Aujourd’hui, j’ai une bonne nouvelle : nous (les résidents Français) sommes à deux jours de notre libération fiscale et sociale.
Ce jour de l’année à partir duquel, si vous êtes salarié, vous commencerez à travailler pour vous et non pour l’Etat est fixé au 29 juillet si l’on se fie à l’étude de l’Institut Molinari et du cabinet Ernst & Young.
Bien entendu, il s’agit d’une moyenne mais ce chiffre recouvre cependant des enseignements intéressants comme l’expliquent les auteurs :
Cette étude permet ainsi de mesurer le coût réel des services publics et de la sécurité sociale pour le salarié moyen. Elle permet aussi d’en déduire le moment à partir duquel il recouvre la liberté d’utiliser, comme il veut, son pouvoir d’achat, en consommant ou épargnant.
Elle permet aussi des comparaisons de notre cher, très cher, « modèle social français » avec le reste de l’Union européenne, une zone économique où vous m’accorderez que les cadavres des refoulés des hôpitaux n’encombrent pas les chaussées défoncées avoisinantes.
Heureuse surprise, pour la première fois en six ans, le taux réel d’imposition a légèrement baissé dans l’Union européenne ! Il est de 44,96%, soit 0,23% de moins que l’année dernière.
Même en France, vous demandez-vous, une lueur d’incrédulité dans les yeux mais un tremblement d’émotion dans la voix ?
Non.
La France est désormais championne d’Europe de la fiscalité avec 57,53% de taxation.
Dit autrement pour avoir 100 euros de pouvoir d’achat, vous devez avoir en France un salaire complet (incluant charges patronales et salariales) de 235 euros.
Source : Fardeau social et fiscal de l’employé moyen au sein de l’UE – 7ème édition
En avons-nous pour notre argent ? Non.
« La France, en dépit de l’importance des prélèvements et des dépenses publiques, n’est pas plus attractive en termes de bien‐être. C’est notamment le cas d’indicateurs quantitatifs ou qualitatifs axés sur les prestations offertes et la qualité de vie. Les Nations Unies classent par exemple la France en 22ème position sur 188 pays dans leur dernier Indice de développement humain (IDH) ».
Mais quittons la question des seuls revenus salariaux.
Plus généralement, inexorablement, la part étatique augmente et la « Parasitocratie » de notre pays contrôle officiellement plus de 58% de l’économie. Officieusement, c’est sans doute bien plus…
Le grignotage est insidieux, sournois, continu,…
Un nouvel impôt déguisé profitant aux banques et au lobby climatique
Connaissez-vous la dernière disposition qui obligera les copropriétaires à provisionner une partie des charges pour travaux futurs ? Il s’agit de la loi ALUR qui entre progressivement en vigueur et impose à toutes les copropriétés la création d’un fonds de travaux au 1er janvier 2017.
« Ce fonds d’épargne de prévoyance a vocation à anticiper le financement de futurs travaux, notamment ceux destinés à la rénovation énergétique. Il sera alimenté par une cotisation annuelle à laquelle seront soumis tous les copropriétaires.
Son montant minimal sera équivalent à au moins 3% du budget prévisionnel de la copropriété pour un petit ensemble de moins de 10 lots. Ce seuil passe à 5% minimum pour les autres copropriétés. L’Association des responsables de copropriété (ARC) estime le coût moyen de cette cotisation annuelle à 100 euros par copropriétaire.
Lorsque le compte travaux de la copropriété atteindra un plafond (fixé par décret), les cotisations cesseront. En revanche, lors de la vente d’un ou plusieurs lots par un copropriétaire, il ne pourra pas réclamer le remboursement de ses cotisations ».
Source : syndic-one.com
Voyez comme c’est ingénieux !
- Vous avez beau être propriétaire, le législateur prévoit que vous êtes un crétin imprévoyant. Une partie de votre argent est donc affectée d’office par le sagace et avisé législateur. Vous n’en avez plus la maîtrise, c’est donc de l’expropriation.
- Le lobby des climato-parasites s’est agité et obtient une partie du pactole qui sera affecté à la « rénovation énergétique ». Areva, EDF, les éoliennes, le vert,… ceux-là profiteront de votre argent.
- Plus c’est gros, plus c’est cher. Un classique. Que la taille du fonds soit proportionnelle au nombre de lots de copropriété ne recouvre aucune logique. Mais cela n’a aucune importance. Dans une grosse copropriété, les petits détails passent plus inaperçus.
- Vous ne reverrez jamais cet argent, il est captif.
Et voilà comment on crée en réalité un nouvel impôt, levé par les syndics de copropriété, conservé par les banques (ça tombe fichtrement bien, elles ont besoin de dépôts) et qui profitera aussi au lobby des climato-parasites !
A la prochaine relance économique, nul doute que nos gouvernants taperont dans ce joli matelas grâce à une norme rendant obligatoires et urgents des travaux que vous n’aviez pas du tout envisagés.
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2 commentaires
Jim est revenu de Vancouver! en pleine forme! pour nous parler des SDR
l’immo étant le 3ieme « espace plein air de l’abattoir: il faut les éliminer »
LOL
L’ immo bien non standardisable avec poss de compensation partielle en cash ou autre est un semi paradis.
avec patrim de impots.gouv.fr un proprio à paris est en difficulté / à celui dans la campagne avec des biens non standards difficilement pricable.(lors de son redressement , Macron n’a pas été au procès en tant qu’ex ministre de impots.gouv.fr alors que c’était un coup teleguidé par hollande avant que macron se presente)
Evidemment en copro on bouffe mini1/1.5 de rendement avec les syndic corrompus appartenant à des fonds…
the slaughterhouse, mais avec des lois de plus en plus grotesques
Mme Wapler: Plus je vous lis et plus je vous approuve. Surtout sur le plan des impôts déguisés. Ceux de la copropriété en sont un parfait exemple.
Bien sûr, c’est toujours pour notre bien ou celui du Bien Commun. Il est entendu que tout citoyen est un crétin fini incapable de gérer sainement ses revenus. Les Poly-Tiques se font un plaisir de nous aider, en prélevant, sans le dire, une part toujours plus importante.
Est-ce si bien naturel ?
Je me suis intéressé à la parasitose, c’est-à-dire aux maladies causées par les parasites.
La plus commune est l’asthénie (apathie), la perte d’énergie. Mais le plus souvent, les parasites ne se contentent pas seulement de dévorer notre énergie. Ils s’attaquent aussi de façon insidieuse à des fonctions vitales de notre organisme.
« Tandis que quelques parasites restent dans le système intestinal, d’autres explorent le corps, créant des ravages. Ils peuvent, par exemple, se mettre dans les articulations et dévorer le calcium qui recouvre les os, ce qui résulte en tendances arthritiques.
Ils peuvent aussi dévorer la protéine qui recouvre les nerfs, causant une interruption des signaux du cerveau vers les nerfs.
Oui, les parasites sont bien là, et ils peuvent causer de grands dommages »
http://www.aliv-e.com/fr/education/articles/dige4.asp
Il y a de fortes probabilités pour qu’il en soit ainsi pour nos Poly-Tiques.
Les troubles du « nerf de la guerre » (la monnaie) sont équivalents à ceux causés par une bactérie parasite s’attaquant aux nerfs. Les autres troubles sociaux (désunion des couples , indépendance individuelle= désolidarisation des familles ou des groupes sociaux (désyndicalisation…) provoquent l’Apathie des individus ou la révolte des meilleurs (violences des écolos, des marginaux …)
L’Etat-parasite ne peut œuvrer pour le bien commun, puisqu’il doit provoquer la désunion des forces sociales pour réussir. Sinon, les anticorps dont tout corps social est pourvu pour sa défense l’élimineront impitoyablement.
L’épargne est un signe de vitalité du corps. Il est normal que nos Poly-Tiques la combattent.