbone avec une cuiller à café, pendant que d’autres y déversent des seaux : une seule solution, acheter plus de cuillers en argent, de plus en plus hors de prix. Et le comble, c’est que ce sont les Chinois qui les fabriquent en masse et nous les vendent !
C’est à se demander si ne n’est pas eux qui ont inventé le narratif du réchauffement climatique qui « s’accélère follement à cause du carbone » pour nous fourguer encore plus de trucs !
13 commentaires
La production humaine de CO2 est minime par rapport au stock de CO2 cdéjà dans l’athmosphère. On ne voit pas comment cette faible production pourrait agir sur le climat… si le CO2 est bien une cause de réchauffement. Certains disent que c’est au contraire un effet du réchauffement, qui lui, est dû au soleil. En attendant de savoir, je trouve que les Singapouriens ont bien raison de faire marcher leurs climatiseurs et de pouvoir ainsi vivre et travailler dans des conditions de températures agréables
Je ne suis pas d’accord avec le fait de toujours prendre le président en place (E.Macron aujourd’hui )comme »tête de turc » c’est tellement facile et vous les journalistes ne savez faire que cela .Le fait que nous soyons en démocratie ne rend pas vos verbiages plus intelligents .Vous n’êtes que les représentants de tous les français qui n’ont aucune conscience de leur réelle responsabilité de citoyen .
C’est là ou vous avez depuis bien longtemps »raté le coche ».
Démocratie, responsabilité, citoyen, quelles belles notes musicales du violon de la duplicité soporifique qui enchante la dette, la paupérisation, l’idiotcratie et la tiers-mondisation de l’Occident.
Il est vrai qu’avec son prédécesseur ce n’était pas mieux . C’est aux Français qui les ont élus que l’on devrait s’en prendre .
Ah ouais! Trop bon (juste)!
La paleoclimatologie a démontré par des carottes de glace, que l’augmentation de température précède en moyenne de 800 ans l’augmentation du CO2 dans l’athmosphère, c’est donc l’augmentation de température terrestre qui fait augmenter le taux de CO2 et non l’inverse comme le serinent les boboécolos, par ailleurs avec 415PPM de Co2 dans l’athmosphère, on joue petits bras par rapport aux 2,5 premiers milliards d’existance de la terre où le taux était plus de 10 fois plus élevé, et la température moyenne terrestre de 82 degrés celcius. le Taux de Co2 est de 0,04% dans l’athmosphère, il faut savoir que si par malheur il descendait à 0,02% il n’y aurait plus de vie végétale sur terre et je vous laisse deviner ce qu’il en serait de l’humanité. Mais l’écologie ça fait chic et surtout ça permet d’augmenter un nombre infini de taxe, premier intérêt pour les gouvernements, la peur insufflée aux peuples, le réchauffement fantasmé ayant remplacé la bombe atomique soviétique de la guerre froide.
Vous êtes mon « étalon-climatosceptique » et je me régal à la perspective de voir comment sur le temps long (1 à 2 ans) votre discours va évoluer. Je ne chercherais pas à argumenter, ce serait peine perdue, juste suivre comment au fil du temps, la conscience collective évoluant, et les évènements climatiques extrêmes et leurs impacts se multipliant, vous pourriez évoluer vous même, ou pas. Car nuls doutes que vous ferez parti des derniers des derniers, en effet, dans votre business, vous faites parti de ceux qui auraient le plus à perdre à considérer une réalité qui rendrait évident la nécessité d’une sobriété, horreur des horreurs s’il en est !
Y veut dire quoi ?
Je vous lisais avec intérêt jusqu’à présent.
Aujourd’hui, je vois un discours digne d’un cul terreux texan pro Trump inculte et irresponsable.
Allez, Continuez de parler pognon. Le reste ne vous intéresse pas; vous n’y comprenez rien; vous ne voulez surtout pas comprendre des choses qui vous amèneraient à changer de discours et de comportement.
allez mr Béchade, encore un petit effort et bientôt vous serez au niveau des platistes, ou de Trump !!!!
consternant……
C’est évident que les preuves irréfutables manquent et que la vérité n’est détenue par personne. Dans ce contexte ou même les scientifiques ou les spécialistes sont dépassés,( ce n’est pas un reproche ) nous ne verrons pas le dénouement ( Qui a raison ?) puisque l’évolution de la planète se mesure sur une échelle du temps bien différente de la notre. Tous ceux qui décident, ou écrivent peuvent évidemment inventer, influencer et ainsi surtout garantir leurs intérêts. Ce n’est pas le cas de tout le monde.
Par contre ce que l’on peut constater et corriger , c’est le manque de respect de la faune et de la flore. Il suffit d’ouvrir les yeux et de prendre les bonnes décisions afin de préserver notre environnement sans rentrer dans des théories infâmes et effrayantes. Nos scientifiques méritent d’être écouter sur des projets à courts et moyens termes avec l’objectif de protéger l’eau, la terre et l’air contre tous les polluants les plus dangereux sans oublier qu’il faudra nourrir et loger plusieurs milliards d’individus. La production d’énergie, de l’agriculture , des indusries puis les transports seront des domaines les plus touchés par l’évolution des méthodes.
Evidemment, l’évolution climatique nous obligera à aménager les constructions afin de résister aux tempêtes et aux inondations mais la technologie est connue. Il faudra éviter aussi de construire dans les zones trop sensibles contrairement à aujourd’hui.
Comprenons que nous pourrions mourir à cause de la pollution avant même les effets soit disant dévastateurs du climat.
Ce que j’écris est bien trop court et pourrait être mieux présenté mais ce n’est pas difficile de comprendre le sens du message.
Soyons plus optimiste !!!!!!!!!!!!
Quand je vois comment on entend régler le problème du déplacement écologique , avec la voiture électrique, je me pose des questions sur le réalisme des idées ou les fantasmes de nos dirigeants!
Un engin qui coûte la peau des fesses, qui a une autonomie limitée pour échapper aux griffes de nos assoiffeurs de pétrole et rendre aux petits oiseaux un air décarbonné!
Un engin qui pourtant de par sa construction a un bilan carbone nettement défavorable par rapport aux véhicules des « temps obscurantistes », est fabriqué pour la plus grande partie hors d’Europe et surtout nous met à la merci des producteurs de métaux, rares ou non, pour sa fabrication in situ!
Si l’on y ajoute l’intermittence des énergies renouvelables dont la construction a un bilan carbone des plus médiocres, le stockage sous forme de batterie ou d’hydrogène relève d ‘un futur pour le moins hypothétique (et encore davantage pour la solution ITER) charbon et hydrocarbures ont de longs jours devant eux!
Je suis toujours étonné de constater comment des gens sans aucune qualifiation pour parler d’un sujet sont capables de donner sur ce sujet des avis tranchés et péremptoires.
Concernant le réchauffement climatique et les risques qu’il fait courir, le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) travaille depuis 1988 avec pour pour mission »d’évaluer et de synthétiser l’état des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques disponibles, de façon neutre et objective, en rapport avec la question du réchauffement climatique ». Il est constitué de scientifiques et de représentants des 195 états membres. Il ne produit pas d’études, mais synthétise celles produites par des milliers de scientifiques de nombreux domaines dans tous les pays (météorologie, chimie, physique, géophysique, paléontologie, paléoclimatologie, ingenierie, environnement, économie…). Sauf à penser que ces milliers de spécialistes ont pour seul objectif de nous pourrir la vie, n’étant pas moi-même qualifié sur ces sujets, j’ai tendance à tout simplement les écouter pour me faire une opinion,comme on peut le faire avec Agora pour ses investissements !
Je vous recommande donc chaudement (oui, je sais, c’était facile !), de lire leurs rapports de 1990, 1995, 2001, 2007, 2014, 2023. Vous pouvez trouver facilement sur internet des synthèses de ces rapports. Sauf à vouloir rester dans ses confortables certitudes »assumées », au prix de l’honnêteté intellectuelle… Y a du bulot !